Par Frank Wright — Traduit par Campagne Québec-Vie
31 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Dans un discours prononcé lors du 2023 White Coat Summit, le Dr Robert Malone a posé la question cruciale à propos des soi-disant vaccins COVID :
« Pourquoi un gouvernement souhaiterait-il faire avancer cette technologie ? »
Il a conclu, à contrecœur, que les nouvelles injections d’ARNm ont été mises au point par la CIA pour contribuer à un programme de dépopulation mondiale — qui existe aux États-Unis depuis les années 1970.
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Le Dr Malone a été l’un des pionniers de la technologie qui a conduit à la mise au point des injections d’ARNm. Sa compréhension quasi unique du mécanisme d’action de ces injections a été qualifiée de « désinformation » par les médias grand public lorsqu’il a commencé à mettre en garde le monde contre les dangers de ces nouvelles interventions.
Compte tenu de son expérience dans le développement de ce qu’il appelle les « vaccins génétiques », le Dr Malone semble personnifier la science même que nous devrions suivre. Toutefois, ce ne sont pas ses références ni son expertise avérée qui ont conduit aux attaques contre sa réputation. C’est le fait que la science qu’il a suivie a amené un sinistre programme mondial de nuisance délibérée.
Qui sont les maîtres des marionnettes ? Le gouvernement américain, les scientifiques nazis
Le Dr Malone déclare :
Lorsque nous nous demandons qui sont les marionnettistes qui se cachent derrière tout cela, nous devons regarder la vérité en face. C’est le gouvernement américain qui est à l’origine de beaucoup de choses... en termes de financement, de politique et d’actions.
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Il va beaucoup plus loin dans l’explication de l’histoire de l’innovation en matière de guerre biologique dans le monde moderne :
Toute l’ossature de la biologie moderne telle que nous la connaissons — biologie moléculaire, biochimie, virologie, microbiologie — a été créée en grande partie grâce aux investissements massifs du gouvernement américain dans les programmes de guerre biologique... qui découlent bien sûr de l’Opération Paperclip et de l’importation de spécialistes nazis et japonais de la guerre biologique.
Dans son discours prononcé à la voix douce, le Dr Malone affirme que le gouvernement américain n’est pas seulement l’ennemi de son propre peuple, mais de presque tous les humains, partout dans le monde. Presque, c’est-à-dire, à l’exception d’une petite élite.
Si vous êtes choqué ou incrédule face à cette suggestion, M. Malone comprend vos préoccupations. Il le dit lui-même dans un billet de Substack au sujet d’un mémorandum d’étude sur la sécurité nationale de 1974 (NSSM) connu sous le nom de Rapport Kissinger.
Personnellement, j’ai été réticent à m’aventurer dans le trou du lapin des diverses théories de « l’agenda de la dépopulation » liées à la crise du COVID.
Pourtant, les preuves que Malone présente avec diligence l’ont persuadé de le faire.
Une fois de plus, si l’affirmation d’un plan de dépopulation mondiale semble farfelue, considérez les paroles du Dr Robert Malone à la lumière des preuves qui l’ont poussé à les prononcer.
Nous avons absolument un programme de dépopulation ici aux États-Unis, et ce depuis le milieu des années 70.
C’est ce qu’a déclaré Malone dans son discours. Le document de 1974 qu’il a présenté à Substack dit ceci :
Résumé du rapport Kissinger, page 2
Le programme de dépopulation ne se limite pas aux États-Unis. Il est destiné à avoir un impact mondial.
Page 2, suite, du contenu du rapport
Le rapport mentionne expressément les Nations unies et les « agences spécialisées », que nous pouvons considérer comme désignant le Forum économique mondial lui-même, ainsi que l’Organisation mondiale de la santé.
Malone lui-même cite la Fondation Bill & Melinda Gates comme un excellent exemple d’« organisations privées » partenaires enthousiastes de l’agenda de la dépopulation.
Le rapport Kissinger, contenu, page 3
La dernière section d’un plan vieux de près de quarante ans fait référence au développement d’une nouvelle « technologie de contrôle de la fertilité » et à l’utilisation des médias pour forcer la population mondiale à se conformer à ce programme. Il s’agirait de provoquer ce que le Dr Malone appelle la « psychose de formation de masse » pour forcer la population à se conformer à ce programme.
