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La vaccination, stade ultime de la consommation

Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik

L’injection subventionnée, rêve du grand capital

L’injection obligatoire et subventionnée de molécules brevetées est le stade ultime de la consommation. Des forces économiques immenses nous y poussent.

Sébastien Charles, dans De la postmodernité à l’hypermodernité (Revue Argument, Vol 8, N° 1), décrit « l’hyperconsommation » comme une exacerbation de la logique marchande qui se manifeste par une consommation de biens matériels motivée par une logique émotive et hédoniste.

Cette définition fait référence à la consommation de masse, c’est-à-dire la consommation individuelle de biens produits par le grand capital. Mais, s’agit-il du stade ultime de la consommation ? Non, pas si on considère que la consommation, dans sa forme la plus épurée, est la satisfaction d’un besoin par un bien propriétaire contre un paiement monétaire.

Dans cette optique, le bien matériel lui-même peut être perçu comme l’emballage du besoin et donc une source de coûts accessoires dans la relation de consommation. La nouvelle voiture, par exemple, pour satisfaire un besoin de transportation fournit un bien matériel qui pèse plus de deux tonnes qu’il faut concevoir, manufacturer et amener à un détaillant où il sera vendu. Pareillement, l’activation d’une « logique émotive et hédoniste » chez le consommateur implique des coûts de conception et de marketing pour susciter l’achat ainsi que la fabrication d’un bien dont l’utilisation procure un effet perceptible plaisant. L’activité de vente au détail plutôt que par achats collectifs génère des inefficacités additionnelles. Finalement, la production de ces biens matériels consomme des ressources immenses et leur disposition, après usage, génère énormément de pollution. Dans l’optique d’une économie durable qui demeure asservie aux intérêts du grand capital, la consommation de masse doit donc évoluer vers une forme de production qui nécessite un minimum de ressources matérielles et énergétiques et génère un minimum de déchets.

Quelle serait donc une relation consommation liant les individus au grand capital qui serait libérée de ces inefficacités ?

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Il s’agirait de l’injection subventionnée par l’état, dans le consommateur individuel, d’un produit qui exprime l’essence minimale d’une propriété et n’est pas tenu de procurer d’effets perceptibles. Autrement dit, la vaccination.

Ici, nous dépassons la logique de consommation « émotive et hédoniste » libre et volontaire dont Charles fait état et entrons dans une logique « chimique » collectiviste de la consommation. Avec la vaccination, le bien matériel est réduit à sa plus simple expression, une molécule brevetée. Sa production consomme un minimum de matière et d’énergie. Il est vendu « en lots » à l’état qui le paye directement avec les fonds publics. Il n’a pas à satisfaire de besoins émotifs ou hédonistes ni de produire quelqu’effet perceptible que ce soit. Enfin, sa disposition ne génère aucune pollution puisque le corps du vacciné sert aussi de dépotoir au vaccin.

La crise sanitaire actuelle nous pousse vers cette forme extrême de la consommation de masse. Dans la vaccination, le bien matériel est débarrassé de tous ses éléments accessoires tel l’emballage, le transport ou les services après vente. Il n’y a aucune nécessité de l’adapter à des spécificités linguistiques, religieuses, de genre ou culturelles. Il n’a plus besoin d’être utile, de plaire, d’être divertissant, nourrissant ou de goûter bon ! Pas besoin de le vendre aux individus non plus, l’état l’achète en lots.

La vaccination établit ainsi une symbiose entre l’humain indifférencié et chimiquement incomplet et la multinationale hyper-technologique, seule capable de produire la molécule qui le complète. Si, par surcroît, la molécule injectée palie à un système immunitaire déjà atrophié par les mesures de distanciation sociale ou, mieux encore, si les adjuvants ajoutés à la formule génèrent une certaine dépendance, alors même les frais de commercialisation subséquents sont éliminés puisque la substance injectée déclenche sa propre « campagne de promotion », dans le corps du consommateur*.

À mon avis, la vaccination universelle à répétition fait partie, avec les échanges électroniques, des nouvelles formes de consommation de masse que le grand capital tente présentement de mettre en place. Avec le « Great Reset », les bureaucrates de l’ONU de concert avec les partenaires du Forum Économique Mondial, en particulier ceux des secteurs financier, pharmaceutique et électronique, tentent de prendre le contrôle des sociétés industrialisées pour établir un nouvel ordre mondial au service de leurs intérêts. Dans ce nouveau monde, les nations deviendront les provinces d’un empire planétaire qui imposera ses volontés en achetant les élites avec l’argent des vaccins.

Voilà l’avenir qui nous attend si nous ne résistons pas. Si ce putsch planétaire, soutenu malheureusement par les élites politiques et médiatiques du Canada, réussit ; un peuple de citoyens libres deviendra un troupeau de consommateurs anonymisés, isolés, étiquetés, confinés et endoctrinés qui vivent des vies atrophiées sous la tyrannie chimique des vaccins et la pauvreté des téléréalités.

Résistons !


* On nous assure que les vaccins ne génèrent pas de pathologies additionnelles et c’est peut-être vrai. Mais qui s’inquiète des effets secondaires qui ne sont pas des pathologies ; ceux qui produisent de la dépendance, qui rendent le vacciné plus docile, plus malléable, plus contenté, plus prévisible, moins exigeant, moins fertile ?

L’article que vous lisez fait partie d’une série. Vous pouvez trouver les autres articles de cette série ici.



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