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Des chercheurs affirment que le taux de mortalité maternelle aux États-Unis a été largement surestimé

Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : DC Studio/Freepik

Une nouvelle étude publiée dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology révèle qu’un simple changement dans la manière de remplir les certificats de décès pourrait avoir entraîné une surestimation du taux de mortalité maternelle aux États-Unis.

En 2003, une case a été ajoutée aux certificats de décès pour demander si la personne décédée était enceinte au moment du décès ou à une date proche ; cela a conduit à une augmentation supposée de 143 % des décès dus à la mortalité maternelle depuis 1999. Mais les chercheurs ont examiné les données du National Center for Health Statistics (NCHS) et ont constaté que les décès dus à la mortalité maternelle étaient en réalité restés relativement stables, avec une augmentation de seulement 2 % au cours de cette période.

« Le fait que certains de ces rapports fassent état d’une multiplication par trois de la mortalité maternelle a suscité beaucoup d’inquiétude et d’appréhension, mais ce n’est pas ce que nous avons constaté. Nous avons trouvé des taux faibles et stables », a déclaré au Washington Post K.S. Joseph, auteur principal de l’étude et professeur aux départements d’obstétrique et de gynécologie et à l’École de santé publique et des populations de l’université de Colombie-Britannique.

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L’Espagne pourrait être la prochaine nation européenne à inscrire l’avortement dans sa constitution

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : standret/Adobe Stock

27 mars 2024 (LifeSiteNews) — Dans le sillage du vote de la France pour inscrire l’avortement comme droit constitutionnel, nous faisons face à l’assaut paneuropéen le plus important contre le droit à la vie des enfants dans l’utérus depuis une génération.

Alors que les taux de natalité chutent et que l’Europe est confrontée à de multiples crises, il y a quelque chose de grotesquement approprié dans la croisade pour l’avortement qui se déroule en ce moment. Les progressistes qui font de l’avortement un droit de l’homme croient défendre les droits de l’homme et la démocratie libérale ; leurs déclarations ressemblent davantage à un râle d’agonie.

En Espagne, le parti de gauche Sumar, partenaire junior du gouvernement de coalition dirigé par les socialistes (PSOE) de Pedro Sánchez, a annoncé qu’il souhaitait suivre l’exemple de la France en inscrivant le fœticide dans la constitution. « La France et ses femmes ont montré que le progrès est possible et nécessaire », a récemment écrit le ministre du Travail, Yolanda Díaz, sur X. « Il est temps de garantir pleinement les droits de toutes les femmes ». La porte-parole de Sumar, Aina Vidal, a abondé dans le même sens, déclarant qu’il était temps d’« avancer » sur la question de l’avortement et qu’ils invitaient « tous les partis politiques avec lesquels nous avons déjà discuté de la question à ouvrir ce débat de société ».

L’Espagne a déjà beaucoup évolué sur cette question au cours des dernières années. Jusqu’en 2010, il était illégal d’avorter, sauf en cas de viol, de malformation du fœtus ou de « risque physique ou psychologique grave pour la mère » ; même ces cas n’ont été dépénalisés qu’en 1985. En 2010, l’avortement sur demande pendant les 14 premières semaines de grossesse a été légalisé. En 2022, le gouvernement espagnol de gauche a criminalisé les discours pro-vie sous prétexte de mettre fin au « harcèlement » des femmes cherchant à se faire avorter.

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Les médias canadiens attaquent une petite ville d’Alberta pour sa « neutralité » à l’égard des drapeaux LGBT

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash

20 mars 2024 (LifeSiteNews) — Quelle que soit l’histoire, les médias et le mouvement LGBT voudraient vous faire croire deux choses : premièrement, que chaque histoire concerne en fait le mouvement LGBT, quoi qu’il arrive ; et deuxièmement, que toute personne qui refuse d’approuver activement un programme en constante expansion qui comprend l’élimination des limites autour du comportement sexuel, des relations et des deux sexes est intolérant. Une fois que l’on a compris ce cadre narratif, on peut commencer à interpréter et à comprendre la façon dont les médias couvrent même les petites histoires locales.