Enfin, le rapport préfigure les moyens de saper la souveraineté des nations en coordonnant « l’engagement politique mondial » en faveur de l’agenda de la dépopulation. Il s’agit d’un projet, à l’échelle mondiale, d’abattage de l’humanité qui, selon le Dr Malone, a été favorisé par les travaux de la CIA.
La DARPA « est la CIA »
Le Dr Malone se demande pourquoi des « vaccins génétiques » ont été sélectionnés pour combattre le COVID-19. Il souligne que leur développement a été favorisé par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) du gouvernement américain.
M. Malone affirme qu’il n’y a aucune différence entre cette agence et celle chargée de la subversion, de la propagande et du changement de régime, la CIA.
Pour être franc, la DARPA est la CIA. La DARPA est le bras opérationnel de la CIA pour le développement et le déploiement de la technologie.
La « technologie » mise au point et déployée ici est un « vaccin génétique » destiné à faire progresser un programme de dépopulation mondiale en accord avec un programme de réduction de la population coordonné à l’échelle internationale. Le Dr Malone a écrit sur l’implication de la DARPA dans le développement de ces nouvelles injections, et a affirmé ailleurs que la société de « vaccins » Moderna est « une façade de la CIA » — également créée par la DARPA.
Henry Kissinger, mentor de Klaus Schwab
Comme je l’ai écrit pour LifeSiteNews le 16 janvier, Henry Kissinger n’était pas seulement le mentor de Klaus Schwab, mais aussi l’homme à l’origine de la création du Forum économique mondial (FEM) :
Les origines du Forum économique mondial
Le Forum économique mondial n’est pas le fruit de l’imagination de Klaus Schwab, mais, à l’instar de Facebook, a d’abord été une création de la Sécurité nationale américaine. L’idée du Forum économique mondial a émergé d’un mouvement plus large de théoriciens technocratiques post-industriels à la fin des années 1960, dont la principale préoccupation était l’utilisation de la technologie pour mieux gérer les populations futures.
Ce sont des personnes telles que Henry Kissinger, John Kenneth Galbraith et Herman Kahn qui, par l’intermédiaire du Council on Foreign Relations de l’ère Nixon, se sont rendues pour la première fois en Europe avec Schwab en 1970 pour recruter les futurs membres du Forum économique mondial. C’est ainsi qu’est né le premier European Management Forum, comme on l’appelait à l’époque. Schwab lui-même l’a admis dans un article du New York Times sur Davos en 1997 :
« “J’ai demandé à John Kenneth Galbraith, à Herman Kahn et à quelques autres personnes que j’avais rencontrées à Cambridge de venir m’expliquer”, a-t-il déclaré. Avec une équipe composée de deux secrétaires et d’une assistante qu’il épousera plus tard, il a organisé le premier symposium européen sur le management en 1971. Il a attiré 444 chefs d’entreprise, chacun payant un droit d’entrée substantiel. »
Selon l’article précité de John Vedmore :
« Kissinger présentera Klaus Schwab à John Kenneth Galbraith à Harvard et, à la fin des années 1960, Galbraith aidera Schwab à faire du Forum économique mondial une réalité. »
Vedmore a noté que l’implication de Kissinger s’est poursuivie :
« Des années plus tard, Henry Kissinger prononcera le discours d’ouverture de la conférence du Forum économique mondial de 1980, déclarant aux élites de Davos : “Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est véritablement mondiale”. »
Malone note ce fait, ainsi que le fait que Kissinger continue à collaborer avec le FEM. Il va plus loin en affirmant que le FEM a été créé par la CIA dans le but de faire avancer son agenda mondial.
Ce réseau mondialiste promeut inlassablement des agendas tels que les politiques antinatalistes, l’ESG et le Net Zero, dont la mise en œuvre agressive entraînera probablement l’effondrement de la société industrielle.
La contraception hormonale, le meurtre des enfants à naître et la promotion d’un mode de vie sexuel sans enfant sont autant d’éléments qui contribuent à la réalisation d’un programme de dépopulation.
La fourniture de « bloqueurs de puberté » aux enfants qui, par contagion sociale, se croient « trans », les stérilisera définitivement.
