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Trump signe un décret exécutif pour protéger les bébés survivant à l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels

Trump a signé le 23 septembre un décret exécutif destiné à assurer à tout bébé né vivant, même dans le cadre d’un avortement raté, même s’il devait rester handicapé, les soins nécessaires à sa survie. Aux États-Unis comme ailleurs, plusieurs hôpitaux et médecins refusent les soins aux bébés avortés ayant survécu à l’avortement, ou aux bébés naissant avec un handicap ou venant au monde prématurés bien que d’un âge viable. Selon LifeSiteNews :

Le président Donald Trump a signé vendredi un décret afin de garantir que tous les bébés nés vivants, y compris après des tentatives infructueuses d’avortement, reçoivent les soins médicaux nécessaires à leur survie.

« Tout enfant né vivant, quelles que soient les circonstances de sa naissance, a la même dignité et les mêmes droits que tout autre individu et bénéficie des mêmes protections en vertu du droit fédéral », soulignait Trump.

Il avait d’abord annoncé son décret lors du National Catholic Prayer Breakfast de mercredi [21 septembre].

Le président fit référence à un certain nombre de lois destinées à « protéger les bébés nés vivants contre la discrimination dans la prestation de traitements médicaux, y compris les bébés qui ont besoin de traitements médicaux d’urgence, qui sont prématurés ou qui sont nés avec un handicap ».

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« Ces bébés ont droit à un accès concret et non discriminatoire aux examens et services médicaux, avec le consentement d’un parent ou d’un tuteur, lorsqu’ils arrivent dans les hôpitaux recevant des fonds fédéraux », souligna-t-il.

Cependant, « certains hôpitaux refusent l’examen médical et les soins requis stabilisant l’état du patient ou ne fournissent pas les traitements médicaux potentiellement salvateurs aux bébés extrêmement prématurés ou handicapés, même lorsque les parents supplient pour un tel traitement ».

De nombreux hôpitaux soutiennent que soigner des bébés nés vivants avant 24 semaines de grossesse est inutile, car « ils pensent que ces nourrissons pourraient ne pas survivre, qu’ils pourraient devoir vivre avec des handicaps à long terme ou qu’ils pourraient avoir une qualité de vie jugée inadéquate ».

Et Trump de rétorquer : « le traitement actif des nourrissons extrêmement prématurés a cependant montré qu’il améliorait leur taux de survie. Et le refus de les traiter, ou le fait de décourager les parents de chercher un tel traitement pour leurs enfants, déprécie la vie de ces enfants et peut violer la loi fédérale ».

« Les États-Unis ont pour politique de reconnaître la dignité humaine et la valeur inhérente de chaque nouveau-né ou autre enfant en bas âge, indépendamment de sa prématurité ou de son handicap, et d’assurer à chaque enfant la protection qui lui est due par la loi », indique le décret.



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