Prenons, par exemple, un reportage publié par CTV le mois dernier sur la petite ville albertaine de Westlock, qui compte 5 000 habitants. La ville a récemment organisé un référendum sur la question suivante : « Acceptez-vous que : seuls les drapeaux fédéraux, provinciaux et municipaux puissent flotter sur les mâts des drapeaux sur la propriété municipale de la ville de Westlock ; tous les passages pour piétons de la ville de Westlock doivent avoir le motif standard de bandes blanches entre deux lignes blanches parallèles ; et le passage pour piétons de couleur arc-en-ciel existant dans la ville de Westlock doit être enlevé ».

Une majorité d’habitants de Westlock a voté en faveur de la limitation des drapeaux aux seuls drapeaux officiels du gouvernement ; la marge n’était que de 24 voix, mais le taux de participation était en fait plus élevé que celui de l’élection municipale elle-même. À l’origine, le règlement avait été préconisé dans une pétition lancée en 2023 pour réclamer la « neutralité » dans les espaces publics. L’une des principales organisatrices de la pétition, Stephanie Bakker, a organisé une fête de quartier intitulée « I Don't Agree With You But I Love You Block Party » (Je ne suis pas d’accord avec toi, mais je t’aime) et a écrit ce qui suit :

À nos amis et à notre famille de la communauté de la Fierté... malgré ce que le maire et le conseil municipal ont essayé de vous faire croire, ceux qui ont voté pour le règlement n’ont pas voté contre vous. Vous êtes aimés. Ceux qui ont voté pour la neutralité l’ont fait avec le désir sincère de garder notre communauté entière et inclusive.

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Un juge de Calgary donne tort au père qui s’oppose à l’euthanasie de sa fille autiste

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec — Photo : Daniel Jedzura/Adobe Stock

27 mars 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Un juge de Calgary a statué qu’une jeune femme autiste, qui n'a pas de maladie en phase terminale, peut être mise à mort par euthanasie malgré les objections de son père, affirmant que d’empêcher sa mort pourrait lui causer un « préjudice irréparable ».

Le 25 mars, le juge Colin C.J. Feasby de la Cour du banc du roi de l’Alberta a annulé une injonction demandée par le père de la jeune femme autiste de 27 ans, qui empêchait auparavant qu’elle soit mise à mort dans le cadre du programme canadien d’euthanasie « Aide médicale à mourir » (AMM).

« Je ne vous connais pas et je ne sais pas pourquoi vous demandez l’AMM. Vos raisons restent les vôtres car j’ai respecté votre autonomie et votre vie privée », a écrit le juge Feasby dans sa décision.

« Ma décision reconnaît votre droit de choisir une mort médicalement assistée, mais elle ne vous oblige pas à choisir la mort », a-t-il ajouté.

En raison d’une interdiction de publication, la jeune femme dans cette affaire est identifiée comme MV et son père comme WV.

MV, qui souffre à la fois d’autisme et d’un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH), a été autorisée par deux médecins à bénéficier de l’AMM et prévoyait de mettre fin à ses jours par euthanasie.

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Le gouvernement britannique considère le fait d’être « anti-avortement » comme une voie menant au terrorisme

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Selon Right to Life UK, le gouvernement britannique a inclus le fait d’être « anti-avortement » comme l’une des étapes menant à un futur terrorisme potentiel.

La stratégie antiterroriste du gouvernement comprend Prevent, une formation préventive visant à empêcher les gens de devenir des terroristes ou de soutenir le terrorisme. Elle s’adresse aux personnes qui travaillent dans les secteurs de l’éducation, de la santé, des autorités locales, de la police et de la justice pénale. La formation se concentre sur « les idéologies islamistes et d’extrême droite » et comprend des exemples de ce qu’elle considère comme des « idéologies à thème unique » qui peuvent conduire au terrorisme.

