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Des « gens dangereux » sont en train d’« endoctriner » les jeunes


Jordan Peterson.

Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : YouTube et BBC/Voici la source de la photo : Adam Jacobs, Flickr, CC BY 2.0

Le célèbre docteur Jordan Peterson explique aux parents et aux citoyens ce qu’enseignent réellement les universités.

L’Université Prager a publié une nouvelle vidéo dans laquelle un célèbre Anglo-Canadien, le docteur Jordan Peterson, met en garde les parents : leurs enfants sont « endoctrinés » par des professeurs qu’il qualifie de « dangereux ».

En effet, les parents envoient souvent leurs enfants à l’université dans l’espoir que ceux-ci apprennent à « penser de façon critique », à « écrire clairement » et à « bien parler ». Or, le docteur Peterson explique qu’il n’en est rien. Bien des professeurs enseignent plutôt aux jeunes à détester la civilisation occidentale afin de l’ébranler et, ultimement, de la renverser.

De tels propos ne sont pas exagérés : toutes les valeurs occidentales traditionnelles sont reléguées au second plan dans cette nouvelle idéologie. La liberté d’expression, par exemple, n’est pas considérée comme un droit fondamental et les professeurs expliquent aux jeunes qu’ils peuvent et doivent faire taire tous ceux qui s’opposent à eux.

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Par quoi veut-on remplacer la civilisation occidentale ?

Dans cette nouvelle idéologie, le culte de la diversité, de l’équité et de l’inclusion est enfoncé dans la gorge des citoyens. D’ailleurs, ces trois mots sont déjà très populaires chez nos élites, mais que signifient-ils exactement ?

D’emblée, le docteur Peterson précise que la diversité ne valorise pas les opinions dissidentes, mais les différentes races, ethnies et identités sexuelles. En outre, les gens ne sont pas vus comme des individus à part entière, mais comme des représentants de leur race, de leur « genre » et de leur préférence sexuelle.

Les représentants des catégories mentionnées ci-haut doivent être « inclus » dans la société, explique le docteur Peterson. Cela signifie qu’il faut imposer des quotas identitaires pour atteindre l’« équité ». Toutefois, cette dernière notion ne fait plus référence au noble idéal de l’égalité des opportunités, mais plutôt à l’égalité des résultats.

En d’autres termes, si on considère qu’il y a 50 % de femmes au Québec, alors il doit obligatoirement y avoir 50 % de femmes en politique, par exemple. Il en va de même pour les Noirs, les homosexuels, les transgenres, les Autochtones, etc. La question des compétences est secondaire face aux objectifs d’inclusion et d’équité.

Victimes et oppresseurs

Le problème est amplifié par le fait que les représentants sont ensuite catalogués comme étant des « victimes » ou des « oppresseurs ». Le premier ne peut faire de mal alors que le second ne peut faire de bien. Aucune discussion n’est possible entre les deux groupes : tout se résume à une lutte de pouvoirs.

Une telle vision des choses, explique le docteur Peterson, ne peut que générer des conflits. Il est bien placé pour en parler, car lui-même est un professeur à l’Université de Toronto et il s’est fait connaître pour son refus d’utiliser des pronoms inventés pour plaire aux transgenres.

Le docteur Peterson souligne que si rien n’est fait, cette nouvelle idéologie dépassera les universités et contaminera tout l’Occident.



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