Stallone est, lui aussi, un survivant de l'avortement
Sylvester Gardenzio Stallone.
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo (modifiée) : Georges Biard/Wikimedia Commons
Nous étions en 1946, Sylvester Gardenzio Stallone n’avait pas encore ses gros muscles. Ils ne lui auraient néanmoins pas vraiment servi contre le cintre avec lequel on a tenté de le supprimer… Et « on », c’était sa mère. Un aveu difficile à entendre pour ses filles auxquelles il répond dans un récent épisode de son documentaire autobiographique, Sly, qui paraît sur Netflix. La star aurait même survécu à plusieurs tentatives d’avortement. Il le raconte aujourd’hui avec un mélange de compassion et de tristesse, à présent que sa mère, Jackie Stallone, est décédée.
Il est intéressant qu’une star aussi médiatique fasse ce genre de confession, qui plus est sur une plate-forme en vue : ces survivants ne sont donc pas des fantômes, comme la doxa pro-choix s’acharne à nous le faire croire. Non seulement ils existent mais ils sont bien plus nombreux qu’on ne le croit. Une dernière étude canadienne officielle révèle qu’un bébé sur quatre avorté à 23 semaines de gestation, au Québec, naît vivant… Et à combien d’entre eux sont apportés des soins ? C’est là toute la question.
Lire la suiteMelissa Ohden, militante pro-vie, raconte comment elle a survécu à un horrible avortement tardif
Melissa Ohden.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Students for Life/YouTube
25 juillet 2024 (LifeSiteNews) — La militante pro-vie Melissa Ohden a raconté comment elle a survécu à un avortement alors qu’elle était bébé, encourageant d’autres personnes à partager leurs histoires d’avortement.
Dans une vidéo diffusée le 19 juillet par Students for Life, Ohden, une militante pro-vie bien connue aux États-Unis, a raconté comment elle a retrouvé sa mère biologique des années après avoir été séparée d’elle à la naissance à la suite d’un avortement raté.
« En août 1977, j’ai survécu à un avortement par perfusion saline », a commencé Melissa. « Ma mère biologique était étudiante et s’est fait avorter contre son gré par sa mère, ma grand-mère ».
Sa grand-mère étant infirmière, elle a contourné les procédures normales d’avortement et a forcé sa fille de 19 ans à subir une procédure secrète « avec l’aide de son ami et collègue, l’avorteur local ».
L’avorteur a tenté de tuer Melissa en injectant une solution saline toxique dans le liquide amniotique qui l’entourait dans l’utérus. La solution était conçue pour empoisonner et brûler Melissa jusqu’à ce qu’elle en meure, car elle était entourée de ce liquide toxique dans l’utérus de sa mère.
Après que Melissa ait trempé dans la solution saline toxique pendant cinq jours, l’accouchement de sa mère a été provoqué et elle devait mettre au monde un bébé mort. À la surprise de l’avorteur, Melissa n’était pas morte et elle est née vivante.
Lire la suiteUne survivante de l’avortement raconte son histoire d’espoir et de pardon
Micaella.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Students for Life/YouTube
17 juillet 2024 (LifeSiteNews) — La dernière vidéo d’une série pro-vie fait connaître l’histoire frappante de Micaella, une femme élevée par des parents adoptifs qui a longtemps ignoré qu’elle était la survivante d’une tentative d’avortement par sa mère biologique.
Dans une vidéo diffusée le 5 juillet par Students for Life, Micaella révèle qu’elle est née vivante lors d’un avortement raté et qu’elle a été abandonnée par sa mère biologique en même temps que son frère âgé de deux ans.
« Les six premières années de ma vie ont été passées dans des familles d’accueil », explique-t-elle dans cette vidéo étonnante. « Je n’avais pas de nom. Je n’avais pas de date de naissance, mais je me souviens que mon frère aîné m’appelait. À part cela, je n’avais pas d’identité ».
Micaella et son frère ont finalement été adoptés et, en grandissant, Micaella a commencé à rechercher ses parents biologiques.
« En grandissant, j’ai souffert de plusieurs problèmes de santé inexpliqués au niveau du cœur, des poumons et de la colonne vertébrale », explique-t-elle. « Mes parents et moi-même nous sommes toujours interrogés sur mes antécédents médicaux, mais personne n’a pu nous fournir de réponses ».
