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La cruauté de l’avortement

Billet de blogue d’Elisa

C’est bien connu, les partisans po-choix considèrent l’avortement comme un choix fondamental qui n’engage et ne concerne que la mère...

Le père n’aurait rien à dire et l’embryon ou le fœtus n’est pas considéré comme un être vivant entrant dans l’équation.

On affirme que l’embryon serait physiologiquement incapable de souffrir et curieusement on ne traite même pas du sujet en ce qui concerne le fœtus, tant il est évident que son système nerveux développé lui permet de ressentir la douleur, mais n’en parlons surtout pas, ne pas faire culpabiliser les femmes est la priorité numéro 1, le fœtus peut bien souffrir autant qu’il peut !

Ne serait-ce que les faire réfléchir d’un point de vue moral est menacé de censure, et ceux-là mêmes qui imposent la censure prônent le « consentement éclairé » alors qu’ils refusent même que la mère puisse voir son enfant par échographie.

Comment peut-on nommer cela « consentement éclairé » alors que les mères qui doutent de vouloir vraiment avorter n’entendent souvent qu’un seul point de vue déterminé des pro-choix ?

Le terme « IVG » a été créé dans ce sens : cacher la réalité crue de l’acte derrière un acronyme aseptisé.

Marie Stopes, une chaîne internationale d’avortements a usé du même stratagème malhonnête au Kenya.

Le mensonge éhonté est d’ailleurs le fondement de leur « métier » (dont on se passerait bien).

Ils proposaient illégalement des avortements aux femmes adultes et mineures en appelant cela « soins prénataux ».

En quoi éliminer une vie est-ce un soin ?

Est-ce que la plupart de ces millions de femmes qui avortent chaque année seraient en danger de mort en poursuivant leur grossesse ?

L’organisation « citizengo » a stoppé avec succès leur engouement pour leur commerce de mort lucratif.

Pour que le terme « consentement éclairé » puisse être utilisé honnêtement, il faudrait informer sur tous les détails de la procédure chaque femme qui s’apprête à avorter.

Leur décrit-on systématiquement que la chair de sa chair va être aspirée violemment alors que son cœur bat encore avec toute la vigueur d’un être qui ne demande qu’à vivre ? Leur dit-on franchement que la méthode saline l’empoisonnera sans répit, brûlera ses chairs, l’aveuglera sans compassion pour son innocence ?

L'article continue ci-dessous...

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Pour un avortement par démembrement, lui dit-on sans détour qu’il sera dépecé, écartelé membre après membre, et ce alors qu’il est parfaitement vivant.

Le soi-disant « médecin » profite de son statut d’autorité et de respectabilité, pour faire du mal à un innocent en toute impunité, pire, en toute légalité.

Au stade de développement du fœtus ou l’on pratique ce genre de torture, on ne peut nier qu’il souffre.

Soyons honnêtes sur ce que subit ce pauvre être, ce bébé qui n’a rien fait pour mériter tant de souffrances et dont le seul crime est de ne pas avoir été conçu au « bon moment » et de déranger sa maman.

Comment peut-on arracher l’un après l’autre les bras et les jambes d’un bébé innocent, détruire tout ce qui le rattache à la vie (et que le corps de sa mère a précieusement créé) d’une façon si abominablement dénuée de pitié, puis une fois la tâche finie, se laver les mains comme si on venait de recoudre une simple plaie, discuter entre collègues comme si de rien n’était.

Alors qu’en réalité il vient de mettre à mort un innocent en utilisant un procédé plus digne d’un abattoir que d’un hôpital où on est censé prendre soin de l’être humain (et même s’ils n’ont pas fini leur croissance, l’embryon et le fœtus sont des êtres humains !).

Ce qui justifie au nom des personnes (qui ne méritent pas le noble nom de médecins) de commettre de tels actes est ce « féminisme égocentrique » qui pullule sur toute la planète qui tente d’imposer ses vues à force d’hystérie de plus en plus insensée.