« Les récits sont susceptibles d’émaner de ceux qui cherchent à changer une politique ou une pratique particulière, plutôt que de remplacer l’ensemble du système économique, politique ou social », indique le document de formation. « Les exemples incluent les droits des animaux, la lutte contre l’avortement ou l’antifascisme. Les récits à thème unique peuvent être politiquement agnostiques, c’est-à-dire qu’ils ne sont ni de droite ni de gauche ».

Catherine Robinson, porte-parole de Right to Life UK, a réagi en ces termes : « Le gouvernement est explicite sur le fait qu’il pense que le fait d’être pro-vie est une idéologie potentielle menant au terrorisme. Il n’y a pas eu un seul cas de terrorisme anti-avortement dans l’histoire britannique. C’est une grave insulte et un signe de profonde intolérance que le gouvernement, par le biais de la formation Prevent, laisse entendre que le fait d’être pro-vie est potentiellement le début du chemin vers le terrorisme ».

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La vie avant la naissance : le statut de personne de l’enfant à naître

Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock

Dans un geste politique destiné à faire avancer la campagne pour la dépénalisation de l’avortement jusqu’à la naissance en Angleterre et au Pays de Galles, le Royal College of Obstetricians and Gynaecologists (RCOG) a publié le 25 janvier 2024 un document intitulé Involvement of the police and external agencies following abortion, pregnancy loss and unexpected delivery guidance for healthcare staff (Implication de la police et des agences externes à la suite d’un avortement, d’une fausse-couche ou d’un accouchement inopiné). Ce document, rédigé avec la participation de l’industrie de l’avortement, indique au personnel médical que, quelles que soient les circonstances ou le stade de la gestation, « il n’est jamais dans l’intérêt public d’enquêter sur une patiente soupçonnée d’avoir mis fin à sa propre grossesse ». [1] Il menace ensuite de sanctions disciplinaires toute personne qui, sans raison valable, informe les autorités d’un cas potentiel d’avortement illégal, en déclarant :

« Lorsqu’il s’agit de déterminer s’il existe une justification valable pour rompre la confidentialité afin de protéger la sécurité d’autrui, la “sécurité du fœtus” n’est pas une raison valable, car, en droit, le fœtus n’a pas le statut de personne ». [2]

Pour illustrer la dissonance cognitive qui s’est emparée de la vie publique au Royaume-Uni, quatre semaines plus tard, le 22 février, le ministère de la Santé et des Affaires sociales a lancé un programme visant à offrir des « certificats de perte de bébé » aux parents d’enfants décédés avant d’avoir atteint la 24e semaine de grossesse. Il était déjà possible d’enregistrer comme mort-nés les enfants nés d’une fausse-couche après ce stade. Bien qu’un certificat de perte de bébé ne soit pas un document légal, ce programme signifie qu’il existe désormais une reconnaissance officielle, tout au long de la grossesse, « d’une vie perdue » [3], ce qui contredit manifestement l’affirmation du RCOG selon laquelle « le fœtus n’a pas le statut de personne ».

Bien entendu, cette tentative de nier l’humanité des enfants à naître n’est que le dernier exemple en date de l’utilisation de la sémantique pour justifier la violence meurtrière à l’encontre d’un groupe vulnérable. Avant que l’État nazi n’ait déclaré que les Juifs ne sont pas des personnes, le juriste Karl Binding et le psychiatre Alfred Hoche avaient publié conjointement Die Freigabe der Vernichtung lebensunwerten Lebens — « La permission de détruire la vie indigne de la vie » [4] — qui justifiait, d’un point de vue compassionnel et économique, l’utilisation du terme « mort mentale » pour justifier le meurtre des personnes profondément handicapées en les qualifiant de « leere menschliche Ärmel » — « manches humaines vides ». [5] La désignation moderne d’« état végétatif persistant » est à peine moins déshumanisante. Bien qu’elle soit censée faire référence à leur état de conscience, elle est fréquemment utilisée pour décrire les patients. En 1993, dans l’affaire qui a autorisé les médecins britanniques à affamer et à déshydrater leurs patients, l’équipe médicale de Tony Bland a fait valoir que la nourriture et les liquides qui lui étaient administrés artificiellement constituaient un traitement médical futile, incapable d’inverser la lésion catastrophique de son cerveau. La Chambre des Lords a consciencieusement accepté, le juge Hoffman décrivant le jeune Bland, âgé de 22 ans, comme « grotesquement vivant ». [6]

Mis à part les tests fastidieux de la « personnalité », un observateur impartial n’aurait aucune difficulté à reconnaître que le fœtus est pleinement vivant, conscient et qu’il est un être humain à part entière.

