M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Afrique : « Moins cher d'acheter des préservatifs que de l'eau »


Obianuju Ekeocha, fondatrice et présidente de Culture of Life Africa.

Par Kelli (LiveActioNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Selon Obianuju Ekeocha, fondatrice et présidente de Culture of Life Africa, l'Occident envoie plus d'argent sur son continent pour le contrôle de la population que pour l'éducation, l'eau potable ou les soins de santé. Ekeocha s'est fait connaître dans le passé pour avoir attiré l'attention sur les efforts de l'étranger pour répandre l'avortement et le contrôle des naissances parmi les femmes et les familles africaines, ce qu'elle considère comme de la « colonisation » et du « colonialisme ».

« Si nous parlons d'avortement, eh bien, je ne pense pas qu'un pays occidental ait le droit de financer l'avortement dans un pays africain, surtout quand la majorité des gens n'en veulent pas... cela devient alors une forme de colonisation idéologique », a déclaré Ekeocha à un présentateur de la BBC en 2017.

Plus récemment, Ekeocha a pris la parole lors de la deuxième conférence annuelle de Lives Worthy of Respect à l'Université de Georgetown, s'élevant contre cette mentalité croissante. L'Afrique, dit-elle, traite chaque enfant comme un membre précieux de la communauté, « pas comme une augmentation de la population ». Le Catholic Standard rapporte que « contrairement aux Africains, beaucoup d'organisations occidentales qui essaient d'apporter de l'aide en Afrique n'ont pas la même vision de la vie », selon Ekeocha. Elle a déclaré [...] que des organisations non gouvernementales puissantes et bien soutenues font la promotion de « programmes pour la population », tentant de changer la vision que les Africains ont de leur propre culture. Ces organisations, a-t-elle affirmé, considèrent l'Afrique comme un « vide culturel à combler avec leurs idées ».

Laissez un commentaire Lire la suite

Le crucifix et la liberté


Le crucifix accroché au-dessus du trône de l’Assemblée nationale du Québec.

Par Jean-Claude Dupuis, Ph. D.

D’après Lise Ravary, le crucifix de l’Assemblée nationale « ne représente pas notre culture, mais notre asservissement ». De quel « asservissement » veut-elle parler ? L’histoire nous apprend que le christianisme a été, au contraire, le plus grand facteur de liberté humaine.

C’est le christianisme qui a fait disparaître l’esclavage au début du Moyen Âge. Les religions païennes étaient panthéistes. Elles considéraient que tous les hommes avaient une parcelle de divinité en eux, mais des parcelles inégales. Le paganisme avait une vision hiérarchique de l’âme humaine. L’esclave méritait son sort parce qu’il était « moins divin » que son maître. Mais Jésus-Christ a enseigné que tous les hommes étaient frères parce qu’ils étaient tous faits à l’image et à la ressemblance de Dieu le Père. Cette affirmation, proprement « révolutionnaire », sapait la base idéologique de l’esclavage. Il faudra des siècles avant que l’Église catholique ne réussisse à extirper l’esclavagisme des mentalités. Sous l’empereur Charlemagne (800), c’était chose faite en Europe. Mais l’on dit que l’esclavage réapparaît actuellement en Afrique. Ne serait-ce pas en lien avec le recul du christianisme, qui affecte ce continent au profit de l’animisme et de l’islam ?

Le christianisme exige le libre consentement de l’homme et de la femme dans le sacrement du mariage. C’est ce qu’indique la célèbre formule : « Voulez-vous prendre pour époux… Voulez-vous prendre pour épouse… » Ce principe nous paraît aujourd’hui normal. Mais il n’en était pas ainsi dans l’Antiquité. Les femmes étaient alors mariées, et souvent de force, à un homme choisi par le « pater familias » ou chef de famille. Cette tradition survit encore de nos jours dans plusieurs sociétés non occidentales. Mais le droit canon stipule qu’un mariage célébré sans le libre consentement des deux époux est nul. C’est l’Église qui a inventé les principes de l’égalité des sexes et du libre choix du conjoint. Elle affirmait que le mariage était l’union d’un homme et d’une femme avant d’être une alliance entre deux familles. C’était une nouvelle conception de l’amour. Les Anciens Grecs disaient : « Notre épouse nous donne un héritier, notre courtisane nous procure le plaisir, et notre esclave s’occupe de la maison. » Le modèle chrétien de la Sainte Vierge Marie n’est-il pas plus digne ? Et quels ont été les fruits de la déchristianisation contemporaine ? L’hypersexualisation, les femmes monoparentales, les pères absents, les cancers qui découlent de la pilule.

