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Éducation à la sexualité et « aux relations égalitaires » imposées dès la garderie

Par Pour une école libre

Communiqué de la Presse Canadienne (avec le manque de distance habituelle envers les mesures gouvernementales imposées, pardon, offertes aux enfants captifs) :

Ce ne sont pas que les écoles primaires et secondaires du Québec qui offriront [novlangue pour « imposeront », car normalement on peut refuser une offre] cet automne des cours d’éducation sexuelle, certaines garderies et maternelles accueilleront [imposeront] un programme similaire spécialement adapté aux tout-petits.

Quelque 1200 enfants âgés de 0 à 5 ans seront ainsi exposés à certaines notions touchant à la sexualité et aux relations égalitaires dans le cadre d’un projet-pilote déployé par la Fondation Marie-Vincent.

Si cette première phase d’implantation est couronnée de succès [elle le sera, car il n’y a aucun objectif vérifiable défini à l’avance et vérifié par la suite par des gens qui ne sont pas juges et parties du projet, ces innovations du gouvernement sont généralisées peu d’années après leur introduction. À moins que la mesure du succès soit le silence des parents.], le projet Lanterne/Awacic pourrait par la suite être étendu à davantage de garderies, maternelles et centres communautaires.

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Plusieurs ministères sont partenaires du projet, qui a été spécialement conçu pour s’arrimer aux nouveaux cours d’éducation sexuelle qui seront offerts [à nouveau !] dans les écoles québécoises dès la prochaine rentrée scolaire.

Dans le cadre de ce projet-pilote, environ 300 intervenants gravitant autour des enfants seront formés par des professionnels de la Fondation Marie-Vincent, un centre spécialisé dans la prévention de la violence sexuelle touchant les enfants et les adolescents.

Des éducatrices en garderie, des intervenants en milieu communautaire, des gestionnaires de services de garde et des enseignants de maternelle 4 et 5 ans seront ainsi outillés pour répondre aux questions des tout-petits et aborder certains thèmes touchant à l’éducation sexuelle.

Le pari que l’on fait, c’est de se dire qu’en offrant une éducation sexuelle saine [qui est contre la vertu ? Mais que recouvre précisément ce terme, on chercherait en vain des exemples dans la dépêche de la Presse canadienne, c’est très flou. À dessein ?] et en éduquant les enfants aux relations égalitaires [c’est-à-dire ?] dès le plus jeune âge, on prévient la violence sexuelle.

[Ceci est sujet à débat : en quoi traiter mieux les filles : ne pas se battre physiquement avec elles, les traiter en petites demoiselles, alors qu’on se bat entre garçons, augmenterait la violence sexuelle ? On a la désagréable impression, comme d’habitude, qu’on utilise la peur justifiée des parents que leurs jeunes enfants soient victimes de sévices sexuelles pour faire passer un tout autre ordre du jour plus politisé, plus polémique, anti-différence des sexes : « les relations égalitaires ». Le même truc a été utilisé avec le nouveau cours d’éducation à la sexualité : on utilise de nouvelles craintes des parents liées aux sextos, à la pornographie sur internet pour faire passer un ordre du jour féministe, hédoniste, de normalisation de plus en plus évidente des thèses de la théorie du genre, du transgenrisme et de la coterie LGBTQQ2SAI+.]

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