Micaella s’est adressée aux services locaux de l’emploi et de la famille pour obtenir des informations sur sa naissance et ses parents, mais on lui a répondu que ses dossiers étaient « scellés ».
Lorsque Micaella a fondé sa propre famille, elle a désiré encore davantage connaître son passé, se demandant notamment si son fils souffrirait des mêmes problèmes médicaux qu’elle.
Lire la suiteSurvivante de l’avortement, elle a été adoptée
Amy Miles.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Amy Miles a toujours su qu’elle avait été adoptée et qu’elle était née prématurément. Elle pensait que sa mère biologique — qui était étudiante lorsqu’elle est devenue enceinte — se souciait tellement d’elle qu’elle l’avait placée en adoption pour qu’elle ait un foyer stable et aimant. La vérité était bien plus dérangeante, et Miles ne l’a apprise qu’à l’âge de 36 ans.
Mme Miles a déclaré à Live Action News : « Mes parents adoptifs m’ont beaucoup protégée. Ils ont dû faire face à de nombreuses difficultés dans leur parcours d’adoption. Lorsqu’ils ont vu mon petit corps dans l’unité néonatale d’un hôpital catholique, ils ont remarqué une marque sur ma tête et n’étaient pas sûrs de ce que c’était. Parce qu’ils étaient hésitants, le juge leur a dit de “dormir dessus”, mais mon père savait qu’ils devaient être mes parents ».
Un médecin a dit aux parents de Miles de surveiller les signes d’infirmité motrice cérébrale, une maladie causée par une anomalie ou une interruption du développement du cerveau.
« Ma mère était infirmière et m’emmenait sans cesse chez le médecin pour me faire examiner », raconte Miles. « Mes capacités motrices étaient lentes et je n’ai appris à marcher qu’à l’âge de trois ans ».
Lorsqu’on a diagnostiqué une infirmité motrice cérébrale chez Miles, un médecin a dit à sa mère que Miles devrait probablement être placée en institution. Un autre médecin a assuré à ses parents que Miles irait bien — et ce fut le cas, bien qu’elle ait eu une enfance difficile à cause de son handicap ; en plus d’une coordination musculaire déficiente, elle portait des appareils auditifs et se sentait différente de ses camarades de classe.
Miles a déclaré : « Nous étions une famille croyante et nous avons surmonté les pires épreuves ».
Lire la suite« Dieu avait un plan pour ma vie » — une survivante de l’avortement raconte son émouvante histoire
Hope Hoffman.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Students for Life/YouTube
8 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Une nouvelle vidéo pro-vie présente l’émouvante histoire de Hope Hoffman, une femme de 32 ans qui a survécu à une tentative d’avortement dix semaines [après sa conception] et a ensuite été adoptée par une famille aimante.
Dans une vidéo diffusée le 28 juin par Students for Life, Terri et Hope Hoffman, mère et fille adoptive, ont expliqué comment Hope a survécu à l’avortement à seulement 10 semaines et s’épanouit maintenant dans une famille aimante 32 ans plus tard.
« C’était le plus beau bébé que j’aie jamais vu », se souvient Terri. « Elle aime de tout son cœur. Sa vie a un grand but ; son histoire sauve des vies et change les cœurs. »
Alors qu’elle était enceinte de dix semaines, la mère biologique de Hope a tenté de tuer son bébé par avortement. En quittant la clinique d’avortement, la mère biologique de Hope croyait bien qu’elle avait tué son enfant.
Cependant, quelques semaines plus tard, elle s’est rendu compte que son bébé était toujours là, bien en vie et, heureusement, elle a décidé de ne pas retourner à la clinique d’avortement, mais de donner Hope en adoption.
Lire la suiteL’auteur de la loi du Kansas sur les survivants de l’avortement: « J’ai personnellement vu un bébé survivant d’une tentative d’avortement »
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
13 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Le parrain d’une loi du Kansas exigeant des soins médicaux de base pour les nouveau-nés qui survivent à des avortements ratés dit qu’il sait qu’une telle législation est nécessaire parce que, contrairement aux récits de la clique de l’avortement, il a personnellement vu un bébé survivre à une tentative d’avortement.
