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La transsexualité sera abordée avec les jeunes vers 12 ans

Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Sources de l’article : La Presse, Le Journal de Montréal n° 1, n° 2, 98,5 FM, Table nationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie des réseaux de l’éducation (p. 7) et MESS (pp. 3 et 11) 

Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, a affirmé que les exemptions au cours d’éducation sexuelle seraient très rares.

Le Journal de Montréal a appris que le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES), dans le cadre de son cours de sexualité, comptait bel et bien parler de transsexualité aux jeunes — et ce, vers douze ans, alors qu’ils entrent dans l’adolescence.

Le gouvernement Couillard, dans des documents rendus publics, explique que l’une de ses missions est de « prendre en compte la diversité sexuelle et la pluralité de genre ». L’objectif est d’instaurer un « respect de la diversité sexuelle ».

Si on ignore la forme exacte que prendra cet enseignement, on sait que le MEES compte des représentants à la Table nationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie des réseaux de l’éducation. En janvier, cette dernière a publié un guide dans lequel elle recommande de normaliser le concept d’« identité de genre » auprès des jeunes.

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Or, selon ce concept d’« identité de genre », une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique. « Le seul indicateur fiable de l’identité de genre du jeune [...] est son auto-identification », insiste la Table dans son guide.

Une telle orientation du gouvernement inquiète plusieurs parents, lesquels reprochent aux cours d’éducation sexuelle d’« endoctriner » les enfants avec une idéologie qui est promue par les « grandes compagnies » et les « activistes radicaux ».

Ce n’est pas la seule source d’inquiétude des parents. En effet, ils trouvent que les cours d’éducation sexuelle sont parfois trop explicites avec de jeunes enfants. Par exemple, le MEES, selon ses documents publics, veut que les enfants âgés de 7 à 8 ans puissent « situer les organes sexuels » et « apprécier » leurs fonctions de « reproduction » ainsi que de « plaisir ».

Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, a toutefois affirmé que les cours seraient obligatoires et que les exemptions seraient très rares. En entrevue à la station radiophonique 98,5 FM, il a beaucoup insisté sur le volet du cours qui portera sur la prévention des agressions sexuelles. À cet égard, l’enseignement commencera dès l’âge de 6 ans.



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