De nouveaux documents de la FDA font état d’achats d’organes, de têtes et de tissus fœtaux pour un projet de « souris humanisées »
LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
Jeudi 16 septembre 2021 (Judicial Watch) — Judicial Watch a annoncé avoir reçu 198 pages de dossiers et de communications de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis concernant des travaux de recherche portant sur des « souris humanisées » au moyen de têtes, d’organes et de tissus fœtaux humains ; ces documents comprennent des communications et des contrats avec le fournisseur de tissus fœtaux humains Advanced Bioscience Resources (ABR). La plupart des documents sont des communications et des pièces jointes entre Perrin Larton, responsable des achats pour ABR, et Dr Kristina Howard, médecin vétérinaire de la FDA.
Judicial Watch a reçu ces documents dans le cadre d’un procès intenté en mars 2019 en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA) contre le ministère américain de la Santé et des services sociaux, dont la FDA fait partie (Judicial Watch v. U.S. Department Health and Human Services (n° 1:19 -cv-00876)). L’action en justice demande tous les contrats et la documentation connexe sur le déboursement des fonds, les documents de procédure et les communications entre la FDA et ABR pour la fourniture de tissus fœtaux humains destinés à être utilisés pour des travaux de recherche sur les souris humanisées. Après s’être opposé avec succès à la suppression de certaines informations des dossiers de la FDA, un tribunal fédéral a ordonné au ministère de la Santé de divulguer des informations supplémentaires sur ses achats d’organes prélevés sur des fœtus humains avortés, notamment les « prix par article », c’est-à-dire le prix par organe payé par le gouvernement à ABR.
Le tribunal a également estimé qu’« il y a des raisons de se demander » si les transactions violent la loi fédérale interdisant la vente d’organes fœtaux. Des documents précédemment découverts dans le cadre de ce procès montrent que le gouvernement fédéral exigeait que les organes fœtaux achetés soient « frais et jamais congelés ».
Les dossiers comprennent un contrat généré par la FDA avec ABR, sur la base d’une « réquisition » qu’elle a émise le 27 juillet 2012, pour une valeur de 12 000 $ concernant « l’approvisionnement en tissus pour [la production] de souris humanisées » ; [le contrat] indique que la réquisition était pour une « attribution non concurrentielle ». Bien que l’attribution initiale ait été de 12 000 $, le montant total estimé des fonds alloués pour la demande était de 60 000 $. Sous la rubrique « Justification d’un appel d’offres autre que complet et ouvert », la FDA écrit :
Lire la suiteLes scientifiques de la FDA et du domaine plus large de la recherche sur les souris humanisées ont effectué des recherches approfondies au cours des dernières années et ABR est la seule société aux États-Unis capable de fournir des tissus adaptés à la recherche sur les souris humanisées (HM). Aucune autre société ou organisation n’est en mesure de répondre à ce besoin.
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Les coûts sont estimés [pour les parties fœtales] à 230 $ par tissu à raison de deux tissus par envoi = 460 $. Plus 95 $ d’expédition = 555 $ par envoi. Un total de 21 envois = 11 655 $.
Juge Thomas: la Constitution n’interdit pas les lois prohibant le démembrement d’un enfant vivant [dans l'avortement]
Juge Clarence Thomas de la Cour suprême des États-Unis.
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le juge de la Cour suprême Clarence Thomas a émis une autre opinion puissante vendredi après que la Cour suprême ait rejeté une affaire concernant la protection des bébés à naître contre les avortements brutaux par démembrement.
Thomas a déclaré que le précédent de la Cour suprême sur l’avortement a « échappé à tout contrôle » au point que même les lois qui interdisent les avortements par démembrement et les avortements par sélection du sexe sont annulées, selon The Blaze.
Il a écrit cette opinion en réponse à la décision des juges de ne pas entendre une affaire concernant l’interdiction des avortements par démembrement en Alabama. La Cour d’appel du 11e circuit s’est prononcée contre la loi en 2018, citant un précédent de la Cour suprême, et, vendredi, la Cour suprême a refusé d’entendre un appel de cette décision, selon Politico.
La loi de l’Alabama interdit les avortements brutaux par démembrement qui déchirent les bébés presque entièrement formés membre par membre alors que leur cœur bat encore. Les législateurs de l’Alabama ont adopté la loi sur la protection des enfants à naître contre le démembrement en 2016, mais deux entreprises d’avortement et l’ACLU [American Civil Liberties Union] ont intenté un procès pour l’arrêter.