Au début de l’année, le corps législatif du Kansas a adopté la loi HB 2313 après le veto du gouverneur démocrate Laura Kelly. La loi exige que lorsqu’un enfant naît vivant après une tentative d’avortement, l’avorteur doit « exercer le même degré de compétence professionnelle, de soin et de diligence pour préserver la vie et la santé de l’enfant qu’un prestataire de soins raisonnablement diligent et consciencieux le ferait pour tout autre enfant né vivant au même âge gestationnel » et « s’assurer que l’enfant né vivant est immédiatement transporté à l’hôpital ».
Elle exige également que tout manquement à cette règle soit « immédiatement » signalé aux autorités chargées de l’application de la loi. Les personnes qui pratiquent quand même des avortements se rendraient coupables d’un « crime contre la personne, de niveau de gravité 1 » et pourraient être tenues responsables des dommages civils si la mère engageait une action en justice. Les établissements qui ne signaleraient pas les infractions seraient passibles d’amendes.
Le 9 octobre, le représentant républicain de l’État Ron Bryce, qui est médecin, a publié dans le Wichita Eagle une tribune détaillant un incident dont il a été témoin en 1988 alors qu’il était interne à l’hôpital John Peter Smith, au Texas. Il a été appelé pour un code bleu, généralement une alerte pour les urgences médicales, mais lorsqu’il est arrivé dans la chambre, ni la patiente ni le chirurgien traitant ne montraient de signes d’une situation d’urgence.
Bryce a alors entendu le cri d’un enfant prématuré qui « a accompli ce qui semblait impossible : il a survécu à son avortement. Bien qu’assez fort pour vivre brièvement hors de l’utérus, il était encore trop jeune pour survivre très longtemps séparé de sa mère ». Bryce a transféré le petit garçon aux soins intensifs néonatals, où il est décédé après plusieurs heures de respiration difficile.
Lire la suiteDes milliers de bébés survivent à l’avortement chaque année — l’industrie de l’avortement veut effacer leur existence
Par David Bjornstrom — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
12 décembre 2022 (LifeSiteNews) — Nous avons tous vu des films de meurtre dans lesquels la victime visée ne veut tout simplement pas mourir. Nous le voyons à nouveau alors que l’industrie de l’avortement tente de résoudre le problème des naissances vivantes, que les avorteurs appellent « la complication redoutée ».
L’industrie de l’avortement fait pression pour obtenir une loi qui pourrait la protéger contre des poursuites judiciaires ou criminelles si le bébé meurt ou est tué après avoir survécu à un avortement bâclé, ou pour les blessures du bébé s’il ne meurt pas. Le Colorado, la Californie et le Michigan ont adopté cette année des lois sous le couvert de « soins de santé génésique » qui semblent autoriser le meurtre ou le refus de traitement médical postnatal aux survivants d’un avortement. La mort de l’enfant ou les blessures résultant d’un avortement raté sont appelées par euphémisme « conséquences de la grossesse ».
Le gouvernement fédéral n’est d’aucune aide, car le Congrès refuse d’adopter une loi protégeant les survivants de l’avortement.
Survivants de tentatives d’avortements tardifs
Il y a des milliers de survivants d’avortements nés vivants chaque année. Les plus visibles sont ceux qui s’en sortent de justesse après des tentatives d’avortement tardif, souvent avec des problèmes de santé résiduels. Leur nombre est d’au moins 17 855 depuis 1973, selon le Réseau des survivants de l’avortement formé en 2012 par Melissa Ohden, survivante d’un avortement par solution saline. Le nombre réel est probablement beaucoup plus élevé puisque la FDA et la plupart des États n’obligent pas les prestataires d’avortement à déclarer les naissances vivantes.
Mais ces personnes ne sont pas les seules à avoir survécu à un avortement. Il y en a des milliers d’autres qui survivent à des tentatives d’avortement chimique ratées et, plus tragiquement, des milliers de bébés qui survivent chaque année à des avortements par induction au deuxième trimestre pour mourir quelques heures après leur naissance des suites de leurs blessures, d’une négligence médicale ou pire encore.
Lire la suiteL’histoire d’un champion international de natation qui a survécu à l’avortement
Ernie A. Gawilan.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
30 août 2021 (LifeSiteNews) — Si vous lisez le profil du nageur philippin Ernie A. Gawilan sur le site internet du Comité international paralympique, vous ne lirez rien sur l’avortement. Son « type de déficience » est répertorié comme « déficience d’un membre », et l’« origine de la déficience » est notée comme « congénitale ».
