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Marylin Monroe : quelles furent les conséquences de ses avortements dans sa vie?

50 ans après sa mort, ces questions demeurent obscures. Marylin Monroe aurait vécu un premier avortement en 1947, ainsi qu'un autre une ou quelques semaines avant sa mort. Cet aspect de sa vie est peu étudié. Sur Wikipédia on ne retrouve que ce commentaire laconique:

 

 

 

Fin juillet, déprimée, elle confie à sa coiffeuse qu'elle vient de subir un avortement. Au moins deux médecins lui ont prescrit de nombreuses ordonnances pour des somnifères la dernière semaine de sa vie.

Des somnifères pour endormir sa douleur? Sa mort aura lieu dans la nuit du 4 au 5 août 1962 soit, environ une ou deux semaines après son avortement?

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Des évêques dénoncent la contraception et le "mariage" gai

Sur le site de Radio Ville-Marie du 6 août 2012:

 

 

(...)Dans une lettre envoyée aux évêques le 25 juillet, le cardinal André Vingt-Trois, président de la Conférence des évêques de France, leur transmet une proposition nationale de prière pour la France à l’occasion de l’Assomption.

Parmi les intentions de prières proposée par les évêques dans toutes les paroisses catholiques de France, l’une s’adresse en particulier à "celles et ceux qui on été récemment élus pour légiférer et gouverner". "Que leur sens du bien commun de la société l’emporte sur les requêtes particulières et qu’ils aient la force de suivre les indications de leur conscience", demandent les évêques. Ajoutant, dans une autre prière. "Pour les familles ; que leur attente légitime d’un soutien de la société ne soit pas déçue".

La dernière intention de prière demande: "Pour les enfants et les jeunes, (…) qu’ils cessent d’être les objets des désirs et des conflits des adultes pour bénéficier pleinement de l’amour d’un père et d’une mère".

Et sur le blog de Jeanne Smits du 5 août 2012:

(...)Mes chers jeunes, la contraception, c'est la corruption. L'utilisation de fonds publics, l'argent du contribuable, pour distribuer des pilules contraceptives, c'est de la corruption. Les pilules contraceptives nous enseignent ceci : « C'est bien d'avoir des relations sexuelles avec quelqu'un, pourvu que vous soyez à l'abri des bébés. Les bébés, c'est casse-pieds. » Une culture de contraception voit dans les bébés les raisons de notre pauvreté. Le contrôle des naissances, disent-ils, cela équivaut à davantage de nourriture, davantage de classes, plus de logements et une meilleure santé pour les femmes. Si les bébés sont la cause de la pauvreté, sommes nous-en train de dire : « Kung walang anak, walang marihap ? » (Pas de bébé, pas de problème ?) Cela ne rime pas parce que ce n'est pas vrai. Nous pourrions avoir davantage de classes, de nourriture, de travail et d'hôpitaux, si nous étions moins corrompus. Renvoyez les fonctionnaires corrompus, pas les bébés ! Mes chers jeunes, votre naissance n'était pas une erreur. Votre naissance, c'était un don de Dieu à nous autres, vos anciens. Vous n'êtes pas le problème. Vous êtes notre bénédiction. Le problème, c'est la corruption de vos anciens, nous, vos anciens. Nous, vos anciens, nous devons changer afin que votre avenir soit meilleur. Pardonnez à ceux qui disent que les enfants sont casse-pieds. Non ! Non ! Non ! Vous êtes une bénédiction et je vous embrasse et je vous aime tous !

La contraception connaîtra toujours des échecs, comme toutes les inventions humaines. Lorsque la contraception ratera, une génération du contrôle des naissances donnera naissance à une génération de l'avortement. La pilule contraceptive est considérée comme un médicament essentiel. Si c'est un médicament, quelle maladie vient-il soigner ? La grossesse est-elle une maladie ? Si c'est un médicament qui est censé soigner, pourquoi des femmes en bonne santé tombent-elles malades du cancer après avoir pris des pilules contraceptives ? Mes chers jeunes, la contraception rend malades des gens bien portants. Les gens purs, il les rend corrompus. Elle nous pousse à regarder les bébés comme une nuisance, pas comme un don. Mes chers jeunes, quiconque vous traitera comme une nuisance, je le combattrai. Je suis contre la contraception parce que je suis pro-enfant. Je suis contre la contraception parce que je suis pro-mamans. Je vous aime, mes chers enfants. Merci à Dieu pour ces mères qui ont donné naissance à des joyaux comme vous !(...)

