Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/Adobe Stock
Ce que vit Mike Del Grande, conseiller scolaire du Toronto Catholic District School Board (TCDSB), a tout d’un drame judiciaire hollywoodien !
Il se défend à la fois devant la Cour supérieure de justice de l’Ontario et devant l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario ! CLC a organisé le financement communautaire de ces deux défenses juridiques distinctes pour Del Grande.
Dans les deux cas, il est attaqué pour avoir utilisé une rhétorique forte jugée « offensante » par les militants LGBT.
Ils n’ont pas apprécié le fait qu’il se soit opposé à une motion visant à ajouter une idéologie transgenre radicale au code de conduite officiel du TCDSB. À savoir, ajouter « l’identité de genre » et « l’expression de genre » comme motifs protégés de non-discrimination, ce qui ouvrirait la porte à toutes sortes de comportements anti-chrétiens dans les murs des écoles « catholiques » de Toronto.
Devant la Cour supérieure, M. Del Grande a demandé à un panel de trois juges d’annuler les sanctions qui lui ont été imposées par une majorité des membres du conseil d’administration lors d’un vote illégal tenu le 11 novembre 2020.
Les sanctions comprenaient la participation à un camp de rééducation pour changer sa vision de « l’équité » et l’obliger à ramper pour obtenir le pardon en présentant des excuses publiques forcées à la « communauté LGBT ».
Vous ne saviez pas que la justice soviétique faisait son retour, n’est-ce pas ?
Aujourd’hui, j’ai une nouvelle de dernière minute...
Del Grande vient de recevoir la décision de la Cour supérieure, ce vendredi 13 janvier. Elle a été rédigée par la juge Sandra Nishikawa, qui a été nommée à la magistrature en 2018 par Justin Trudeau. Serait-ce vous gâcher la surprise de sa décision si je vous disais que pendant l’audience de révision judiciaire diffusée en direct, les pronoms woke et ostentatoires « She/Her » étaient affichés juste à côté du nom de la juge Nishikawa ?
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Vous l’avez deviné. La décision était mauvaise.
Avec Nishikawa comme auteur, la Cour a rejeté tous les arguments présentés par le conseiller juridique de Del Grande. Elle a déclaré que le TCDSB a agi légalement en déclarant l’administrateur Del Grande coupable de « mauvaise conduite » pour avoir défendu la doctrine morale catholique.
FAIT AMUSANT : Avant que Trudeau ne la nomme à la magistrature, la juge Nishikawa a travaillé comme avocate pour un organisme radicalement anti-chrétien, la Commission ontarienne des droits de la personne. De plus, elle a siégé au conseil d’administration du Fonds d’action et d’éducation juridique pour les femmes, organisme féministe, pro-avortement et pro-LGBT.
M. Del Grande et son conseiller juridique sont en train d’examiner attentivement la décision et d’envisager un appel devant une instance supérieure.
Veuillez faire un don généreux au fonds de défense juridique de Del Grande. Il a besoin d’aide pour couvrir les frais importants encourus jusqu’à présent et pour envisager un appel. Cliquez ici pour faire un don.
À certains égards, l’audience de l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (OEEO), qui a commencé en novembre et se poursuivra jusqu’en mai, a été un suspense encore plus grand, pour ce qui est des drames de salle d’audience.
Regardez la vidéo que Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de CLC, vient d’enregistrer sur les rebondissements dramatiques et les révélations choquantes qui sont ressortis de l’audience de l’OEEO jusqu’à présent.
Ensuite, merci de faire un don pour aider à financer cette défense juridique également !
Je tiens à vous remercier de soutenir cet administrateur chrétien héroïque par vos prières et votre soutien financier.
Pour la vie, la foi et la famille.