Il suffit d’admirer les femen pour comprendre que leur mode d’action pour ce faire entendre n’est surtout pas de se servir de raisonnements intelligents mais juste de hurler sans cesse, jusqu’à ce que les gouvernements (et les civils qui doivent supporter le poids de leurs dépenses) cèdent, se lassent de les entendre, cèdent à leurs caprices.

Et elles prétendent relever l’image des femmes...

Ce « féminisme » qui n’en finit plus de se complaire dans le rôle de victime perpétuelle et de se regarder le nombril.

Ce monstre que l’on nourrit et qui se croit puissant lorsque les gouvernements cèdent à ces dogmes rigides...

Ainsi, ces femmes sans cœur se fichent de savoir si l’enfant (leur propre enfant) aura une mort brutale et affreuse, tant que leur propre choix et leur liberté passent en premier.

Ces odieux pro-choix qui réclament une soi-disant « Justice ».

Depuis quand la justice autorise d’éliminer des vies quand ça nous arrange ?

Elles confondent aussi ce beau mot de liberté avec irresponsabilité et immaturité.

Comme l’affirme Giana Jessen, qui a survécu à un avortement par voie saline :

« Qu’en est-il de mes droits ? »

L’homme moderne se croit tout-puissant et veut dans son immense orgueil, contrôler la spontanéité de la Nature, de la vie.

Il a répandu la croyance qu’une grossesse n’est une bénédiction que s’il l’a décidé.

La faculté, le privilège magnifique qu’a la femme de porter la Vie n’est plus respecté, il est vu comme un malheur, ou pire, comme un esclavage !

A chaque fois que la créature contredit les plans harmonieux de son Créateur, il apparaît, immanquablement, des conséquences douloureuses :

La contraception hormonale, sensée libérer les femmes du pouvoir néfaste de procréer s’est révélé être un poison parfois mortel, souvent perturbant pour l’organisme féminin et ce d’autant plus qu’il est délivré par des professionnels avec bien peu de précautions et à un âge de plus en plus jeune...

Le « médecin », qui se croit en droit de contrôler les naissances, est pour cela prêt à tout et n’importe quoi, et pourquoi pas, trucider un bébé sans défense ?

Le bénéfice qu’il en tire ?

Passer pour une personne charitable qui « aide » (pas gratuitement bien sûr) les pauvres femmes qui ont l’innommable malheur de tomber enceintes sans l’avoir planifié dans leur agenda...

Je voudrais vous faire connaître une « méthode » particulièrement ignoble d’avortement nommé D&X dont j’aimerais vous informer :

Attention, cette « méthode » démontre indiscutablement à quel point le niveau de conscience de ces avorteurs et des femmes qui acceptent un tel avortement est tombé bas, infiniment bas...

Etape 1 : Guidé par une machine à ultrasons, l’avorteur attrape par surprise, brutalement les jambes de la victime, qui était jusque-là dans un lieu d’amour et de bien-être, à l’aide d’une froide pièce métallique, son calvaire vient de commencer...

Etape 2 : Les jambes du fœtus sont forcées hors du col de l’utérus de sa mère sans la moindre douceur (après tout, ce n’est pas un humain, faisons ce qu’on en veut !).

Etape 3 : L’avorteur extrait, toujours par la force, le corps bien vivant de l’enfant, hormis sa petite tête, et peut déjà observer en jetant un regard à la machine à ultrasons, le bébé serrer ses petits poings et ouvrir la bouche de douleur...

Etape 4 : Le monstre avorteur enfonce alors violemment une paire de ciseaux dans la nuque du bébé bien vivant, perforant ainsi le crane de l’enfant dans le but d’atteindre le cerveau, puis, une fois à l’intérieur les ciseaux sont ouverts au maximum afin d’agrandir l’ouverture de la perforation.

