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Les suicides de désespérés sont de plus en plus nombreux

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist

Comptera-t-on un jour le nombre de morts qu’auront occasionnés les mesures anticoronavirus, dont le confinement ? Les décès attribuables à l’hystérie entretenue par les gouvernements et les médias ? Le confinement semble faire monter le nombre de suicides, selon la Coalition pour la prévention de l’euthanasie (CPE) :

Un article de Shannon Roberts publié par Mercatornet suggère que la crise COVID-19 a amené une augmentation en suicide de désespoir. Roberts fait le lien entre les recherches indiquant que les décès liés aux opioïdes sont souvent alimentés par la solitude et le manque d’espoir, des facteurs qui ont été amplifiés par la crise COVID-19. Roberts écrit :

« De nombreux conseillers en toxicomanie vous diront qu’il s’agit de décès causés par un manque de contact, alimentés par la solitude et le manque d’espoir. Il est également bien documenté qu’un nombre croissant de jeunes hommes sans but ni emploi se sont adonnés aux opioïdes. Il est révélateur que le confinement du Covid-19 et la perte d’emploi semblent augmenter considérablement le taux de mortalité. »

Roberts cite un article de Chris McGreal publié dans The Guardian, qui indique :

« … le coronavirus semble anéantir les progrès réalisés contre l’épidémie de drogue qui a fait près de 600 000 morts aux États-Unis au cours des deux dernières décennies. »

Je dirais plutôt que c’est la façon dont on réagit au coronavirus qui est la cause de tant de désastres. CPE continue, reprenant Shannon Roberts citant Chris McGreal :

« Pire, il jette également les bases d’une recrudescence à long terme de la toxicomanie en aggravant nombre des conditions, notamment le chômage, le faible revenu et l’isolement, qui ont contribué à la montée de l’épidémie d’opiacés et aux “morts de désespoir”.

… “Le nombre de surdoses d’opiacés monte en flèche et je ne pense pas qu’il sera facile de revenir en arrière”, déclara le Dr Mike Brumage, ancien directeur du West Virginia office of drug control policy.

“Je suis un fervent partisan de l’idée que le contraire de la dépendance n’est pas la sobriété, le contraire de la dépendance est le contact. Il est clair que ce que nous avons perdu avec la pandémie, c’est le contact”, déclara-t-il. »

J’imagine que ce médecin veut dire par là que le contact social est essentiel à la sobriété. CPE poursuit, plus loin :

Lorsque l’on considère l’épidémie de suicide sous le rapport de notre culture, il semble que Brumage ait raison, que l’augmentation du taux de suicide est étroitement liée à l’augmentation de la solitude culturelle et de l’isolement social.

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