Lorsque nous vous enseignons que la contraception, c'est la corruption, ce n'est pas que nous sommes insensibles au défi de la modernité ou sourds au enquêtes sur le comportement social. Bien au contraire, nous essayons de vous protéger parce que nous savons qu'elle peut vous détruire plus vite que vous ne le pensez. L'Europe est sur la pente descendante. Elle perd son âme parce qu'aujourd'hui elle compte sur l'afflux d'immigrants pour la garder à flot. Elle fait face à un hiver sévère des naissances. Elle perd son identité parce qu'elle n'a pas d'enfants, pas de jeunes pour porter la flamme. En Europe, ils ont commencé avec la contraception, ils ont embrassé la contraception et maintenant ils tuent leurs grands-parents faibles et malades. Paul VI l'a prophétisé : la contraception artificielle peut ouvrir grandes les portes de l'infidélité conjugale et une baisse générale de l'état moral. C'est ce qui se produit en Europe. Nous, vos anciens, nous plaidons pour que vous n'empruntiez pas ce chemin de la corruption morale. Osez être différents ! Osez être meilleurs ! Nous voudrions être une économie-tigre, comme les pays voisins. Qu'est-ce qu'un tigre sans dents ? Qu'est-ce que le progrès sans enfants qui rigolent ? Pour qui voulons-nous le progrès – seulement pour nous-mêmes ? Qu'est-ce qu'une victoire au détriment de nos âmes immortelles ? (...)Il n'y a pas de mot Tagalog ou Panganisan pour la contraception parce que non seulement cela va contre Dieu, en outre ce n'est pas philippin.
La contraception, c'est la corruption. La contraception est la mère de l'avortement. La contraception met le plaisir sexuel à bon marché, sans la responsabilité. La contraception dit que les bébés et les enfants sont casse-pieds. La contraception est contre la jeunesse. La contraception est contre les enfants. La contraception est contre nous. Combattez la contraception, ou bien nous périrons en tant que nation craignant Dieu. Jeunesse de Panganisan, je vous aime. Parce que je vous aime, je combattrai la contraception. Cette bataille est pour vous et je me bats pour amour de vous.  Depuis la cathédrale de Saint-Jean l'Evangéliste, Dagupan City, 4 août 2012. + Socrates B. Villegas Archevêque de Lingayen Dagupan Administrateur apostolique de San Fernando de la Union.

"Parce que je vous aime, je combattrai la contraception. Cette bataille est pour vous et je me bats pour amour de vous". Combien nous aimerions entendre ces mots prononcés ici, dans nos institutions religieuses, au Canada...

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Adult Entertainment Association of Canada: prêt à recruter des effeuilleuses dans les écoles secondaires

Sur le site du journal Le Devoir du 6 août 2012, cette lettre d'une députée dénonçant une organisation dont les dirigeants devraient séjourner dans une cellule:

(Joy P. Smith s'implique contre le "sex trafficking")

Libre opinion - Exploitation sexuelle des jeunes filles : la guerre est déclarée

Joy P. Smith - Députée conservatrice fédérale de Kildonan-St. Paul 6 août 2012

Ce texte se veut une réponse à M. Tim Lambrinos, directeur général de l’Adult Entertainment Association of Canada, qui a récemment annoncé la première étape d’une stratégie de recrutement d’élèves et d’étudiantes dans les établissements d’enseignement du pays, dont des écoles secondaires, si le gouvernement fédéral ne permet pas aux tenanciers de cabarets de continuer à faire venir au Canada des effeuilleuses à l’aide de visas temporaires.

La guerre contre les trafiquants de personnes qui s’attaquent à nos jeunes est ouvertement déclarée. Ceux qui profitent des jeunes Canadiennes qu’ils recrutent pour le commerce sexuel ont été démasqués dans les journaux, ainsi que leur stratégie consistant à cibler de jeunes Canadiennes du secondaire parce qu’ils ne peuvent plus faire venir de jeunes femmes de l’étranger pour les exploiter sexuellement.

Il n’est pas étonnant que l’Adult Entertainment Association of Canada (AEAC) soit dérangée par les initiatives récentes visant à éliminer une échappatoire aux lois sur la traite de personnes au Canada. Les propriétaires de clubs de striptease voient une source de revenus disparaître et ils sont en colère. Mais les enseignants et les parents sont furieux eux aussi de voir l’AEAC cibler leurs jeunes pour les exploiter sexuellement.