Laissez un commentaire Lire la suite

La Fédération des femmes du Québec reconnait maintenant la prostitution comme un travail

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : GoranH/Pixabay

Reconnaître la prostitution comme travail revient à identifier la femme à un objet ; les relations sexuelles dans le cadre du mariage, où l'homme et la femme se donnent l'un à l'autre et ne se considèrent pas pour le plaisir qu'ils pourraient tirer l'un de l'autre, sont normales et conviennent ; dans le cadre de la prostitution c'est l'horreur, la chosification de la femme pour de l'argent, où elle vend sa dignité. Cette décision aberrante a (apparemment) pour base le « droit » de disposer de soi-même ; cela risque fort de se retourner contre ces féministes et plus vite qu'elles ne le pensent. Au fait, à partir de quel âge ?

Extrait du journal Le Devoir :

La Fédération des femmes du Québec (FFQ) a pris un virage abrupt, dimanche, en reconnaissant la prostitution comme un travail auquel consentent des femmes. Une prise de position qui pourrait conduire certains membres à claquer la porte de l’organisme.

Jusqu’alors, la FFQ s’était abstenue de prendre position sur l’enjeu de la prostitution, notamment en raison de l’absence de consensus au sein du mouvement féministe.

Au terme d’une assemblée générale extraordinaire (AGE), qui s’est échelonnée sur plus de 10 heures dimanche à Montréal, les quelque 150 membres de la FFQ présentes ont voté majoritairement pour la proposition controversée reconnaissant « l’agentivité des femmes dans l’industrie du sexe, incluant le consentement à leurs activités », l’agentivité étant la capacité pour une personne d’agir.

Sandra Wesley, directrice générale de Stella, l’amie de Maimie, un organisme qui soutient les travailleuses du sexe, s’est dite très satisfaite de cette position « qui reconnaît notre agentivité et le besoin de lutter pour nos droits humains ». « Cette résolution est reçue comme un message de la part des membres de la FFQ qui souhaitent que nous soyons incluses dans le mouvement [féministe]. » La FFQ souhaitait notamment se doter d’une position sur la prostitution afin d’agir de façon à accroître la santé et la sécurité des travailleuses du sexe.

Laissez un commentaire

Le Québec : une nation catholique

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Vers demain

C'est ce qu'affirme avec vérité Alexandre Cormier-Denis, animateur de la chaîne YouTube Nomos-TV. En effet, la Nouvelle-France, dont le Québec est l'héritier, a été fondé en premier lieu pour l'évangélisation des Amérindiens, et la rapide propagation de la colonie est en partie dû au zèle fervent des missionnaires ; par la suite, après la conquête de la Nouvelle-France par les Britanniques, la seule institution française (pendant une longue période) est l'Église catholique romaine (le clergé étant composé de Français et ayant à cœur ses ouailles) ; pour finir, toutes les institutions au Québec ont une origine catholique.

M. Cormier-Denis explique également que le Québec s'est, non pas laïcisé mais, sécularisé, la distinction entre la laïcisation et la sécularisation étant que la laïcisation est la séparation de l'Église et de l'État, et que la sécularisation est plutôt la cessation de la pratique parmi les Québécois.

Laissez un commentaire

Nouvelle tournée de la pièce « Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon »

Par Réinformation.TV

Pour la troisième année consécutive, la pièce « Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon » sera donnée lors d’une quinzaine de séances scolaires, en Occitanie et Nouvelle Aquitaine, sans compter les séances publiques. Entre janvier 2016 et juin 2018, la pièce a déjà été donnée 103 fois, dans 16 départements, touchant 16 000 spectateurs, dont une majorité d’enfants – avec le soutien des Conseils Départementaux.

Elle est tirée du roman éponyme (publié aux Éditions du Sourire qui mord, ça ne s’invente pas…) et a été jouée pour la première fois en avril 1982, à Québec. La déconstruction genrée a de vieilles racines…

Vigi-gender donne le témoignage d’une maman spectatrice en 2016 : « Cette pièce relate l’histoire d’une petite fille, garçon manqué, qui est opprimée par ses parents qui n’acceptent pas sa différence, et d’un petit garçon que tout le monde moque car il pleure comme une fille. Le final était, je cite textuellement : « Mais alors une petite fille a le droit d’être un garçon et un garçon a le droit d’être une fille » avec, en ombres chinoises, un garçon déguisé en fille et une fille déguisée en garçon. »

A cette même séance, les enseignants avaient aussi trouvé que certains passages étaient choquants et ont dû s’excuser auprès des parents

La théorie du genre ? Il n’en est absolument pas question selon la Compagnie, qui propose pourtant un dossier pédagogique avec des pistes d’exploitation en classe ad hoc, sur… les stéréotypes de genre.

Laissez un commentaire

L'Irlande vote l'abrogation de la prohibition constitutionnelle du blasphème

Irlande-nature-paysage-eau-ruisseau-mer-phare.jpg

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Encore une mauvaise nouvelle provenant de ce pays jadis si catholique (tout comme l'était notre chère province du Québec). La voie est libre maintenant pour les législateurs d'abroger la loi qui criminalise les déclarations publiques blasphématoires. L'on pourra sans doute prochainement, en Irlande, insulter publiquement sans crainte Dieu, la Sainte Vierge ou les Saints.

