Melissa Ohden, militante pro-vie, raconte comment elle a survécu à un horrible avortement tardif
Melissa Ohden.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Students for Life/YouTube
25 juillet 2024 (LifeSiteNews) — La militante pro-vie Melissa Ohden a raconté comment elle a survécu à un avortement alors qu’elle était bébé, encourageant d’autres personnes à partager leurs histoires d’avortement.
Dans une vidéo diffusée le 19 juillet par Students for Life, Ohden, une militante pro-vie bien connue aux États-Unis, a raconté comment elle a retrouvé sa mère biologique des années après avoir été séparée d’elle à la naissance à la suite d’un avortement raté.
« En août 1977, j’ai survécu à un avortement par perfusion saline », a commencé Melissa. « Ma mère biologique était étudiante et s’est fait avorter contre son gré par sa mère, ma grand-mère ».
Sa grand-mère étant infirmière, elle a contourné les procédures normales d’avortement et a forcé sa fille de 19 ans à subir une procédure secrète « avec l’aide de son ami et collègue, l’avorteur local ».
L’avorteur a tenté de tuer Melissa en injectant une solution saline toxique dans le liquide amniotique qui l’entourait dans l’utérus. La solution était conçue pour empoisonner et brûler Melissa jusqu’à ce qu’elle en meure, car elle était entourée de ce liquide toxique dans l’utérus de sa mère.
Après que Melissa ait trempé dans la solution saline toxique pendant cinq jours, l’accouchement de sa mère a été provoqué et elle devait mettre au monde un bébé mort. À la surprise de l’avorteur, Melissa n’était pas morte et elle est née vivante.
Lire la suiteTémoignage : elle regrette profondément de ne pas s’être battue pour la vie de son bébé
Theresa Bonopartis
Par Micaiah Bilger — Traduit par Campagne Québec-Vie
3 octobre 2017 (LifeNews) — Theresa Bonopartis est certaine que son fils à naître a subi une mort douloureuse lorsqu’il a été avorté à 16 semaines de grossesse.
Forcée d’avorter par son père, Bonopartis regrette profondément maintenant de ne pas s’être battue pour la vie de son bébé.
Elle a raconté son expérience douloureuse avec The Federalist cette semaine pour dénoncer le traumatisme et la douleur qu’un avortement inflige à l’enfant à naître et à sa mère.
Bonopartis a déclaré que son fils, Joshua, avait été tué lors d’un avortement salin. Dans cette horrible méthode d’avortement, une solution saline est injectée dans l’utérus où elle brûle les poumons et la peau du bébé.
Lire la suite« On m’a forcée à avorter ; on ne me forcera pas à prendre le vaccin covid »
Par Theresa Bonopartis — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Siam/AdobeStock
New York, NY, 21 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Le jeudi 9 septembre, j’ai écouté le président Biden parler à la nation de ses nouveaux décrets. D’un ton intimidant et condamnatoire, il nous informait que sa patience était « à bout » et qu’il rejetait la responsabilité de la présence du virus dans ceux qui ne sont pas vaccinés contre le COVID-19.
Adoptant une approche totalement différente, le maire de New York, De Blasio, tente d’inciter les personnes non vaccinées à se faire vacciner en offrant des cadeaux, notamment 100 dollars à toute personne qui se fera vacciner dans un site géré par la ville.
Il ne fait aucun doute que le vaccin COVID fait l’objet d’une forte coercition. Bien qu’ils essaient de dire qu’il s’agit d’un « choix », les menaces de perte d’emploi, les limites quant aux endroits où vous pouvez aller et la suppression de choses qui vous sont chères ou dont vous avez besoin pour survivre en font tout sauf un « choix ».
En raison des liens du vaccin avec des cellules de fœtus avortés, beaucoup de personnes ont pris la décision de ne pas se faire vacciner. Je suis l’une d’entre elles. Peu importe que les cellules aient été obtenues il y a longtemps ou que le lien soit éloigné, je ne peux en toute conscience recevoir le vaccin.
