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40 Jours pour la Vie — transmettre le message pro-vie


Brian Jenkins.

Par Brian Jenkins (Campagne Québec-Vie)

De nombreuses bénédictions ont été reçues lors de la vigile de prière pour la fin de l’avortement à Sherbrooke cet automne.

Depuis le début de la vigile, le mercredi 25 septembre dernier, un petit groupe d’hommes et de femmes dévoués maintient une présence de prière dans cette communauté des Cantons de l’Est, près du centre d’avortement situé sur la rue Belvédère, dans le sud de la ville.

L’action menée est particulièrement méritoire. En dehors des heures d’ouverture de l’avortoir, des bénévoles se réunissent fréquemment à cinq minutes de marche de là, à l’intersection très fréquentée des rues Belvédère et Galt, pour transmettre le message pro-vie aux passants des heures de pointe et aux magasineurs de la fin de semaine, et ils le font avec un succès remarquable.

Par exemple, un soir, alors que je discutais avec un itinérant local, j’ai été abordé par un jeune homme qui semblait sincèrement vouloir comprendre comment je pouvais encourager les autres à prier pour la fin de l’avortement. (Ce sont les mots inscrits sur la pancarte que je porte accrochée au cou).

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Avant que je puisse dire un mot, et à ma grande surprise, le brave itinérant, Rémy, a exprimé le message pro-vie aussi clairement et succinctement que j’aurais pu le faire. L’avortement est la destruction délibérée d’une vie humaine, a-t-il dit au jeune homme de seize ans, sans hésiter.

Un autre moment remarquable s’est produit le dimanche précédent lorsque Sylvain, bénévole de la prière, a été abordé par un homme. Ce dernier était venu à la demande de sa sœur, qui, en voiture, avait été scandalisée de nous voir. Le ton bruyant et bourru de Stéphane, qui défendait l’avortement, s’est rapidement transformé au cours de la conversation avec Sylvain. Nous ne savons pas si Stéphane a changé d’avis, mais il a échangé pendant une période prolongée de temps et les deux hommes se sont serré la main avant de se séparer.

Un troisième cas s’est produit alors que j’étais seul à la vigile près du centre d’avortement. De l’autre côté de la rue, une jeune femme a remarqué notre pancarte de soutien à la grossesse et s’est approchée pour en savoir plus sur l’aide que nous offrons. Je lui ai parlé des différentes femmes que nous avons aidées. La discussion l’a amenée à parler de sujets personnels — sa propre fausse couche et une grossesse et un accouchement ultérieurs qui l’ont consolée de sa perte antérieure.

La vigile de prière se poursuivra jusqu’au dimanche 3 novembre 2024 et se déroule actuellement dans 21 autres municipalités du Canada, soit le plus grand nombre depuis le début de la vigile en 2003. Les participants à la vigile ne se contentent pas de prier et d’offrir amour et soutien aux mères en quête d’avortement à proximité des deux centres d’avortement locaux, ils s’engagent avec les hommes et les femmes de la région dans des échanges sur l’avortement et ses méfaits pour les femmes et pour la société en général.



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