Ces facteurs constituent un alignement remarquable sur un programme global visant à réduire le nombre d’êtres humains. Il s’agit d’un programme dont le plan a fait ses preuves, lui-même suivi par la création des agences qu’il suggérait comme étant nécessaires à l’exécution du plan.
Il est révélateur que quatre ans après la création du FEM par Kissinger, celui-ci commande un rapport sur les moyens de réduire la population mondiale.
Le motif et les moyens
Les mesures mondiales de réduction de la population étaient motivées par le pouvoir, et non par un quelconque souci de l’environnement. L’augmentation de la population des pays en développement entraînerait, selon le rapport, une pression politique accrue sur les États-Unis pour qu’ils assurent le développement de nations qui vont à l’encontre de leurs intérêts économiques et stratégiques.
Ces pays sont plus facilement exploitables lorsqu’ils restent sous-développés. En outre, une population plus jeune est plus susceptible de réclamer le type de changement qui arracherait ces nations au contrôle mondialisé défendu par le rapport.
Cette stratégie, avec sa vision lucide et totalement inhumaine des affaires humaines, semble, en deuxième lecture, correspondre à la phase de migration de masse presque sans frontières à laquelle nous assistons aujourd’hui. Dans cette optique, le transfert de jeunes populations des pays en développement apaise les troubles politiques. À mesure que ces nouvelles populations arrivent, les pays occidentaux qui les accueillent connaissent une série de tensions internes qui servent elles-mêmes à distraire et à diviser les populations, facilitant ainsi la mise en œuvre d’un programme mondial.
NSSM 200, « Le rapport Kissinger », montre que le profit et le pouvoir politique sont les moteurs de l’agenda de la dépopulation. Tiré de l'article du Dr Robert Malone sur Substack.
Compte à rebours vers la dépopulation
Dans son discours vidéo, le Dr Malone souligne que « beaucoup de choses qui ont été déployées » étaient « conformes à la politique publique des États-Unis en matière de contrôle de la population ».
Les recommandations du rapport Kissinger sont devenues une politique publique sous la présidence de Gerald Ford qui, en 1975, a pris la décision de sécurité nationale 314, recommandée ici et enregistrée ici.
Le Dr Malone a noté dans son discours vidéo et dans le billet susmentionné que « le rapport indique que la population mondiale ne doit pas dépasser 8 milliards d’êtres humains ». Est-ce une coïncidence si, en 2020, le nombre total d’habitants de la planète a atteint 7,84 milliards ?
Cette coïncidence semble d’autant plus remarquable que le Dr Malone rappelle également que de nombreux milliardaires de premier plan se sont réunis à plusieurs reprises pour discuter de la limitation de la population humaine.
Article du Times, mai 2009.
Le rapport susmentionné, qui date maintenant de 14 ans, révèle une liste familière :
Les philanthropes qui ont participé à un sommet organisé à l’initiative de Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, ont discuté de la possibilité d’unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.
Qualifié de « Good Club » par un initié, ce groupe comprenait David Rockefeller Jr, le patriarche de la dynastie la plus riche d’Amérique, Warren Buffett et George Soros, les financiers, Michael Bloomberg, le maire de New York, et les magnats des médias Ted Turner et Oprah Winfrey.
Ces membres, ainsi que M. Gates, ont donné plus de 45 milliards de livres sterling depuis 1996 à des causes comprenant des programmes de santé dans les pays en développement...
Le discours calmement raisonné de Malone met en évidence des actions coordonnées de longue date, conformes aux objectifs du rapport Kissinger de 1974. Il révèle, sans hyperbole, une campagne orchestrée pour dépeupler la terre, dans laquelle les médias, le gouvernement américain et la CIA sont de connivence avec les milliardaires et les organisations mondiales non gouvernementales créées pour servir cet agenda.
Le Dr Malone a produit un dossier bien documenté et convaincant qu’il défend dans l’intérêt du public. C’est le genre de méthode scientifique que nous ferions bien de suivre — une méthode indifférente à la persécution dans la défense des preuves. L’affaire est entendue. Ce n’est pas une coïncidence si la conférence à laquelle le Dr Malone a pris la parole était sous-titrée « The Reckoning » (« L’heure du bilan »).