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Grande victoire pro-vie à St. Catharines

Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : vecstock

21 août 2024

Quelle merveilleuse victoire le mouvement pro-vie vient de remporter à St. Catharines, en Ontario !

Un règlement municipal tyrannique visant à censurer les discours pro-vie dans toute la ville de St. Catharines a été abrogé !

Les conseillers municipaux ont reconnu que le règlement, tel qu’il était rédigé, ferait face à de puissantes contestations constitutionnelles et ont voté en faveur de son abrogation.

Nous savons que ce n’est qu’un sursis temporaire. Les ennemis de la liberté d’expression se regrouperont et lanceront une nouvelle attaque bien assez tôt.

Mais en attendant, célébrons et rendons grâce à Dieu pour cette victoire.

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Explication de ce qui s’est passé

Le 12 août dernier, lors de la réunion du conseil municipal de St. Catharines, les conseillers ont voté par 10 voix contre 2 l’abrogation de leur règlement draconien, qui était en vigueur depuis septembre 2023.

Ce règlement limitait la distribution libre et ouverte de toute « image ou photographie montrant, ou censée montrer, un fœtus ou toute partie d’un fœtus », qu’il qualifiait d’« offensante ou dérangeante ».

Qu’est-ce qui a provoqué ce changement de cap chez la majorité des conseillers municipaux de St. Catharines ?

Malheureusement, il ne s’agit pas d’un changement d’avis, mais plutôt de la prise de conscience que leur règlement de censure était indéfendable et qu’il serait invalidé par les tribunaux.

L’Association pour l’action politique réformée du Canada (ARPA), un groupe pro-vie de défense des droits de la personne, avait intenté une action en justice contre le règlement anti-liberté d’expression, et l’affaire était devant les tribunaux.

La poursuite d’ARPA porte sur le fait que le Conseil municipal de St. Catharines n’a pas le pouvoir constitutionnel de restreindre la distribution publique de matériel « sur la base du jugement de la ville quant au contenu, au point de vue ou au sujet particulier qui serait répréhensible ou offensant ».

L’ARPA elle-même a été directement affectée par le règlement de censure parce qu’elle a mené dans le passé des campagnes de sensibilisation à St. Catharines qui utilisaient des images d’échographies de bébés à naître.

À l’origine, le règlement de censure visait à cibler les photographies de victimes d’avortement et à les empêcher d’être distribuées dans les foyers par d’autres groupes pro-vie.

Cependant, au cours de la rédaction du règlement, celui-ci s’est transformé en quelque chose de si restrictif qu’il est même devenu illégal pour l’ARPA et ses bénévoles de continuer à distribuer et à afficher des images échographiques de bébés, beaucoup moins controversées !

Face à cette censure sauvage, l’ARPA a avancé l’argument convaincant que ses images de fœtus n’étaient ni « horribles » ni « dérangeantes », et qu’il était injuste d’interdire son action en faveur des enfants à naître.

Même si la contestation de l’ARPA était encore devant les tribunaux au moment de la réunion du conseil du 12 août, les conseillers, en consultation avec l’avocat de la ville, ont été forcés de reconnaître que leur règlement autoritaire était indéfendable.

En conséquence, la quasi-totalité des conseillers a voté l’abrogation de l’intégralité de ce règlement contraire à la Charte, y compris l’interdiction des photographies de victimes d’avortement.

Des conseillers hostiles à la liberté d’expression promettent de continuer à censurer l’expression pro-vie

Toutefois, l’appétit d’au moins quelques conseillers pour supprimer la liberté d’expression pro-vie autant que possible est toujours évident.

Pour la Coalition nationale pour la vie (CNV), il est clair que le Conseil a probablement l’intention d’introduire un règlement plus étroit qui ne viserait que les photographies de victimes d’avortement. Nous soupçonnons que tout règlement proposé à l’avenir n’interdira plus les images d’échographies de bébés.

Pour les raisons que j’expliquerai ci-dessous, bien que nous soyons satisfaits de l’exemption des images non controversées d’une loi de censure, nous n’accepterons aucune loi qui nous prive de notre droit d’exprimer nos convictions en ce qui concerne les photographies de victimes d’avortement. Ce droit est protégé par la Constitution.

The St. Catharines Standard a interrogé certains membres du conseil municipal après le vote sur l’abrogation de la loi, et leurs réponses sont assez révélatrices.

Le maire Mat Siscoe aurait déclaré :

« Nous voulons être sûrs que tous nos canards sont alignés, afin que ce que nous avons mis en place puisse résister à une contestation invoquant la charte... Il faut donc revenir en arrière (sur la portée du règlement), s’assurer qu’il est bien là où il doit être, puis le présenter à nouveau. Nous continuons à aller de l’avant ».