Ayant passé des décennies de ma vie à souffrir d’un avortement salin qui m’a été imposé pendant mon adolescence et au cours duquel j’ai vu mon fils avorté, il est impensable pour moi de recevoir l’un des vaccins actuellement disponibles. Aucune coercition, que ce soit sous forme de récompense ou d’intimidation, ne me fera changer d’avis. Je ne juge personne pour sa décision personnelle ; tout ce que je sais, c’est que je ne pourrais jamais vivre avec moi-même si j’acceptais l’un des vaccins actuellement disponibles.
Au fil des décrets, j’ai été frappée par les similitudes entre la coercition que j’ai subie avant de me faire avorter contre mon gré et celle que je subis maintenant pour me faire vacciner. Adolescente, j’ai été chassée de la maison par mon père, sans argent, sans travail et sans endroit où vivre. Coupée de tout ce que je connaissais et aimais, j’ai cédé à d’énormes pressions pour mettre fin à la vie de mon fils à naître, et ce, à l’encontre de toutes mes convictions et de tous mes principes. J’étais isolée, rejetée, j’avais peur et je ne voyais pas d’issue à cette situation. Ensuite, la société a appelé cela mon « libre choix », mais il n’en était rien.
Lire la suiteL’avorteur ordonnait d’ignorer un survivant de l’avortement : « À toutes fins utiles, c’est mort »
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
Plusieurs États ont légalisé l’avortement avant la décision de la Cour suprême dans l’affaire Roe v. Wade en 1973. New York était l’un de ces États, légalisant l’avortement en 1970. Un livre pro-vie de 1972 documente des cas où des bébés sont nés vivants pendant des avortements à New York et ailleurs. La plupart de ces naissances vivantes ont eu lieu à la suite d’avortements par solution saline ou par prostaglandine.
Les avortements salins sont pratiqués en injectant une solution saline caustique dans l’utérus de la femme. La solution saline brûle la peau et les poumons de l’enfant, l’empoisonnant lentement. La femme accouche ensuite d’un enfant mort (ou mourant). Les avortements salins ont provoqué tellement de naissances vivantes et étaient si dangereux pour les femmes que la plupart des avorteurs ont cessé de les pratiquer depuis plusieurs années.
Les avortements par prostaglandine sont pratiqués en provoquant le travail avec des médicaments à base de prostaglandine, et d’innombrables bébés ont survécu à cette procédure.
On pensait généralement que ces méthodes d’avortement horribles étaient des reliques du passé. Mais un article de Carole Novielli, paru dans Live Action News, montre que ces avortements sont encore pratiqués aujourd’hui. Les recherches montrent que 121 avortements par solution saline et 68 avortements par prostaglandine ont été commis à New York en 2018.
En outre, en 2020, deux avortements par solution saline ou par prostaglandine ont été pratiqués dans le Michigan. En 2019, quatre avortements par solution saline ou par prostaglandine ont été pratiqués dans le Missouri et trois en Pennsylvanie.
Lire la suiteLa cruauté de l’avortement
Billet de blogue d’Elisa
C’est bien connu, les partisans po-choix considèrent l’avortement comme un choix fondamental qui n’engage et ne concerne que la mère...
Le père n’aurait rien à dire et l’embryon ou le fœtus n’est pas considéré comme un être vivant entrant dans l’équation.
On affirme que l’embryon serait physiologiquement incapable de souffrir et curieusement on ne traite même pas du sujet en ce qui concerne le fœtus, tant il est évident que son système nerveux développé lui permet de ressentir la douleur, mais n’en parlons surtout pas, ne pas faire culpabiliser les femmes est la priorité numéro 1, le fœtus peut bien souffrir autant qu’il peut !
Ne serait-ce que les faire réfléchir d’un point de vue moral est menacé de censure, et ceux-là mêmes qui imposent la censure prônent le « consentement éclairé » alors qu’ils refusent même que la mère puisse voir son enfant par échographie.
Comment peut-on nommer cela « consentement éclairé » alors que les mères qui doutent de vouloir vraiment avorter n’entendent souvent qu’un seul point de vue déterminé des pro-choix ?
Le terme « IVG » a été créé dans ce sens : cacher la réalité crue de l’acte derrière un acronyme aseptisé.
Marie Stopes, une chaîne internationale d’avortements a usé du même stratagème malhonnête au Kenya.
Le mensonge éhonté est d’ailleurs le fondement de leur « métier » (dont on se passerait bien).
