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Un projet de loi pour interdire les pro-vie des alentours des avortoirs au Manitoba


Embryon humain à 14 semaines de grossesse.

Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : X.Compagnion/Wikimedia Commons

Un député provincial du Manitoba a déposé un projet de loi visant à placer des « zones bulles » de 150 mètres autour des lieux où sont pratiqués les avortements, et ce, pour y interdire les pro-vie, sous prétexte que des pro-vie harcèleraient les femmes se rendant dans ces établissements pour un avortement. C’est plutôt les pro-vie, manifestant paisiblement devant ces boucheries, qui sont l’objet de harcèlement, injures, menaces, vol, détérioration de matériels et violences physiques.

Il existe déjà des « zones bulles » au Québec, en Ontario et en Colombie-Britannique. Extrait de LifeSiteNews :

Un politicien tente de faire adopter une loi de « zones bulles » pour tenir les pro-vie à l’écart des cliniques d’avortement, prétendument pour les empêcher de harceler les femmes qui vont se faire avorter.

Mais Maria Slykerman, présidente de la section manitobaine de Campaign Life Coalition et organisatrice des veillées de prière annuelles des 40 Jours pour la vie, affirme qu’il n’y a pas eu de harcèlement.

Slykerman et habituellement deux autres personnes organisent leurs veillées de prière pro-vie en septembre, chaque année devant le Health Sciences Women’s Hospital.

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Quelques mythes sur la fécondité en Afrique — ou l’alarmisme trompeur de l’ONU

Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)

C’est un lieu commun que d’affirmer que l’Afrique subsaharienne souffre d’une surpopulation « insoutenable », annonciatrice d’un tsunami migratoire inouï vers l’Europe dans les décennies à venir, liée à une pauvreté et un sous-développement causés par la fécondité des Africaines. Du côté de l’ONU, les rapports abondent qui dénoncent la lenteur de la « transition démographique » d’Afrique Noire, annonçant périodiquement un relèvement des estimations de la population africaine pour 2050. Mais cette hausse inexorable est avant tout liée à un certain nombre de mythes auxquels souscrivent les statisticiens, de telle sorte que l’alarmisme de l’ONU se révèle trompeur, selon une étude réalisée par Lyman Stone de l’Institute for Family Studies.

Les réévaluations à la hausse sont dues selon lui au fait que les démographes ont, par le passé, systématiquement surestimé la baisse de la fertilité en Afrique. A quoi s’ajoutent des projections à long terme : de nombreux chercheurs évoquent une population de 4 milliards d’âmes en Afrique à l’horizon 2100, alors que la marge d’erreur à prendre en compte sur 80 ans est d’une « importance phénoménale ». Elle est même si grande qu’il faudrait tout simplement ignorer les prédictions sur des dates aussi lointaines.

La fécondité en Afrique n’est pas aussi importante que le prétend l’ONU

Les projections de l’ONU indiquent une remontée progressive du taux de fécondité en Afrique au fil du temps. De quoi croire que la fertilité continue de remonter. Mais c’est le contraire qui est vrai : en Afrique subsaharienne, le nombre attendu d’enfants par femme en âge de procréer a plafonné aux alentours de 6,5 jusqu’en 1985 environ, et ne cesse de descendre depuis lors pour atteindre en 2016 environ 4,5 enfants par femme. En clair : en moyenne, les familles africaines comptaient typiquement six ou sept enfants pendant les années 1960, contre quatre ou cinq aujourd’hui, et la courbe continue de baisser.

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Vers quoi se dirigent les soins palliatifs au Canada ?

Par CNA — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo trouvée sur LiveMint

Un membre des Canadian Physicians for Life (Médecins canadiens pour la vie) dit qu’exiger que les hôpitaux catholiques et les hospices offrent le suicide assisté aura des effets désastreux sur les soins palliatifs à travers le pays.

Karol Boschung, une étudiante de deuxième année en médecine à l’University of British Columbia (Université de la Colombie-Britannique), a écrit un article d’opinion dans l’Edmonton Journal le 15 novembre. Elle y exprimait ses soucis sur l’impact de forcer les professionnels de soins de santé catholiques à abandonner [le service].

« Intimider les professionnels en soins de santé catholiques vers la conformité n’aura pas comme résultat un accès élargi de soins médicaux pour les Canadiens. Si elle est forcée de réaliser des procédures qui compromettent ses valeurs morales, l’Église Catholique pourrait être poussée à se retirer de l’administration d’organisations comme Covenant Health, » explique-t-elle.

Covenant Health est l’un des administrateurs majeurs de soins de santé en Alberta, dit-elle, notant que le service de santé catholique fournit plus d’un tiers des lits pour soins palliatifs dans la province.

Selon les chiffres de 2008 de Covenant Health, l’organisation a plus de 8 800 membres du personnel dans ses onze emplacements. Le rapport dit que le budget de 2008 était 514 millions de dollars, qui a aidé à servir plus de 2 300 lits.