Etape 5 : Les ciseaux sont retirés et remplacés par un mini-aspirateur appelé en anglais « suction-catheter ». Une fois à l’intérieur l’instrument en question est mis en marche pour aspirer entièrement le petit cerveau de l’enfant innocent et sans défense, puis la procédure finie, le bébé mort est évacué et jeté tel un déchet quelconque.

C’est ce qu’on devrait décrire avec de tels détails aux femmes (qui sont sous anesthésie générale pendant l’acte) qui se laissent convaincre de passer par un tel avortement.

On pourrait, enfin, honnêtement parler de « Consentement éclairé »

Cette atrocité est en tout état de cause une ode à la barbarie la plus sanguinaire sur les plus innocents et sans défense, parfaitement légale et approuvée de surcroît.

On pourrait se poser la question, si moi-même je faisais subir une telle mise à mort, à un membre de la famille humaine, que se passerait-il pour moi ? Comment me jugerait-on ?

A mon avis, je serais décrite comme l’un des pires monstres sanguinaires qui n’aient jamais vécu, on dirait haut et fort, sans gêne que je ne mérite pas de vivre, que la compassion est exclue pour ceux qui comme moi ne font preuve d’aucune trace d’humanité, tous les journaux du monde relayeraient cette affaire sordide, i-ni-ma-gi-na-ble.

Des foules compactes s’attrouperaient devant le tribunal pour m’insulter, pour me cracher au visage lors de mon passage.

Je vis dans un pays ou la peine de mort est abolie, et il est certain que nombreux sont ceux qui profitant de mon acte inqualifiable, réclameraient son rétablissement.

Cela serait le jugement pour le commun des mortels, mais pour les médecins, apparemment tout est permis, tout est justifiable...

Pourquoi utiliser, créer des techniques aussi sadiques ?

Ce petit être a tout d’un grand : un cœur qui bat, des poumons pour respirer, un estomac prêt à fonctionner, des pieds, des mains, un joli visage, mais ça, il ne faut surtout pas le dire devant les pro-choix, oser affirmer que le fœtus et l’embryon sont des humains comme les autres, ça rendrait l’avortement moins acceptable...

L’affligeante réalité est que les partisans du libre-choix d’éliminer une vie ne veulent aucune chance de survie au bébé !

Il ne faudrait surtout pas que l’on doive admettre que cet enfant ne fait pas partie d’une espèce à part mais est bel et bien un humain comme un autre même si sa mère ne l’a pas désiré !

Vous avez peut-être déjà entendu « l’argument » « Ce n’est pas le nombre de doigts qui font de cet être un bébé, mais l’amour qu’on lui porte ».

Bref, il est un être humain aimable que si on l’accepte comme tel !

En d’autres termes, on se fait juge autoproclamé qui décide qui a le droit et mérite de vivre et si cette chose (il n’est humain que s’ils l’ont la décidé !) n’est pas acceptée, cela justifie n’importe quelle méthode d’extraction...

Si on se réfère encore à ce raisonnement sans intelligence, les enfants abandonnés qui sont accueillis dans les orphelinats sont donc des fantômes ?… car s’ils avaient été désirés, ils seraient plutôt auprès de leurs parents !

Êtres orphelins n’en fait pas moins s’eux des êtres humains, en tout point, semblables à nous, je me trompe ?

Les pro-choix tirent leur légitimité de la croyance aveugle qu’ils parlent au nom de tous et particulièrement au nom de toutes les femmes (non merci je n’ai pas besoins de vos cris).

Si cela ne faisait qu’enfler leurs ego, ce ne serait pas très grave, mais le drame est ailleurs.

Ils veulent décider à partir de quel stade un enfant, qui grandit dans le cocon maternel mérite d’être traité comme un être humain avec tout le respect qui devrait s’ensuivre.

Manifestement, le plus tard possible puisqu’ils cherchent sans cesse à rendre les délais d’accès à l’IVG toujours plus longs...