Tim Lambrinos, directeur général de l’AEAC, prétend représenter 38 000 effeuilleuses, dont 28 % d’étudiantes. Il affirme que son rôle consiste à aider des jeunes à payer leurs études universitaires, mais en réalité, il est le porte-parole d’une industrie qui gagne des millions en attirant des étudiantes dans l’industrie du divertissement sexuel pour adultes.
 

Un grand nombre de ces victimes sont terrifiées à l’idée de parler de leur réalité et elles sont pratiquement bâillonnées par le coaching, la manipulation et les sévices. Elles sont formées pour accepter la violence à leur endroit et ne pas attirer l’attention de la police sur les clubs. Demandez-le à Natasha Falle, Timea Nagy ou aux centaines d’autres victimes qui sont tombées dans le piège de l’esclavage moderne. Elles raconteront la vérité.(...cliquez ici pour voir les témoignages)

Les Canadiens et les Canadiennes doivent envoyer un message clair aux souteneurs et aux propriétaires de clubs et d’agences de rencontres : nos enfants ne seront ni achetés ni vendus.
 

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Les élections arrivent... Pouvons-nous négocier notre allégeance politique?

À moins d’un mois des élections, il nous faut nous souvenir des vrais enjeux, dont personne ne parle dans cette élection. Plus importants que la corruption, plus importants que la question étudiante ou le Plan Nord, plus importants que l’écologie ou la défense même de la langue française, il y a ces droits points fondamentaux, bases mêmes de tous les droits et de toute vie en société. Ces points non négociables furent mentionnés par le pape Benoit XVI et nous reproduisons ici ce texte adressé à des parlementaires européens, qui conserve toute sa valeur :
 
(Ici, comme ailleurs, des milliers d'enfants sont jetés à la poubelles au Québec chaque année)
 
 
Salle des Bénédictions, jeudi 30 mars 2006
 
Éminents Parlementaires, Mesdames et Messieurs,
 
Je suis heureux de vous recevoir à l'occasion des Journées d'étude sur l'Europe, organisées par votre groupe parlementaire. Les Pontifes romains ont toujours accordé une attention particulière à ce continent. L'audience d'aujourd'hui le démontre une nouvelle fois, et s'inscrit dans une longue série de rencontres entre mes prédécesseurs et les mouvements politiques d'inspiration chrétienne. Je remercie M. Pöttering des paroles qu'il m'a adressées en votre nom, et je lui présente, ainsi qu'à chacun de vous, mes cordiales salutations.
 
Actuellement, l'Europe doit faire face à des questions complexes de grande importance, telles que la croissance et le développement de l'intégration européenne, la définition toujours plus précise de politiques communes au sein de l'Union et le débat sur son modèle social. Pour atteindre ces objectifs, il sera important de s'inspirer, avec une fidélité créative, de l'héritage chrétien qui a apporté une contribution tout à fait particulière à la formation de l'unité de ce continent. En tenant compte de ses racines chrétiennes, l'Europe sera capable de donner une orientation sûre au choix de ses citoyens et de ses peuples, elle renforcera sa conscience d'appartenir à une civilisation commune et elle consolidera l'engagement de tous dans le but de faire face aux défis du présent en vue d'un avenir meilleur. Par conséquent, j'apprécie la reconnaissance accordée par votre groupe à l'héritage chrétien de l'Europe, qui offre de précieuses orientations éthiques dans la recherche d'un modèle social qui réponde de manière adéquate aux questions posées par une économie déjà mondialisée et par les mutations démographiques, en assurant la croissance et l'emploi, la protection de la famille, l'égalité des chances pour l'éducation des jeunes et la sollicitude pour les plus pauvres.
 