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Mgr Robert Morlino, évêque bien-aimé des États-Unis, meurt soudainement


Mgr Robert Charles Morlino, évêque du diocèse de Madison au Wisconsin.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le courageux évêque du diocèse de Madison, Mgr Robert Morlino, était un exemple pour ses ouailles et ses confrères. Il a notamment envoyé des directives aux prêtres de son diocèse concernant les personnes décédées en étant dans une « union » homosexuelle ou « notoire ». Ces directives, qui ont fuité vers le grand public, ordonnaient aux prêtres de refuser les funérailles auxdits défunts sous trois conditions réunies : ces personnes devaient être des pécheurs publics notoires ; elles devaient n’avoir montré aucun signe de repentir ; et finalement, leurs funérailles pourraient causer scandale parmi les fidèles. Et Mgr Morlino a tenu bon quand ses directives ont été divulguées dans les médias. Extrait de LifeSiteNews :

Mgr Robert Charles Morlino, évêque du diocèse catholique romain de Madison au Wisconsin, est décédé à la suite d’un « accident cardiaque ».

Selon le diocèse de Madison, Mgr Morlino est décédé le samedi 24 novembre à 21 h 15 à l’hôpital St. Mary. Il avait 71 ans.

Une veillée de prière nocturne a été organisée pour Mgr Morlino au séminaire Holy Name Heights de Madison, alors qu’il était mourant, et s’est terminée ce matin à 8 heures.

L’évêque a été hospitalisé pour un « accident cardiaque » dont il a souffert mercredi alors qu’il subissait un examen médical planifié, et le diocèse s’est tourné vers les médias sociaux pour que l’on prie pour lui. Bien que le pronostic ait été optimiste à l’origine, l’état de l’évêque s’est aggravé samedi. Le vicaire général du diocèse, Monseigneur James Bartylla, écrivit aux prêtres de Mgr Morlino pour leur demander de prier pour un miracle.

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Justice : l’hôpital qui refusait de soigner Léah, si s’en présentait le besoin, y sera obligé

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le CHU de Caen refusait la possibilité d’admettre à nouveau Léah, jeune femme de 19 ans, atteinte du syndrome de l’hémiplégie alternante de l’enfance qui est cause de crises d’épilepsie ainsi que de retards moteurs et mentaux. Extrait de France bleu :

Le 2 novembre dernier le CHU de Caen faisait savoir aux parents de Léah qu’il ne l’accueillerait plus en réanimation en cas de nouvelle crise. Un coup de massue pour le couple de Fourneville, parent de la jeune handicapée de 19 ans. Trois semaines plus tard, son recours engagé auprès du tribunal administratif de Caen lui offre un soulagement. La justice ordonne à l’hôpital caennais de traiter la jeune handicapée comme n’importe quel autre malade.

[…] Le CHU de Caen a encore la possibilité de contester la décision devant le Conseil d’Etat.

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Twitter a fermé le compte d’une féministe qui a écrit que « les hommes ne sont pas des femmes »

Par © Christian Larnet pour Dreuz.info.

Juste quelques mois après que le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a déclaré que sa plateforme ne prenait pas parti et restait neutre pour laisser tout le monde s’exprimer, Twitter a non seulement pris parti, mais est devenu plus gauchiste et orwellien que jamais.

La semaine dernière, Twitter a interdit définitivement Meghan Murphy, une écrivaine basée en Colombie-Britannique, pour avoir critiqué l’idéologie transgenre.

Twitter lui a dit qu’elle devait supprimer les tweets où elle a écrit :

  • « Les femmes ne sont pas des hommes »
  • « En quoi les femmes transgenres ne sont-elles pas des hommes ? »
  • « Quelle est la différence entre un homme et une transsexuelle ? »

La plateforme a suspendu son compte à plusieurs reprises pour cette raison, puis l’a finalement interdite la semaine dernière, affirmant qu’un tel comportement « violait ses règles contre les comportements haineux ».

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Le ministre de l'Éducation du Brésil mettra la préservation de la famille et la protection de la vie au centre de l’éducation


Ricardo Vélez Rodriguez, nouveau ministre de l'Éducation.

Par Pour une école libre — Photo : Capture d'écran d'une vidéo YouTube de José Marcio Artigo142

Le nouveau président du Brésil, Jair Bolsonaro, qui prendra fonction en janvier 2019, a dévoilé le nom du nouveau ministre de l’Éducation du Brésil. Il s’agit d’un philosophe et théologien colombien connu pour ses vues conservatrices.

Favorable aux religieux conservateurs, le futur ministre de l’Éducation est actuellement professeur émérite à l’École de l’état-major de l’armée. Colombien, naturalisé Brésilien il y a plus de 20 ans, Ricardo Vélez Rodriguez est connu pour son opposition à la théorie des genres, il est contre l’éducation sexuelle à l’école — à l’image de Jair Bolsonaro.