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Lancement de notre pétition contre le changement de sexe pour les enfants

Saviez-vous qu’au Québec, une adolescente de 16 ans peut subir une «chirurgie du haut»? Saviez-vous qu’au Québec, il n’y a pas d’âge limite pour prendre des bloqueurs d’hormones?  

Pour qu’il soit bien clair que nous parlons de la même chose, lorsque je parle de «chirurgie du haut», je veux dire l’amputation d’un tissu mammaire complètement sain et fonctionnel, aussi appelée mastectomie. L’année dernière, au Québec, dix-huit mineures ont subi une ablation des seins.

Les bloqueurs d’hormones, comme le Lupron, bloquent le développement normal de la puberté et sont faussement présentés comme étant complètement réversibles. En général, après l’administration d’hormones bloquantes, le «patient» se voit administrer des hormones du sexe opposé. L’année dernière, au Québec, 97 filles biologiques (14-17 ans) ont reçu de la testostérone.  

Un récent reportage de Radio-Canada a engendré un certain émoi en révélant la rapidité et l'absence de prise de responsabilité de la part des médecins dans le processus de changement de sexe des enfants, qui se fait sans le consentement parental. Les médias traditionnels ont tiré la sonnette d'alarme, mais n'ont pas condamné la pratique du changement de sexe des enfants et n'ont pas demandé au gouvernement d'y mettre un terme.

Alors... nous le faisons ! Nous condamnons entièrement la pratique du changement de sexe des enfants et demandons à notre gouvernement de l’interdire!

C’est pourquoi nous lançons aujourd’hui une pétition pour demander à nos élus d’interdire la pratique du changement de sexe pour les enfants au Québec. Nous voulons faire en sorte que toute personne âgée de moins de 18 ans soit protégée contre la possibilité de se faire du mal de façon irréversible. Les enfants sont l’avenir. Ils sont malléables, influençables, souvent vulnérables et rarement, voire jamais, assez mûrs pour prendre de telles décisions qui changeront leur vie. Veuillez signer notre pétition en cliquant ici.

En plus de signer notre pétition, nous avons besoin de votre aide pour autre chose. Nous sommes au milieu de notre campagne trimestrielle de collecte de fonds. Beaucoup d’entre vous ont déjà donné, et nous sommes très reconnaissants pour le soutien financier que vous nous apportez! Nous vous remercions!

Si vous n’avez pas donné récemment, pensez à soutenir notre mission. Il nous reste seulement 7 jours pour recueillir 9,142$. Toute contribution financière, petite ou grande, nous aide à poursuivre notre travail. Grâce à vos contributions, nous vous proposons des articles, organisons des événements et des vigiles, organisons des pétitions, faisons pression sur le gouvernement en votre nom, et bien d’autres choses encore. Nous sommes ici, unis avec vous, pour défendre la vie, la famille et la foi. Vous pouvez accéder à notre campagne de collecte de fonds en cliquant ici.

Et n'oubliez pas de réserver la date pour la marche pour la vie à Québec:

Nous vous souhaitons une bonne Semaine Sainte,



Arpad Nagy
Directeur des opérations politiques
Campagne Québec-Vie

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63 % des avortements pratiqués aux États-Unis le sont aujourd’hui à l’aide de pilules : rapport Guttmacher

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

20 mars 2024 (LifeSiteNews) — Les pilules abortives sont maintenant responsables de 63 % de tous les avortements aux États-Unis, selon un nouveau rapport dont les conclusions mettent en lumière les efforts de la clique de l’avortement pour contourner les lois des États qui protègent la vie des enfants à naître.