Le conseiller Greg Miller a été assez direct dans ses commentaires après le vote, jurant que le conseil ferait un « deuxième essai » pour formuler un règlement contre la liberté d’expression qui résisterait aux interventions juridiques.

M. Miller a également affirmé, de manière plutôt énigmatique, que « tout le monde ici est sur la même longueur d’onde » et que « nous voulons que ce règlement soit appliqué » :

« Nous voulons réaliser ceci à St. Catharines, que l’insertion d’images explicites dans les boîtes aux lettres soit interdite, et nous y parviendrons, un jour ou l’autre ».

Repoussons les impulsions totalitaires des censeurs !

Nous devons prendre au sérieux la menace des conseillers municipaux de St. Catharines et riposter pendant que nous avons la dynamique de la contestation juridique de l’ARPA de notre côté.

Nous voulons inonder ces conseillers d’une multitude de courriels et d’appels téléphoniques de la part des électeurs de St. Catharines, leur demandant de laisser leur règlement liberticide à la poubelle, là où il doit être, et de NE PAS introduire de nouveau règlement de censure, jamais.

Pourquoi ?

Parce que l’avortement est le meurtre de sang-froid d’enfants dans l’utérus, aux premiers stades de leur vie. Bien que controversée par certains, la photographie de victimes d’avortement est un outil puissant dans la lutte pour restaurer la protection juridique des enfants à naître.

Les personnes ayant des principes moraux, qui reconnaissent la valeur et le caractère sacré de la vie humaine — merveilleusement créée à l’image de Dieu — ne peuvent pas rester les bras croisés et prétendre que les mères enceintes ont le droit de tuer leurs enfants non désirés.

C’est ce que font les lâches et les amoraux, comme de nombreux membres du conseil municipal de St. Catharines

Il s’agit en effet d’un règlement lâche qui tente de dissimuler une terrible violation des droits de l’homme. Mais au lieu de cacher les victimes, ne vaudrait-il pas mieux mettre fin au crime de l’avortement lui-même ?

C’est l’avortement qui pose problème, pas les photographies des enfants victimes de cette pratique barbare. Ils réclament justice.

Ne laissez pas des conseillers moralement indifférents faire taire les voix de ceux qui reconnaissent les vraies vies, et les vraies morts, des 100 000 bébés assassinés par l’avortement au Canada chaque année.

Contactez le maire et les conseillers municipaux de St. Catharines dès aujourd’hui

Veuillez téléphoner et envoyer un courriel au maire et aux conseillers municipaux dès que possible et demandez-leur de mettre le couvercle sur la poubelle où se trouve leur règlement anti-liberté d’expression et qu’il y reste.

Toute nouvelle proposition de règlement visant à restreindre de quelque façon que ce soit la liberté d’expression des défenseurs de la vie est une attaque contre les droits garantis par la Charte des droits des Canadiens. C’est le moment où jamais.

Appelez et envoyez un courriel aux membres du Conseil, dont la liste figure ci-dessous :

Maire : Mat Siscoe
Téléphone : 905-688-5601, poste 1540
Courriel : [email protected]

Conseiller : Greg Miller
(Quartier 1, Merritton)
Téléphone : 905.327.0442
Courriel : [email protected]

Conseillère : Jackie Lindal
(Quartier 1, Merritton)
Téléphone : 905.327.0484
Courriel : [email protected]

Conseiller : Matt Harris
(Quartier 2, St. Andrew’s)
Téléphone : 905.329.6802
Courriel : [email protected]

Conseiller : Joe Kushner
(Quartier 2, St. Andrew’s)
Téléphone : 905.327.9638
Courriel : [email protected]

Conseiller : Mark Stevens
(Quartier 3, St. George’s)
Téléphone : 289.696.3673
Courriel : [email protected]

Conseiller : Kevin Townsend
(Quartier 3, St. George’s)
Téléphone : 905.327.0401
Courriel : [email protected]

Conseiller : Caleb Ratzlaff
(Quartier 4, St. Patrick’s)
Téléphone : 905.327.0473
Courriel : [email protected]

Conseiller : Robin McPherson
(Quartier 4, St. Patrick’s)
Téléphone : 905.328.0003
Courriel : [email protected]

Conseillère : Dawn Dodge
(Quartier 5, Grantham)
Téléphone : 905.933.0373
Courriel : [email protected]

Conseiller : Bill Phillips
(Quartier 5, Grantham)
Téléphone : 905.327.5363
Courriel : [email protected]

Conseiller : Carlos Garcia
(Quartier 6, Port Dalhousie)
Téléphone : 905.937.7012
Courriel : [email protected]

Conseiller : Bruce Williamson
(Quartier 6, Port Dalhousie)
Téléphone : 905.934.2787 ou 905.327.9754
Courriel : [email protected]



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