Par ailleurs, le soutien que vous apportez à l'héritage chrétien peut contribuer de manière significative à tenir en échec une culture aujourd'hui très amplement diffusée en Europe qui relègue dans la sphère privée et subjective la manifestation des convictions religieuses de chacun. Des politiques élaborées sur ce principe n'ont pas seulement comme conséquence de dénier un rôle public au christianisme; de manière plus générale, elles refusent tout lien avec la tradition religieuse de l'Europe, qui est pourtant très claire, en dépit de ses diversités confessionnelles, en menaçant ainsi la démocratie elle-même, dont la force dépend des valeurs qu'elle défend (cf. Evangelium vitae, n. 70). Étant donné que cette tradition, précisément au sein de ce que l'on pourrait appeler son unité polyphonique, est porteuse de valeurs qui sont fondamentales pour le bien de la société, l'Union européenne ne peut trouver qu'un enrichissement à la reconnaître. Ce serait un signe d'immaturité, voire de faiblesse, de choisir de s'y opposer ou de l'ignorer, plutôt que de dialoguer avec elle. Dans ce contexte, il faut reconnaître qu'une certaine intransigeance séculière se révèle ennemie de la tolérance et d'une saine vision séculière de l'État et de la société. C'est pourquoi je me réjouis que le traité constitutionnel de l'Union européenne prévoie une relation organisée et permanente avec les communautés religieuses, en reconnaissant leur identité et leur contribution spécifique. Par-dessus tout, j'ai confiance dans le fait que la mise en oeuvre effective et juste de cette relation commencera dès à présent, avec la coopération de tous les mouvements politiques, indépendamment de leurs orientations partisanes. Il ne faut pas oublier que, lorsque les Églises et les communautés ecclésiales interviennent dans le débat public, en exprimant des réserves ou en rappelant certains principes, cela ne constitue pas une forme d'intolérance ou une interférence, car ces interventions ne visent qu'à éclairer les consciences, en les rendant capables d'agir de manière libre et responsable, conformément aux exigences véritables de la justice même si cela peut entrer en conflit avec des situations de pouvoir et d'intérêt personnel.
 
En ce qui concerne l'Église catholique, l'objet principal de ses interventions dans le débat public porte sur la protection et la promotion de la dignité de la personne et elle accorde donc volontairement une attention particulière à certains principes qui ne sont pas négociables. Parmi ceux-ci, les principes suivants apparaissent aujourd'hui de manière claire :
 
— la protection de la vie à toutes ses étapes, du premier moment de sa conception jusqu'à sa mort naturelle;
 
— la reconnaissance et la promotion de la structure naturelle de la famille — comme union entre un homme et une femme fondée sur le mariage — et sa défense contre des tentatives de la rendre juridiquement équivalente à des formes d'union radicalement différentes qui, en réalité, lui portent préjudice et contribuent à sa déstabilisation, en obscurcissant son caractère spécifique et son rôle social irremplaçable;
 
— la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants.
 
Ces principes ne sont pas des vérités de foi, même si ils reçoivent un éclairage et une confirmation supplémentaire de la foi; ils sont inscrits dans la nature humaine elle-même et ils sont donc communs à toute l'humanité. L'action de l'Église en vue de leur promotion n'est donc pas à caractère confessionnel, mais elle vise toutes les personnes, sans distinction religieuse. Inversement, une telle action est d'autant plus nécessaire que ces principes sont niés ou mal compris, parce cela constitue une offense contre la vérité de la personne humaine, une blessure grave infligée à la justice elle-même.
 
Chers amis, en vous exhortant à un témoignage crédible et cohérent de ces vérités fondamentales à travers votre action politique, et plus fondamentalement à travers votre engagement à vivre de manière authentique et cohérente votre vie, j'invoque sur vous et sur votre activité l'assistance continue de Dieu et en gage de celle-ci, je vous donne de tout coeur ma Bénédiction, ainsi qu'à tous ceux qui vous accompagnent.
 
Aurons nous également la cohérence de voter pour les valeurs humaines les plus importantes? Sommes-nous prêts à mettre de côté de grands partis correspondant à nos options politiques, permettant de contrer d’autres grands partis que nous détestons, pour témoigner de notre attachement premier à ces valeurs? Allons-nous vérifier parmi tous les partis politiques, lesquels respectent les points non négociables pour tout être humain respectueux de la dignité intrinsèque de chacun? Il existe plusieurs partis qui respectent ces principes de bases. À chacun de les trouver et de trouver parmi ces candidats, lesquels ont vraiment à cœur la défense des plus faibles et des droits les plus fondamentaux!
 
Notre vote, même s’il se portait sur un parti marginal, n’est pas sans importance. Il est le témoignage de notre participation au processus démocratique et de notre refus de marginaliser les questions les plus importantes de notre société. Nous ne pouvons accepter que des questions secondaires prennent le pas sur la vie de dizaines de milliers d’enfants, sur leurs éducations, et sur la mort digne de nos aînés accompagnés de soins palliatifs de qualités. Rien n’est plus important, ni ne touche aussi intimement les droits primordiaux de tous.
 