Mardi, l’institut pro-avortement Guttmacher a publié une nouvelle étude selon laquelle, en 2023, 63 % des avortements ont été pratiqués à l’aide de pilules, poursuivant ainsi une progression constante depuis 2000, date à laquelle la Food and Drug Administration (FDA) a approuvé pour la première fois la mifépristone pour l’avortement. La proportion était de 53 % en 2020 et de 39 % en 2017.

« L’accès et l’utilisation accrus de l’avortement médicamenteux sont probablement l’une des raisons pour lesquelles le nombre global d’avortements dans le système de soins de santé formel a augmenté de 10 % à l’échelle nationale entre 2020 et 2023 », indique le rapport. « Le nombre de prestataires américains proposant une consultation par télémédecine — par vidéo, appel téléphonique, texte ou plateforme en ligne — et envoyant des pilules abortives par la poste est passé de 7 % de tous les prestataires connus pour proposer l’avortement médicamenteux en 2020 à 31 % en 2022. Les cliniques uniquement en ligne, après être apparues comme un nouveau type de prestataire d’avortement en 2021, représentaient 8 % de tous les avortements pratiqués dans le cadre du système de santé officiel au cours des six premiers mois de 2023. »

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Les lois conservatrices contre l’idéologie du genre n’entraînent pas plus de « crimes haineux » contre les LGBT

Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : maylim/Adobe Stock

19 mars 2024 (LifeSiteNews) — Selon le Washington Post, les conservateurs sont à blâmer pour l’augmentation des crimes de haine contre les LGBT signalés dans les écoles primaires et secondaires.

Voici le titre que les médias ont commencé à diffuser : « Dans les États dotés de lois ciblant les questions LGBTQ, les crimes de haine dans les écoles ont quadruplé ».

« Dans les États dotés de lois restrictives, le nombre de crimes de haine sur les campus a plus que quadruplé depuis le début d’une guerre culturelle qui a souvent porté sur les droits des jeunes LGBTQ+ », affirme l’article.

Parmi les « lois restrictives » figurent les projets de loi interdisant à un homme de 40 ans d’utiliser les vestiaires des filles et les interdictions pour les athlètes masculins de dominer les sports féminins.

Michael New, chercheur en sciences sociales à l’Université catholique d’Amérique, estime que ces affirmations ne donnent qu’une image incomplète de la situation.

Selon lui, l’une des raisons possibles de cette augmentation est que davantage d’étudiants s’identifient comme LGBT.

Le Dr New note que l’analyse a porté sur les « crimes de haine signalés » et non sur les « crimes de haine réels ».

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Javier Milei a donné son soutien à la Marche pour la Vie en Argentine

Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Marcha por la vida

Une forte mobilisation pour le droit de vivre des enfants à naître : la 9e édition de la Marche pour la Vie en Argentine, samedi, a été marquée par le soutien appuyé de la vice-présidente Victoria Villaruel auquel s’est joint le président Javier Milei, qui ont tous deux approuvé la demande des pro-vie d’abroger la loi légalisant l’avortement. Les images des manifestations qui se sont tenues dans de nombreuses grandes villes, la principale s’étant déroulée à Buenos Aires, montrent un public bigarré, de tous âges mais surtout avec de nombreux jeunes, brandissant des drapeaux argentins — mais aussi des bannières de procession — et proclamant ce message sans ambiguïté : « Abroger la loi tout de suite. »

Un échange de messages remarqué a témoigné de l’adhésion des plus hauts représentants du pouvoir en Argentine à cette demande. Samedi, sur X, Victoria Villaruel, qui est également présidente du Sénat, a mis en ligne ce message : « En finir avec la vie d’un être humain sans défense n’est pas un droit. L’Argentine doit toujours être une terre de Vie. #MarchaPorLaVida » Elle l’illustrait avec une affiche sobre avec ces mots : « A la date de janvier 2024, 245 000 avortements enregistrés », et à côté d’une croix de celles qu’on utilise pour indiquer la mort d’une personne : « Cela équivaut à + de la totalité des habitants de la province de la Terre de Feu (190 641). Ce n’est pas le bon chemin. Victoria Villaruel, Vice-présidente de la nation. »

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