Extrait du The Wall Street Journal :

Cette décision reflète l'influence décroissante de l'Église catholique dans un pays qui change rapidement.

L'Irlande a voté pour la suppression de la référence au blasphème en tant qu'infraction passible de sanctions dans la constitution du pays, ouvrant la voie à l'abrogation d'une loi qui criminalise les déclarations publiques considérées comme offensantes [sous le rapport de la religion*]...


*CQV

Laissez un commentaire

Jair Bolsonaro élu président du Brésil avec 11 millions de suffrages d’avance sur son adversaire


Jair Bolsonaro, nouveau président du Brésil.

Par Gontran Paume (Medias-Presse.info) — Photo : Beito Oliveira/Wikimedia Commons

Après dépouillement de plus de 99,9 % des bureaux de vote, Jair Bolsonaro [Parti social libéral, droite] dispose de presque 11 millions de suffrages d’avance sur Fernando Haddad (Parti des travailleurs, extrême gauche).

Le dernier résultat partiel lui donne 57 780 490 suffrages contre 47 010 689 à Haddad (Parti des travailleurs). Son résultat définitif devrait se situer autour de 55% des suffrages exprimés.

Le 2e tour a moins mobilisé que le 1er, puisque le nombre de suffrages exprimés devrait être de 104,9 millions au 2e tour contre 107,1 miilions au 1er (pour 147 millions d’électeurs).

Sa victoire est presque aussi large que celle indiquée par les derniers sondages (56 ou 57% des suffrages) et permet aux nationalistes de diriger plus de la moitié de la population du continent américain: 328 millions d’habitants pour les Etats-Unis, 209 millions pour le Brésil, soit 537 millions pour ces deux pays pour 1 002 millions pour l’ensemble du continent américain.

Laissez un commentaire Lire la suite

Pologne : Plusieurs écoles ont renoncé à tenir un événement pro-LGBT


Drapeau de Pologne.

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere

Plus de 200 écoles avait prévu prendre part à un événement appelé le « Vendredi arc-en-ciel », supposé promouvoir « l'anti-discrimination ». Cependant et heureusement, le gouvernement polonais désapprouve ces sortes d'activité.

Extrait de l'Associated Press News :

Le ministre de l'Éducation du gouvernement conservateur polonais, Anna Zalewska, avait prévenu à l'avance que tout directeur d'école qui autoriserait de tels événements pourrait subir des conséquences négatives. Elle demande également aux parents de signaler ces activités aux autorités.

Laissez un commentaire

Un nouveau ministre de l'Éducation inquiétant

Par Pour une école libre au Québec — Photo : Gilbert Bochenek/Wikimedia Commons

La CAQ (Coalition pour l’avenir du Québec) a remporté les élections et le Premier ministre a désigné Jean-François Roberge, un ancien enseignant, à la barre de ce ministère.

M. Roberge est un fervent partisan du controversé programme d’Éthique et culture religieuse. En 2012, il s’est levé en congrès de la CAQ pour défendre cette créature, il fut à l’époque mis en minorité par les militants de la CAQ.

Sur le plan de l’instruction à domicile qui connaît un succès croissant au Québec (en partie à cause de l’interdiction gouvernementale d’école religieuse décrétée illégale), on peut se faire une idée de ce que pense le nouveau ministre à la lumière de ses interventions au cours des débats qui se sont déroulés l’automne passé autour du projet de loi 144. Entre autres choses, il a présenté certains amendements proposant que l’enfant instruit à la maison doive être soumis au programme complet du ministère ainsi qu’aux examens ministériels. Réduisant la liberté de choix pédagogiques des parents à une peau de chagrin pour centraliser de plus en plus de pouvoir aux mains des bureaucrates.

Laissez un commentaire Lire la suite

Des « pasteurs » vont « bénir » un centre d’avortement !

protestants-pro-avortement.jpg
Pasteurs protestants pro-avortement. A droite de la photo, Susan K. Smith

Par Léo Kersausie (Medias-Presse.info)

Etats-Unis – Susan K. Smith, ex-pasteur de l’Église Unie du Christ, l’une des multiples sectes protestantes, a déclaré que l’avortement était une «décision pieuse».

Comme LifeNews l’a signalé cette semaine, dans la soirée du 9 novembre prochain, la soi-disant Coalition religieuse “pro-choix” se prépare à «bénir» le centre d’avortement d’un planning familial de Planned Parenthood. Qui dirige “l’événement” ? Susan K. Smith, ex-pasteur de l’Église Unie du Christ.

«J’ai été pasteur de l’Église adventiste unie du Christ à Columbus, dans l’Ohio pendant 22 ans, mais j’ai maintenant lancé Crazy Faith Ministries, un organisme à but non lucratif, dédié au travail sur les questions de justice sociale.”, déclare-t-elle.

Laissez un commentaire Lire la suite