Nous ne pouvons calculer ni négocier… Ce serait trahir nos enfants et ceux qui en ce moment, sont à la porte de la vie, ou de la mort…
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Le parti socialiste imposera aux Français, le "mariage" gai, au printemps 2013

Sur le site de lejdd.fr du 2 août 2012, via le Salon Beige:

 

(Dominique Bertinotti, ministre déléguée à la Famille)

 

Le calendrier concernant le mariage homosexuel se précise. Invitée jeudi matin sur l'antenne d'Europe 1, Dominique Bertinotti, ministre déléguée à la Famille, l'a assuré : le texte de loi sur le mariage gay sera présenté au Parlement et "devrait être voté au premier semestre 2013".

Et la ministre se tiendra à ce calendrier, ne craignant pas les polémiques autour de ce sujet controversé. "Il y aura débat. Mais toute réforme sociétale suscite des débats", a-t-elle balayé sur l'antenne d'Europe 1, alors qu'une partie de l'opposition et certaines associations familiales s'opposent fermement à l'union des couples de même sexe.

Pas de référendum

Dominique Bertinotti a également dévoilé sa méthode pour mettre en place cette législation : "Il y aura un temps d'écoute, mais ensuite il y aura la présentation d'une loi, qui sera présentée au Parlement et votée au Parlement. Il n'y aura pas de référendum", a-t-elle assuré avec fermeté.

Un temps d'écoute, présentation d'une loi, pas de référendum... la procédure habituelle pour imposer une législation, comme on tente de le faire avec l'euthanasie au Québec.

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Un évêque aux yeux d'aigles! Sur l'avenir des revendications des lobbys gais

Une compréhension et une vision des demandes à venir des lobbys gais... Sur le site de corsecatholique du 1er août 2012 via le Salon Beige:

 

 

Il est difficile pour l’Eglise de ne pas réagir face à l’annonce faite par le gouvernement d’un projet de loi visant à élargir le mariage aux couples homosexuels. Pour beaucoup, il s’agit là d’une évolution inéluctable face à laquelle il faudrait faire preuve d’ouverture d’esprit, voire de résignation. Quelles que soient les intentions – qu’il ne nous appartient pas de juger – des promoteurs de ce projet, c’est en réalité la destruction d’un des piliers fondamentaux de notre société qui est programmée.(...)

Dans ce débat, les arguments de bon sens ne suffisent plus. L’évidence selon laquelle le mariage naturel concerne un homme et une femme a été laminée par le relativisme. Il faut donc que nous soyons capables d’expliquer en quoi l’union durable d’un homme et d’une femme pour fonder une famille n’est pas l’invention d’un type particulier de société mais est profondément inscrit dans la nature même de l’être humain. De même, nous devons pouvoir montrer que si l’Etat est habilité à légiférer sur un mariage qui, en donnant potentiellement naissance à des enfants, construit la société, il n’a pas à donner un statut équivalent à un mode d’union qui est stérile par nature et relève de choix privés.
Les conclusions d’une telle réflexion sont rendues plus évidentes grâce à l’éclairage de la foi chrétienne, mais nous devons être capables de la mener avec des arguments de raison pour pouvoir entrer en dialogue avec ceux de nos compatriotes qui ne partagent pas notre foi.

Dans ce dialogue, il y a un piège dans lequel nous ne devons pas tomber. Ceux qui revendiquent un statut pour les couples homosexuels – et qui à vrai dire sont souvent à court d’arguments – accusent facilement leurs opposants d’homophobie. Ainsi, pour ne pas passer pour homophobes, nous évitons le débat. Il faut au contraire proclamer avec force que refuser le « mariage » homosexuel n’a rien à voir avec l’homophobie. Nous pouvons avoir un grand respect pour les personnes homosexuelles tout en contestant le fait que le couple homosexuel soit présenté par l’Etat comme un modèle social au même titre qu’un couple marié. Cette capacité à désapprouver un acte tout en respectant la personne est d’ailleurs un des héritages du christianisme. Soyons donc toujours très attentifs à ce que nos propos sur la question de l’homosexualité ne soient pas perçus comme méprisants ou blessants par les personnes concernées.