« L’idée que quelque chose dans la Constitution empêche les États d’adopter des lois interdisant le démembrement d’un enfant vivant est invraisemblable », écrit Thomas. « Mais selon le critère de “charge indue” adopté par cette Cour, une restriction à l’avortement ─ même limitée à l’interdiction de méthodes macabres ─ est inconstitutionnelle si “l’objectif ou l’effet” de la disposition est de “placer un obstacle substantiel sur le chemin d’une femme cherchant à avorter avant que le fœtus n’atteigne la viabilité”. »
Lire la suiteLa cruauté de l’avortement
Billet de blogue d’Elisa
C’est bien connu, les partisans po-choix considèrent l’avortement comme un choix fondamental qui n’engage et ne concerne que la mère...
Le père n’aurait rien à dire et l’embryon ou le fœtus n’est pas considéré comme un être vivant entrant dans l’équation.
On affirme que l’embryon serait physiologiquement incapable de souffrir et curieusement on ne traite même pas du sujet en ce qui concerne le fœtus, tant il est évident que son système nerveux développé lui permet de ressentir la douleur, mais n’en parlons surtout pas, ne pas faire culpabiliser les femmes est la priorité numéro 1, le fœtus peut bien souffrir autant qu’il peut !
Ne serait-ce que les faire réfléchir d’un point de vue moral est menacé de censure, et ceux-là mêmes qui imposent la censure prônent le « consentement éclairé » alors qu’ils refusent même que la mère puisse voir son enfant par échographie.
Comment peut-on nommer cela « consentement éclairé » alors que les mères qui doutent de vouloir vraiment avorter n’entendent souvent qu’un seul point de vue déterminé des pro-choix ?
Le terme « IVG » a été créé dans ce sens : cacher la réalité crue de l’acte derrière un acronyme aseptisé.
Marie Stopes, une chaîne internationale d’avortements a usé du même stratagème malhonnête au Kenya.
Le mensonge éhonté est d’ailleurs le fondement de leur « métier » (dont on se passerait bien).
Ils proposaient illégalement des avortements aux femmes adultes et mineures en appelant cela « soins prénataux ».
En quoi éliminer une vie est-ce un soin ?
Est-ce que la plupart de ces millions de femmes qui avortent chaque année seraient en danger de mort en poursuivant leur grossesse ?
L’organisation « citizengo » a stoppé avec succès leur engouement pour leur commerce de mort lucratif.
Pour que le terme « consentement éclairé » puisse être utilisé honnêtement, il faudrait informer sur tous les détails de la procédure chaque femme qui s’apprête à avorter.
Leur décrit-on systématiquement que la chair de sa chair va être aspirée violemment alors que son cœur bat encore avec toute la vigueur d’un être qui ne demande qu’à vivre ? Leur dit-on franchement que la méthode saline l’empoisonnera sans répit, brûlera ses chairs, l’aveuglera sans compassion pour son innocence ?
Lire la suiteUn ancien avorteur néo-zélandais : J’étais exactement comme les nazis
Norman MacLean, ancien avorteur.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Alors que la Nouvelle-Zélande s’apprête à dépénaliser l’avortement, deux vidéos d’un ancien avorteur attirent de plus en plus l’attention. Dans l’une des vidéos, il explique l’avortement chirurgical du deuxième trimestre connu sous le nom de D&E. Dans l’autre, il raconte son histoire de conversion pro-vie, lors de laquelle il a pris conscience de l’Holocauste et de l’avortement.
Le Dr Norman MacLean, de Nouvelle-Zélande, est obstétricien et gynécologue en exercice depuis près de 40 ans. Il a aidé la mise au monde de 8 000 bébés, dont 2 000 par césarienne. C’est alors qu’il était au National Specialist Service à Dundee, en Écosse, qu’il a commencé à pratiquer des avortements sans avoir beaucoup réfléchi à la question. À Dundee la pratique de l’avortement était très libérale. Par contre, en Nouvelle-Zélande, très peu d’avortements étaient pratiqués.
Dès mon premier jour à Dundee, je suis en salle d’opération [... on] me dit alors : « Pouvez-vous faire des D&Cs ? Dilatation et curetages ». Je lui dis, « Oui, pas de problème. J’en ai fait beaucoup pour des fausses couches incomplètes — une procédure courante pour les spécialistes en formation. Il a dit : “Tu peux faire le reste de la liste. J’ai dit : ‘Pas de problème. Alors, je me prépare.
