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Je suis dieu

Par Paul-André Deschesnes ― Photo : Max Pixel

Le journal Le Devoir du 26 juillet 2019 nous informait que le Collège des médecins du Québec (CMQ) veut serrer la vis à ses membres face à l’euthanasie.

Le 10 décembre 2015, l’Aide médicale à mourir (l’AMM) entrait officiellement en vigueur au Québec. Depuis cette date, la popularité de l’euthanasie ne cesse d’augmenter à chaque année. La population québécoise n’est plus satisfaite de cette loi qui comporterait beaucoup trop de balises.

Le gouvernement subit présentement d’énormes pressions de partout. Les gens se prennent pour des dieux en décrétant qu’ils veulent eux-mêmes décider de la date et de l’heure de leur mort. On ne veut plus de balises. On s’achemine vers l’euthanasie sur demande!

Dans ce contexte, beaucoup de médecins refusent de participer à ce festival de la « belle » mort. Actuellement, on manque de médecins volontaires pour répondre à la demande. À l’automne 2019, quand le gouvernement modifiera la loi pour rendre l’euthanasie beaucoup plus facile, le nombre de demandes va exploser. La population va hurler, car à ses yeux, l’euthanasie est un « soin de santé » prioritaire et essentiel.

Pendant que des groupes de pression, pour sauver la planète et pour équilibrer le budget de l’état, invitent le gouvernement à permettre l’euthanasie des vieux, des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer, des handicapés et des personnes dépressives (Journal de Montréal, 18 juin 2019), on présente la «sainte» piqure finale comme une libération.

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C’est dans ce sulfureux contexte que le Collège des médecins du Québec demande à ses membres de pratiquer plus d’euthanasies, car c’est le patient qui est roi et maitre. Il est le seul juge du niveau de ses souffrances physiques et psychologiques .

Aux yeux du Collège des médecins, ceux- ci doivent faire preuve d’audace et de compassion. Voilà pourquoi, depuis quelques années, le cours de médecine à l’université comporte maintenant le volet « aide médicale à mourir », c’est-à-dire l’euthanasie.

La Belgique, les Pays-Bas et la Suisse sont présentés comme des exemples et des modèles à suivre dans ce dossier.

Nous vivons une époque où la confusion morale règne en maitre. En quête de sens, la population a perdu ses valeurs fondamentales pour adhérer au relativisme, à l’athéisme, à l’hédonisme et au nombrilisme.

Notre monde a accouché d’un épouvantable rejeton, l’homme-dieu !

Nos populations moutonnes sont en état d’une très grave intoxication mentale sur le dossier de l’euthanasie.

Que Dieu leur vienne en aide.



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