Ne perdons pas de vue le fil conducteur qui motive ce genre de lois. Lors du débat sur le Pacs, on disait qu’il s’agissait simplement de défendre la dignité des personnes homosexuelles et qu’en aucun cas on envisageait l’adoption d’enfants par ces mêmes personnes. Aujourd’hui, toujours sous couvert de non-discrimination, le projet de loi sur l’adoption est annoncé. Interdire d’emblée à un enfant d’avoir un papa et une maman n’est pas considéré comme une discrimination… Mais ne nous y trompons pas, ce ne sera pas le dernier épisode. Nous sommes sous la mouvance d’un courant idéologique qui ne compte pas en rester là. L’étape suivante a commencé à se dévoiler au travers de la théorie du genre. Il s’agit de faire passer l’idée selon laquelle la différence sexuelle n’est que de l’ordre du biologique et ne concerne donc pas l’identité profonde de la personne. Chacun peut donc choisir son orientation sexuelle (hétéro, homo, bi, trans, etc.) indépendamment de son sexe. Il sera par conséquent interdit – car considéré comme de l’embrigadement – de donner à un garçon des repères éducatifs masculins et à une petite fille des repères éducatifs féminins. Ce serait aller contre une liberté individuelle toute-puissante revendiquant son affranchissement vis-à-vis de la nature…

Les idéologies des trente dernières années ont fait un travail souterrain qui, pour une bonne part, a conduit à l’éclatement de la famille ; les nouvelles idéologies vont permettre la déstructuration de la personne elle-même. Dans les deux cas, c’est la société tout entière qui se délite.

Aussi affligeant soit-il, ce constat ne doit pas nous décourager. La déconstruction annoncée n’est pas une fatalité. L’histoire a montré qu’une société possède souvent en elle-même une capacité à réagir dans des situations catastrophiques. Nous devons donc nous mobiliser. A la fois en nous intéressant à ces questions, en étant capables de dénoncer les idéologies, mais aussi en annonçant la Bonne Nouvelle. Et la Bonne Nouvelle que nous voulons annoncer, c’est qu’il est possible d’aimer en vérité, c’est la beauté de la sexualité et du mariage vécus, grâce à l’Esprit Saint, en conformité avec le projet de Dieu. Il y a un travail énorme à réaliser pour aider les enfants et les jeunes à s’éveiller à la beauté de leur corps et de leur sexualité, à repérer et écarter les contrefaçons de l’amour qui leur sont si souvent proposées, et à épanouir l’extraordinaire potentiel à aimer qui est en eux.

Avec charité et détermination, mobilisons–nous ! C’est un grand service que nous avons à rendre à notre humanité.

+ Mgr Olivier de Germay
Evêque d’Ajaccio

L'aide à la "transition" souhaitée pour les écoles canadiennes pour les enfants se posant des questions pourrait simplement se généraliser à tout les enfants. Avec une question toute simple: "Quelle sorte de sexualité désires-tu inventer pour toi, que nous puissions t'aider à t'accomplir dans cette identité sexuelle que tu auras fait naître." Il pourra y avoir autant d'identité sexuelle que d'individus.

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Pauline Marois veut instituer la maternelle à 4 ans...

Sur le site du Journal de Montréal du 3 août 2012:

 

(Pauline Marois)

Pauline Marois a profité de son passage dans la circonscription de Crémazie où elle a officialisé jeudi la candidature de Diane de Courcy, présidente de la Commission scolaire de Montréal (CSDM) pour présenter son plan de « guerre » au décrochage qui frôle le 20 % dans les écoles publiques.

« Toutes nos décisions en matière d’éducation seront motivées par cet objectif », a dit Mme Marois.

Dans les trois premières années d’un gouvernement péquiste, 600 professionnels de plus seront également embauchés.

La chef du PQ estime que ces deux promesses ne sont pas très onéreuses : 37 millions de dollars pour les embauches et 10 millions pour la maternelle à temps plein à 4 ans.

Diane de Courcy a affirmé que la maternelle un an plus tôt va permettre aux enfants des milieux plus pauvres de partir sur le même pied que les autres enfants.

« Pour éviter le décrochage scolaire, il faut identifier le plus tôt possible les enfants en difficulté », a dit la candidate péquiste.