L’infirmière entre et je lui demande : ‘S’il vous plaît, dites-moi quelle est l’indication pour la première opération nécessitant le D&C.’ Elle répond : ‘C’est juste comme d’habitude’. Je lui rétorque : ‘Eh bien, c’est mon premier jour de travail. Qu’est-ce qui est usuel à Dundee ?’ Elle dit : ‘Interruption de grossesse’. J’étais un peu mal à l’aise parce que je n’avais jamais interrompu une grossesse auparavant. Je savais qu’il y avait des problèmes d’éthique là-dessus, mais je n’y avais pas réfléchi sérieusement. Et puis je me dis, si je dis non, je ne suis pas à l’aise, quelqu’un d’autre va devoir venir et le faire.
Sachant que la femme était déjà sur la table avec les jambes en position, MacLean fit le D&C et procéda aux cinq suivants prévus pour ce jour. Il a continué pendant un an, effectuant environ 200 avortements en tout. Puis il a eu une révélation.
Lire la suiteL'avortement est violent et les photos sont réelles, affirme une avorteuse
Pied d'enfant à naître, 12 semaines.
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Dans un article de journal médical, Lisa Harris, une avorteuse de Planned Parenthood, reconnaît que les images que montrent les pro-vie sont vraies et que l'avortement est une violence. Harris exécute régulièrement des avortements tardifs en utilisant la procédure de D&E (dilatation et extraction). Anthony Levatino, un ancien avorteur, explique cette procédure.
Dans un D&E, l'avorteur déchire le bébé avec une pince. Une ex-travailleuse, Brenda Pratt Shafer, décrit avoir été témointe d’une D&E guidée par échographie :
Lire la suiteGuidé par une échographie, l'avorteur a saisi l'une des jambes du fœtus avec sa pince. Il a serré fort et avec un mouvement de torsion, il a déchiré la jambe du petit corps. Il l'a sorti et l'a jeté dans le plat à côté de moi. Je me tenais horrifiée en regardant cette petite jambe aux orteils parfaitement formés dans le plat! Puis, il a déchiré un bras qui avait des mains et des petits doigts! Je pouvais voir le fœtus, sur l'écran de l'échographe, essayant de s'éloigner du forceps! Ensuite, je n'ai plus vu le battement de cœur sur l’échographie (Le son était volontairement éteint afin que les mères ne puissent pas entendre le battement de cœur.)… Il a continué à faire cela jusqu'à ce que toutes les extrémités soient sorties et placées dans la casserole. Il a ensuite cassé la colonne vertébrale fœtale avec la pince. Puis encore et encore, il a sorti les autres morceaux du fœtus, du bébé. Parfois, je pouvais voir les intestins ou d'autres organes internes alors qu’il les sortait…
Après avoir écrasé la tête avec les forceps, il l'a ensuite extraite et l'a jetée dans le plat avec le reste des morceaux du bébé. (1)
Quatre vidéos sur les méthodes d’avortement
Objets servant lors d’avortements. — Capture d'écran d'une des vidéos sur l'avortement.
Par Campagne Québec-Vie — Vidéos réalisées par le groupe LiveActionNews et traduites par Un feu sur la terre
Voici quatre vidéos, sur comment sont pratiqués plusieurs méthodes d’avortement, réalisées par le groupe LiveActionNews et dont la traduction (sous-titrage en français) est actuellement présente sur la chaîne YouTube du site Un feu sur la terre.
L’avortement fauche chaque année sa moisson de millions d’enfants à naître et laisse d’innombrables blessures, tant physiques que psychiques et spirituelles, aux pères et aux mères de ces enfants et à bien des gens.
Pour combattre ce fléau, le Dr Anthony Levatino, obstétricien-gynécologue, nous explique par ces vidéos en quoi consistent les principales méthodes d’avortement. Celui-ci en a pratiqués environ 1200 avant d’arrêter, horrifié par cette abomination.
Ces quatre vidéos « ont été révisées par des médecins et des professionnels de la santé », affirme Lila Rose présidente de LiveActionNews.
