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Le conseil municipal de Richmond interdit les vigiles pro-vie


Une conseillère offrant des dépliants aux femmes qui entrent dans la clinique de Richmond. Elles sont libres de l’accepter ou de l’ignorer.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Une fois encore, la partialité des pro-avortement se pavane au grand jour. En Grande-Bretagne, le conseil municipal de Richmond a décidé d’imposer une zone bulle autour d’un avortoir. Et pour se justifier, le conseil municipal n’a pu trouver à redire à la conduite des pro-vie qui se tenait devant le portail de l’avortoir sur Rosslyn Road pour prier, conseiller et donner des dépliants. Pourtant, si ce n’est pour du harcèlement ou de l’intimidation, comme ils en avaient été accusés, pourquoi le Conseil de Richmond a-t-il interdit aux pro-vie d’approcher de la clinique ? Ce serait parce que cela « soumettrait à une trop grande tension le personnel et les clientes. » Extrait de la Society for the Protection of Unborn Children :

« Si les gens de GCN (Good Counsel Network) ne peuvent pas rester près des portes, cela signifie que vous mettez en danger des femmes vulnérables, des mères, des êtres humains. »

Dans le dernier exemple d’intolérance officielle envers les pro-vie, le conseil municipal de Richmond a voté pour imposer une ordonnance de protection de l’espace public (Public Space Protection Order — PSPO) autour du centre d’avortement BPAS sur Rosslyn Road, dans Twickenham.

Hier, le Conseil a ratifié à l’unanimité une décision antérieure de mettre en œuvre la PSPO et donc d’interdire la vigile de prière pacifique pro-vie principalement menée par le Good Counsel Network.

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Criminaliser la prière

Richmond est le deuxième conseil municipal, après celui de Ealing, à utiliser une PSPO (qui a remplacé les ASBO) pour empêcher les gens de prier et d’offrir de l’aide aux femmes devant les cliniques d’avortement [...] La PSPO fait de toute offre d’aide aux femmes sur Rosslyn Road une infraction pénale et interdit la prière « dirigée » et le conseil de trottoir (...)

Sept femmes ont témoigné devant un fonctionnaire du conseil municipal de Richmond au sujet du soutien qu’elles ont reçu du Good Counsel Network [...].

Les personnes participant à la vigile pro-vie avaient été accusées de « harceler » et d’« intimider » les femmes devant la clinique BPAS, mais le Conseil de Richmond n’a pas été en mesure d’étayer ces graves allégations contre les membres de la vigile dans leur correspondance avec GCN. Les fonctionnaires du Conseil chargés de l’enquête n’avaient observé que des activités pacifiques telles que la distribution de tracts, la prière et l’affichage de pancartes. En 2014, la police locale a été forcée de retirer la menace de disperser la vigile pro-vie en utilisant la législation sur l’ordre public, en l’absence de toute preuve.

Bien que Richmond ait cherché à justifier davantage l’ORPS en se fondant sur les résultats d’une consultation locale, des objections ont déjà été soulevées concernant la formulation des questions de la consultation, une mauvaise compréhension des actions des membres des vigiles et une décision d’exclure plus de 1 000 réponses de la consultation, venant de Be Here For Me, le groupe de campagne représentant les mères qui ont reçu de l’aide lors de vigiles.



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