Gawilan a commencé à nager en l’an 2000 pendant son temps libre, alors qu’il travaillait comme homme de ménage à Samal, et un entraîneur de natation l’a remarqué. Gawilan a ensuite remporté trois médailles d’or et deux d’argent aux Jeux paralympiques asiatiques de 2018 en Indonésie, devenant ainsi le premier athlète philippin à le faire.
Gawilan participe cette année aux Jeux paralympiques de 2021 à Tokyo, mais l’histoire du célèbre nageur est plus complexe qu’il n’y paraît immédiatement. Dans une entrevue en 2014, Gawilan a révélé qu’il a bien failli ne pas sortir vivant de l’utérus. Il n’a pas de jambes et son bras gauche ne s’est pas complètement développé, mais il est aussi devenu orphelin lorsque sa mère est morte du choléra alors qu’il n’avait que cinq mois.
Gawilan a été conçu lors d’une liaison de sa mère avec un autre homme, et le petit garçon a failli mourir dans l’utérus lors d’un avortement raté alors qu’elle tentait de cacher sa grossesse à son mari (qui les a ensuite abandonnés).
« Je devais être un bon nageur même dans l’utérus de ma mère, car j’ai survécu à l’avortement », a-t-il déclaré au journaliste. « J’ai simplement nagé ».
Lire la suiteTémoignage sur l’adoption : « Oui, j’ai un père pro-vie parce qu’il est pro-amour et pro-famille »
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Dawn Milberger est mariée, survivante de l’avortement et conférencière pro-vie. Son histoire est tout à fait étonnante car elle a survécu à de multiples tentatives d’avortement.
Melissa Ohden, blogueuse de LifeNews, a déjà raconté son histoire.
Lire la suiteDawn raconte que lorsqu’elle a rencontré ses deux parents biologiques en 1986, elle a découvert la vérité sur sa survie et a été « stupéfaite et choquée » par les informations qui lui ont été communiquées. L’une des premières choses que sa mère biologique lui a dites, c’est : « J’ai besoin de te demander pardon parce que j’ai essayé de me débarrasser de toi... deux fois ».
Sa mère biologique a avoué qu’une de ses amies, une infirmière, lui a fait des injections à deux reprises (d’une substance que Dawn ne connaît pas), dans le but de provoquer une fausse couche.
Encore sous le choc des déclarations de sa mère biologique, son père biologique a commencé à confesser ses actes commis envers elle quand elle était encore dans l’utérus. Il lui a dit : « Je dois aussi te demander pardon, car j’ai délibérément joué avec l’abdomen de ta mère biologique, qui était enceinte, comme avec un punching-ball, pour qu’elle fasse une fausse couche, et je lui ai fait faire de rudes promenades à dos de cochon pour te faire tomber. »
En tant que personne adoptée, Dawn espère que son témoignage personnel sur l’adoption encouragera les gens à considérer l’adoption sous un jour entièrement nouveau, comme une bénédiction et non un fardeau.
Trump signe un décret exécutif pour protéger les bébés survivant à l’avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels
Trump a signé le 23 septembre un décret exécutif destiné à assurer à tout bébé né vivant, même dans le cadre d’un avortement raté, même s’il devait rester handicapé, les soins nécessaires à sa survie. Aux États-Unis comme ailleurs, plusieurs hôpitaux et médecins refusent les soins aux bébés avortés ayant survécu à l’avortement, ou aux bébés naissant avec un handicap ou venant au monde prématurés bien que d’un âge viable. Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteLe président Donald Trump a signé vendredi un décret afin de garantir que tous les bébés nés vivants, y compris après des tentatives infructueuses d’avortement, reçoivent les soins médicaux nécessaires à leur survie.
« Tout enfant né vivant, quelles que soient les circonstances de sa naissance, a la même dignité et les mêmes droits que tout autre individu et bénéficie des mêmes protections en vertu du droit fédéral », soulignait Trump.
Il avait d’abord annoncé son décret lors du National Catholic Prayer Breakfast de mercredi [21 septembre].
Le président fit référence à un certain nombre de lois destinées à « protéger les bébés nés vivants contre la discrimination dans la prestation de traitements médicaux, y compris les bébés qui ont besoin de traitements médicaux d’urgence, qui sont prématurés ou qui sont nés avec un handicap ».