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Un nouveau film d’animation montre la réalité déchirante de l’avortement en détails crus

Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Choice42/YouTube

1er novembre 2022 (LifeSiteNews) — Choice42 a publié une nouvelle vidéo qui expose la réalité de l’avortement — et elle est déchirante.

Le 31 octobre, l’organisation pro-vie Choice42, en partenariat avec Loor.TV, a présenté une nouvelle vidéo qui expose la réalité graphique de l’avortement en détails crus. Intitulé The Procedure et basé sur une histoire vraie, le clip animé de quatre minutes montre en détail une procédure d’avortement chirurgical, soulignant l’humanité de l’enfant et montrant de manière vivante la réalité de sa douleur. Raconté du point de vue de l’échographiste qui assiste à la procédure, le film rappelle de manière déchirante que l’avortement est le meurtre d’un enfant innocent.

Le narrateur du film est l’acteur chrétien Kevin Sorbo, qui est surtout connu pour ses rôles principaux dans les séries télévisées Hercules : The Legendary Journeys et Andromeda.

« Je venais d’arriver au travail en tant que principal échographiste de l’hôpital et je regardais le tableau de consultations pour la journée lorsque mon supérieur me demanda de me rendre immédiatement au bloc opératoire », commence le récit de la vidéo.

« Le chirurgien demandait un guidage par ultrasons. C’est tout ce qu’on m’avait dit ; je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait. »

La vidéo suit l’échographiste dans la salle d’opération, où il constate que la patiente est déjà allongée, sous sédatif, sur la table, en attente du chirurgien. Le chirurgien demande à l’échographiste de placer sa sonde à ultrasons sur le bassin obstétrical de la femme, ce qu’il fait, encore incertain de ce qui va se passer.

« Encore confus au sujet de la procédure, j’ai fait ce qu’il m’a demandé et j’ai réalisé que la femme était enceinte », poursuit le narrateur, alors que la vidéo montre la forme granuleuse d’un enfant sur son écran d’échographie. « Elle était dans son deuxième trimestre, je pus donc aisément déterminer le sexe de son bébé : une petite fille ».

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Attention, le contenu de cette vidéo peut être choquant.

Le narrateur raconte ensuite qu’il a regardé, abasourdi, le chirurgien insérer un cathéter dans le sac amniotique, suivi d’une paire de forceps. La petite fille recule dans les parties supérieures de l’utérus de sa mère, essayant de s’éloigner, mais en vain.« Horrifiée, je vis qu’il insérait une pince forceps et saisissait sa petite jambe », raconte le narrateur. « Elle se tordait de douleur, essayant de se libérer, mais elle n’avait nulle part où aller. »

La vidéo montre la petite fille se tortillant de douleur et de terreur, tandis que l’avorteur la déchire membre par membre.

« Puis le médecin tira fortement jusqu’à ce que sa jambe se détache de son corps », poursuit le narrateur. La vidéo montre la petite fille recroquevillée en boule, pleurant de douleur, le sang commençant à obscurcir l’écran.

Sa douleur est tangible, mais le meurtre n’est pas encore terminé.

« La pince avait saisi son bras, et elle luttait pour se dégager », dit le narrateur, ajoutant que ses yeux se sont remplis de larmes en voyant l’avorteur arracher son petit bras de son corps.

« Ses mouvements faiblissent maintenant parce qu’elle [est] en train de mourir ».

Le narrateur continue d’expliquer ce qui se passe, tandis que le spectateur peut voir les forceps s’approcher à nouveau de l’enfant. Son visage est tordu par la douleur qu’elle a déjà endurée.

« L’enfant se recroquevilla à nouveau en une boule serrée, mais l’engin de nouveau saisit son autre jambe, et celle-ci fut arrachée de son corps », dit-il, observant que les battements de son cœur ont maintenant ralenti de manière significative, mais qu’elle est toujours en vie alors que l’avorteur arrache le dernier membre qui lui reste de son petit corps.

« Elle gigotait et se tortillait, puis son cœur finalement s’arrêta de battre », dit le narrateur, alors que les signaux de vie sur son appareil s’éteignent. Il se souvient que l’infirmière et le technicien présent dans la pièce ont sursauté lorsqu’il a annoncé qu’il n’y avait plus d’activité cardiaque, réalisant que l’enfant avait été bien vivante pendant toute la durée de l’avortement.

La vidéo montre alors que l’avorteur retire les derniers « produits de conception » de l’utérus de la femme, recomposant le corps complet mais démembré de la petite fille très humaine.

« Jusqu’à ce moment-là, j’étais figé », dit le narrateur, alors que les téléspectateurs peuvent voir l’échographiste partir, hébété par ce dont il vient d’être témoin. « Je retirai silencieusement l’appareil à ultrasons de la salle d’opération, puis m’en allai directement au vestiaire où je vomis. »

Il dit avoir quitté son emploi peu de temps après, jurant qu’il ne participerait plus jamais au meurtre d’un enfant.

La vidéo se termine par un avertissement qui donne à réfléchir de la part de l’échographiste, qui dit être encore hanté aujourd’hui par les souvenirs du meurtre auquel il a participé, même s’il se trouve vingt ans derrière lui.

« Le plus triste, c’est que cette procédure se déroule encore aujourd’hui », a-t-il déclaré. « Les gens n’ont aucune idée que nous assassinons des bébés de cette manière. Ils pensent que ce n’est pas une personne, que c’est juste une masse de tissus ».

« Je suis tellement désolé pour ce qui est arrivé à cette petite fille, pour ce que je lui ai fait », conclut-il. « Je suis désolé, ma chérie. Je suis tellement désolé. »



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