Le plus tôt est le mieux pour Mme Marois pour endoctriner ces enfants et les soustraire à l'influence des parents. L'instigatrice du système de garderie et de la perte de la confessionalité scolaire est cohérente avec ses premières aberrations. Mais y-a-t-il quelqu'un pour lui dire que la solution pourrait être de soutenir les parents en difficultés plutôt que de vouloir les remplacer par 600 "professionnels" ?

Peut-on laisser ces enfants être des enfants?

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Petit témoignage de reconnaissance pour les soins palliatifs

Des témoignages à faire connaître pour amoindrir la peur d'être maltraité en fin de vie. Sur le site du journal La Tribune du 2 août 2012:

 

 

 

 

Mon conjoint, Jacques Lachance a été hospitalisé pendant sept semaines aux soins palliatifs, il n'y a pas de mots pour exprimer notre reconnaissance à toute l'équipe de l'Hôtel-Dieu pour l'accueil et les bons soins personnalisés à son égard.

Rien n'a été épargné pour faire de ce séjour, autant pour Jacques que pour les membres de sa famille, une expérience permettant de se préparer à l'inévitable.

Un merci tout spécial à la chef de service, Marie-Claude Langelier pour son soutien et ses bonnes paroles dans ces moments difficiles.

Les Familles Rousseau et Lachance

Suzanne Rousseau

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Un autre point de vue que le journal La Presse sur l'événement Chick-Fil-A!

Sur le site du Salon Beige du 2 août 2012:

 

 

Une des chaînes de restauration rapide les plus en vogue ces dernières années aux Etats-Unis, Chick-Fil-A (spécialisée dans les sandwiches à base de poulet), a la particularité d'être marquée par la foi chrétienne de ses fondateurs. Ses 1600 franchisés sont par exemple tenus de rester fermés le dimanche.

La semaine dernière, la chaîne est soudain devenue la cible du lobby pro-gay, à la suite de déclarations pourtant très anodines de son dirigeant en faveur du mariage traditionnel. Avec le soutien des grands médias, un boycott de la chaîne a été lancé; les producteurs des "Muppets", qui fournissaient des jouets pour ses menus enfants, ont rompu sur-le-champ toute relation; et les maires Démocrates de Chicago, Boston ou San Francisco ont déclaré que les restaurants Chick-Fil-A n'étaient pas les bienvenus dans leur ville - voire se verraient refuser tout nouveau permis de construire.

Ce mouvement d'hystérie oubliait toutefois un fait important: une majorité des Américains est favorable au mariage traditionnel, et même certains partisans de la dénaturation du mariage ont été choqués par cette tentative d'intimidation. Le désaveu de cette campagne a donc été cinglant: des dirigeants pro-famille avaient appelé les Américains à marquer leur soutien à la chaîne en s'y rendant au cours de la journée d'hier, et ils ont été suivis au-delà de leurs espérances. D'un bout à l'autre du pays, les restaurants n'ont pas désempli - avec parfois des files d'attente de plusieurs heures (série de photos) - à tel point que l'ensemble des médias ont dû en rendre compte.

(...)

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Une nouvelle étude confirme que l'utilisation de la contraception ne fait pas diminuer le nombre d'avortements

Sur le site de genethique.org du 2 août 2012:

 

 

 

En juin 2012, la Drees (Direction de la recherche, des études, des évaluations et des statistiques) a publié une étude portant notamment sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG) (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 04/07/12), dont il ressort qu’en 2010, 212 000 femmes ont eu recours à l’IVG. Dans le même temps, la Drees constate que "91% des femmes déclarent utiliser un moyen de contraception, et en particulier les deux tiers de celles qui recourent à l’IVG". Enfin, ce sont "les femmes de 20 à 24 ans [qui recourent le plus] à l’IVG, suivies de leurs cadettes, dont 12 000 mineures en 2010".
Face à cette étude et devant l’évidence, le Pr Philippe Deruelle, secrétaire général du Collège national des gynécologues-obstétriciens de France, déclare : "la déception, de nouveau, devant ces résultats, c’est que la généralisation de la contraception n’a pas d’impact sur le taux d’IVG".

Si, la contraception a un impact. La mentalité contraceptive fait de l'enfant à naître un désagrément à éviter absolument. L'échec régulier de la contraception se termine alors par l'avortement, comme ultime moyen de contraception. Les méthodes naturelles de régulation des naissances, au contraire, entretiennent une ouverture à la vie qui permet de voir l'enfant toujours comme un cadeau, même lorsqu'il arrive de façon imprévue.

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