Lire la suiteUn pathologiste traumatisé après avoir vu un bébé avorté de trois livres dont le visage exprimait l’horreur
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Dans un article daté du 10 mars 2017, j’ai cité Abby Johnson, une ancienne directrice d’une clinique d’avortement Planned Parenthood, qui avait décrit comment elle et plusieurs de ses anciens collègues continuaient d’avoir des cauchemars après avoir quitté le domaine de l’avortement. De nombreux employés avaient des souvenirs traumatisants des tâches qu’ils exécutaient, comme, par exemple, la reconstitution des bébés avortés. Ceci devait être fait pour s’assurer qu’aucun morceau du bébé (bras, jambes, morceaux de crâne, etc.) ne restait dans le corps de la mère. Les morceaux qu’on oublierait peuvent causer une infection grave.
Lire la suiteBonne nouvelle : 145 établissements d’avortement ont fermé au cours des cinq dernières années
Par Mark Hodges (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
(LifeSiteNews) — L’Abortion Care Network (Réseau de soins d’avortement) (ACN), un groupement d’entreprises en avortement indépendantes, a publié un rapport sur la baisse du nombre de centres d’avortement. Au cours des cinq dernières années, 145 « cliniques » indépendantes ont fermé.
L’ACN soutient les entreprises d’avortement qui ne sont pas affiliées à Planned Parenthood ou à une chaîne d’hôpitaux. Le nombre de ces dernières est passé de 510 installations en 2012 à 365 aujourd'hui, sans compter les centaines de centres du Planning Familial.
Sur une page d’accueil intitulée « les communautés ont besoin de cliniques », ACN a écrit que les entreprises d’avortement, ferment à un « rythme alarmant », en particulier les indépendantes, qui pratiquent souvent des avortements tardifs.
Significativement, ACN a reconnu l’efficacité des lois pro-vie qui diminuent le nombre d’avortements et de centres d’avortement à travers le pays. Ils ont cité aussi d’autres facteurs ayant une incidence sur les fermetures, incluant l’activisme de trottoir des pro-vies et les États qui refusent que la taxe de l’aide médicale soit utilisée pour payer des avortements.
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Une législatrice décrit la « petite tête parfaitement formée » d'un bébé avorté, trouvé par un chien
Peggy Lehner
Par Claire Chretien (LifeSiteNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Une sénatrice de l'État de l'Ohio a raconté avoir tenu la tête « absolument parfaite » d'un bébé avorté, suppliant ses collègues de voter pour l'interdiction de l'avortement par démembrement.
La sénatrice républicaine Peggy Lehner a relaté une expérience traumatisante de l'époque où elle travaillait dans un centre de crise de grossesse. Un couple lui a apporté une boîte de chaussures, ne sachant pas à quel autre endroit aller.
« Ils m'ont dit: “Nous ne savions pas où aller, mais notre chien fouillait dans les poubelles dans la ruelle derrière notre maison” - l'arrière de la clinique locale d'avortement donne sur cette ruelle - “et il a ramené à la maison, dans sa gueule, une... une compresse de gaze. Quand nous avons voulu la lui retirer, des morceaux d'un petit bébé sont tombés sur le plancher”, » a raconté Lehner.
Lire la suiteLe gouverneur de l’Arkansas promulgue une loi interdisant les avortements par démembrement
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Le gouverneur de l’Arkansas, Asa Hutchinson, a promulgué une loi qui interdit la méthode d’avortement la plus utilisée pendant le second trimestre de grossesse aux USA : la méthode de dilatation et d’évacuation. Le projet de loi, l’Arkansas Unborn Child Protection From Dismemberment Abortion Act, a été vivement défendu par les pro-vie; mais comme il fallait s’y attendre, il a rendu furieux les activistes pro-avortement. Le projet de loi interdit non seulement l’affreuse procédure pendant laquelle les enfants à naître sont démembrés – littéralement déchiquetés membre par membre – mais ce projet inclut aussi une clause qui permet au conjoint d’une femme ou son parent de poursuivre l’avorteur en justice pour avoir réalisé un avortement par dilatation et évacuation; une clause qui lui permet de solliciter une injonction qui mettrait fin aux avortements par dilatation et évacuation à venir.
Actuellement, l’Arkansas devient le 7e État qui interdit l’avortement par démembrement. La nouvelle loi considère un avortement par dilatation et évacuation comme un crime de 4e degré punissable d’une amende de 10,000$ ou d’une peine d’emprisonnement de 6 ans. Le projet de loi a été approuvé par le Sénat par 25 voix contre 6. L’ex avorteur, le Dr Anthony Levatino décrit la procédure de dilatation et évacuation dans la vidéo suivante :
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