Ils proposaient illégalement des avortements aux femmes adultes et mineures en appelant cela « soins prénataux ».
En quoi éliminer une vie est-ce un soin ?
Est-ce que la plupart de ces millions de femmes qui avortent chaque année seraient en danger de mort en poursuivant leur grossesse ?
L’organisation « citizengo » a stoppé avec succès leur engouement pour leur commerce de mort lucratif.
Pour que le terme « consentement éclairé » puisse être utilisé honnêtement, il faudrait informer sur tous les détails de la procédure chaque femme qui s’apprête à avorter.
Leur décrit-on systématiquement que la chair de sa chair va être aspirée violemment alors que son cœur bat encore avec toute la vigueur d’un être qui ne demande qu’à vivre ? Leur dit-on franchement que la méthode saline l’empoisonnera sans répit, brûlera ses chairs, l’aveuglera sans compassion pour son innocence ?
Lire la suite5000 pro-vie marchent pour la Vie à Londres
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
5000 pro-vie ont marché à Londres, témoignant pour la vie de l’enfant à naître qui est si peut considérée de nos jours. Extrait de la Society for the Protection of Unborn Children (découvert via LifeSiteNews) :
Environ 5000 pro-vie ont bravé le temps imprévisible de samedi dernier pour se rendre au Parlement pour la 2019 March for Life UK (Marche pour la vie de 2019 au Royaume-Uni).
[...]
Obianuju Ekeocha de Culture of Life Africa, qui a donné le coup d’envoi des discours à la fin de la marche, a déclaré que la tenue de l’événement sur la place du Parlement était particulièrement puissante [...]
Les foules de pro-vie (et le groupuscule de militants pro-avortement qui ont essayé de la dominer) ont également entendu le témoignage de Melissa Ohden, qui a survécu à un avortement salin voici 41 ans.
« Dans le cadre de mon travail en tant que fondatrice de l’Abortion Survivors Network, j’ai eu des contacts avec 286 autres survivantes de l’avortement, comprenant cinq du Royaume-Uni, dont quatre sont encore en vie aujourd’hui, lança-t-elle.
Ces 10 images pourraient changer votre opinion sur l’avortement
Pieds de bébé avorté.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Les images valent mille mots et elles ont le pouvoir de faire avancer le mouvement. Les images ci-dessous de victimes d’avortements de second trimestre mettent en évidence les vies et les générations d’enfants à naître – toutes détruites par l’avortement.
La science affirme que les enfants à naître ne sont pas des « groupes de cellules » ou des « tissus », mais des êtres humains qui sont capables de faire plus que nous ne pourrons jamais imaginer. Les mensonges de l’industrie de l’avortement relatifs au développement fœtal peuvent être jetés à la poubelle, grâce au progrès de la science et de la technologie. Bien que la science et la raison nous confirment que les enfants à naître sont des êtres humains, il est légal aux États-Unis de tuer ces enfants jusqu’au moment de la naissance.
Les enfants sur ces images furent avortés à l’hôpital de l’Université du Wisconsin au début des années 1980. Ils furent finalement sortis clandestinement de leur laboratoire de pathologie et donnés au Citizens for a Pro-life Society en vue d’une inhumation appropriée. (Images provenant de Pro-life Society.com et de ImageOfAbortion.com).
Avertissement: cet article contient des images qui peuvent être choquantes.
Lire la suiteMon bébé commença à se débattre, elle agonisait : une femme décrit l'avortement salin
Par Sarah Terzo - Traduit par Campagne Québec-Vie
Dans [l'avortement salin], une solution de sel caustique est injecté dans l’utérus, brûlant ainsi le bébé lentement et l’empoisonnant et ce, durant quelques heures. Lorsque le bébé est mort, l’accouchement est provoqué et la femme donne naissance à un bébé mort. Souvent ces femmes ayant recours à ce type d’avortement, ressentent en elles leur bébé qui se débat à mesure qu’il meurt, conduisant ainsi plusieurs femmes à souffrir d’un traumatisme émotionnel profond et ce, même des années plus tard.
Nancy Jo Mann qui fut l’une de ces avortés alla jusqu’à fonder un groupe de soutien pour des femmes comme elle post avortées, elle décrit cette méthode d’avortement :
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