Ou s’arrêteront-ils ? Et surtout s’arrêteront-ils un jour d’en vouloir toujours plus ?

Encore et toujours cet état d’esprit névrosé émane de leurs obsessions pour leurs droits, pour eux-mêmes.

Ils ne respectent et aiment les bébés que dans la mesure où ils ne dérangent pas leurs plans personnels... l’amour inconditionnel, c’est quoi au juste ?

Ils veulent pouvoir éliminer la vie sur un coup de tête...

Pour cela, pouvoir avorter jusqu’au 9ème mois leur paraît essentiel.

Visiblement, pour certains, 9 mois ne sont pas de trop pour prendre une telle décision...

Encore une fois, ces « féministes » rabaissent les femmes à l’état de pauvres petits êtres sans consistance, incapable de prendre une décision ferme et réfléchie et qui pourrait avoir subitement l’envie irrépressible d’avorter en cours de grossesse... Concrètement, plus les délais d’IVG sont longs, plus cela expose les femmes à des pressions pour avorter et donc à une grossesse moins sereine et appréciable.

Mais cela, ils ne le remarquent même pas.

Prétendant qu’il vaut mieux avorter que de rendre un enfant malheureux, le droit de vivre d’un bébé si innocent et sans défense est injustement dépendant des aléas et circonstances de l’expérience de vie de sa mère : on préfère ignorer que les turbulences de la vie ne durent pas forcément éternellement.

On laisse donc les incidences de la vie choisir à notre place un choix crucial.

Cela n’est sûrement pas ma vision de la liberté et encore moins de l’affirmation de soi.

Un choix décidé sous la peur de l’adversité n’est qu’une preuve de la démission de la volonté réelle.

Les pro-choix ne soutiennent pas les femmes à être fortes, ils les soutiennent à se croire faibles et sans ressources !

J’aimerais conclure en partageant mon sentiment intime de mère.

Je regarde ma petite fille de 2 ans dormir, et au lieu de ressentir la tendresse la plus parfaite, je ressens de l’horreur.

Pourquoi ?

Parce que je pense à cette réalité ignoble qui est que si j’avais jugé sa venue inopportune, totalement inacceptable, et n’ayant aucune considération pour sa vie, ayant jugé sans intérêt le fait qu’elle grandit en moi depuis plusieurs mois, un homme sans cœur déguisé en médecin, n’aurait pas à hésiter à la faire mourir dans la souffrance si je lui avais demandé.

Et de même pour chacun de mes enfants, pour moi, pour vous, voilà la triste et grave réalité.

Le « docteur » s’appuierait sur le postulat de base que « je suis consciente de ce que je fais, c’est mon choix, donc rien à y redire »... et toute une litanie de raisonnements plats et creux pour justifier ses agissements.

Alors que nous savons tous que le stress (qui est une des réactions naturelles à la découverte d’une grossesse surprise) fausse grandement la perception des faits en les dramatisant à outrance.

Et l’ego de cet avorteur au cœur de pierre aurait été satisfait, se persuadant pour justifier sa cruauté innommable envers ce petit innocent et sans défense, qu’il a aidé une pauvre femme en détresse, ou encore plus ironique, qu’il a « sauvé une vie » (oui c’est un de leurs arguments...).

Ma vision de la Vie n’est qu’aucun être ne mérite un tel traitement et encore moins un bébé innocent dans le ventre de sa mère, désiré ou pas, quel que soit les conditions de sa venue au monde, car je crois fermement qu’un enfant à venir est toujours une bonne nouvelle.

Si je devais brandir une pancarte lors d’une manifestation, il n’y aurait pas écrit dessus « mon corps, mon choix » mais « mon bébé, ma vie, car Sa Vie est Ma Vie ».

Parce que le Miracle de la Vie n’est pas une maladie, l’avortement ne sera jamais un soin !

Elisa



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