Très proche des intellectuels brésiliens de droite, il ne cache pas une certaine nostalgie pour le régime militaire qui a dirigé le pays de 1964 à 1985. Ricardo Vélez Rodriguez compte mettre « les valeurs traditionnelles, de la préservation de la famille, la protection de la vie » au centre de l’éducation. Elles doivent, selon lui « prévaloir pour ce qui est de l’éducation morale, sexuelle et religieuse ». Il a publié plusieurs livres qui s’attaquaient à la corruption de l’ancien parti travailliste au pouvoir du temps de Lula et de Roussef.

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Un politicien hongrois : « Le problème principal de l'Europe n'est pas L'Islam, c'est le rejet du Christianisme »


Màrton Gyöngyösi.

Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie

Dublin, Irlande, 17 septembre 2018 (LifeSiteNews) — L'Europe s'effondrera sous la crise actuelle de l'immigration si elle ne se réclame pas de son identité chrétienne, avertit un membre de l'assemblée nationale de la Hongrie.

« Le Christianisme est au centre de notre culture et de notre civilisation, » a affirmé Màrton Gyöngyösi aux participants de Lumen Fidei, une conférence sur la Famille catholique à Dublin le mois dernier [en août]. La conférence a eu lieu les 22-23 août et incluait des conférenciers tels le Cardinal Raymond Burke (présent sur la vidéo), le Père Thomas Weinandy, Le Docteur Robert Royal, Le Docteur Gerard Van Den Aardweg, John-Henry Westen de LifeSiteNews, John Smeaton, Edward Pentin, L'Évêque Athanasius Schneider (présent sur la vidéo), et plusieurs autres.

« Je peux affirmer que l'histoire de l'Europe est l'histoire du Christianisme, et que la « res publica Christiana » est ce qui caractérise le plus notre civilisation, » a-t-il ajouté.

Et « Bien que l'immigration islamique massive de l'Europe soit une large part de la crise, le problème le plus important demeure l'incapacité des dirigeants européens à reconnaître ce qui arrive présentement, » a-t-il affirmé.

Il est évident que « l'apparition d'une religion étrangère à la frontière d'une civilisation est une menace, » a poursuivi Gyöngyösi, mais « l'expansion de L'Islam n'est qu'une conséquence négative du nihilisme occidental. »

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Une maison de soins infirmiers euthanasie une femme qui n'avait seulement qu'une infection de la vessie

Alex Schadenberg, directeur d'Euthania Prevention Coalition (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

L'affaire s'est passée en 2016, mais reste bien actuelle, puisqu'en 2017 un cas analogue se serait produit. — CQV

J'ai reçu un courriel d'une personne dont la tante est morte par euthanasie, même si elle n’avait peut-être qu'une infection à la vessie. Ce courriel prouve que les soi-disant mesures de protection prévues dans la loi canadienne sur l'euthanasie sont inefficaces et ignorées par les médecins euthanasieurs qui décident qui vit et qui meurt.

La lettre est modifiée pour respecter la vie privée :

Ma tante ... vient d'être euthanasiée aujourd'hui le 9 novembre 2016 par injection létale à la maison de retraite... en Colombie-Britannique. Nous avons été convoqués à une réunion à ... la maison de soins infirmiers le 7 novembre 2016 pour apprendre pour la première fois que notre ... tante avait demandé à être euthanasiée. On nous a dit que cela prendrait au moins 10 jours. Ma sœur et moi avons soutenu que notre tante semblait n'avoir qu'une grave infection de la vessie. Le médecin de l'hospice a dit qu'il examinerait la possibilité de faire analyser son urine avant de procéder à l'euthanasie.

Le même jour, on nous a envoyés à l'appartement de notre tante pour voir le médecin (qui va faire l'injection mortelle à notre tante) faire signer le document par notre tante pour lui donner l'autorisation de l'euthanasier. Après que le docteur ait lu le document à ma tante, le docteur est allé chercher une femme qui travaille dans la cuisine pour parapher toutes les questions pour ma tante. Le docteur a amené deux personnes pour témoigner dans la salle qui avait été témoin d'autres euthanasies.

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Le danger de suicide est plus élevé chez les femmes qui prennent la pilule

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wheeler Cowperthwaite/Flickr

Encore un danger de la pilule contraceptive. Extrait de 20 minutes :

Les femmes qui prennent la pilule courent un risque plus élevé de devenir dépressives et, par conséquent, de s'ôter la vie. C'est le résultat d'une étude danoise [...] Forte de ses constatations, l'Agence européenne des médicaments demande que la notice d'emballage de ce moyen de contraception hormonal soit adaptée afin de mettre en garde contre les risques de dépression et de suicide.

[...]

Quelques informations sur l'étude

L'étude a été réalisée en 2017 par des gynécologues de la clinique universitaire de Copenhague. Les données de près de 500 000 femmes ont été prises en compte. Parmi elles, 69 999 ont tenté de se suicider et 71 se sont suicidées. L'étude a également révélée que le taux de suicide ou de tentative de suicide était presque deux fois plus élevé auprès des femmes qui prennent la pilule.

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