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L’Équateur rejette la légalisation de l’avortement en cas de viol

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Max Pixel

C’est une bonne nouvelle, bien que ce soit une victoire défensive, il faudrait, pour éviter un recul lors d’une prochaine tentative de légalisation de l’avortement, le rendre totalement illégal, avancer leur éviterait de reculer. Extrait de LiveActionNews :

L’Assemblée nationale équatorienne a voté mardi contre la dépénalisation de l’avortement dans les cas de viol et de diagnostic prénatal [de handicap de l’enfant à naître]. Le vote en faveur de la décriminalisation n’a échoué que par cinq voix sur les 70 nécessaires à l’approbation, 59 parlementaires ayant voté contre et six s’étant abstenus.

Selon la BBC, l’avortement n’est légal en Équateur que dans les cas de viol, lorsque la mère a un handicap mental ou lorsque sa vie est en danger. (En réalité, l’avortement, un acte intentionnel de destruction visant à tuer délibérément un être humain à naître, n’est pas médicalement nécessaire pour sauver la vie d’une mère.) Les femmes qui se font avorter dans le pays risquent jusqu’à deux ans de prison.

Le projet de loi visant à dépénaliser l’avortement dans les cas de viol et de diagnostic prénatal [de handicap de l’enfant à naître] est débattu depuis janvier, les conservateurs cherchant à alourdir les peines pour les violeurs au lieu de permettre l’accès à l’avortement. En février, le parlementaire Pedro Curichumbi a déclaré que légaliser l’avortement dans les cas de viol « ferait du [viol] un sport ou un passe-temps », a rapporté Reuters.

Des dizaines de milliers d'Équatoriens ont protesté contre ce projet de loi.

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