Un informateur révèle que Google fausse les résultats de recherche, démonétise et relègue les contenus pro-vie
Par pour une école libre au Québec ― Photo : Mike MacKenzie/www.vpnsrus.com
Des documents internes à Google révèlent que les employés du géant des médias sociaux Google ont qualifié de « nazis » des personnalités politiquement conservatrices telles que Jordan Peterson et Ben Shapiro. Ils ont, en outre, indiqué comment des algorithmes permettent de réduire la portée de ces personnalités. Une vidéo en caméra cachée montre également une cadre de Google responsable de l’« innovation responsable » qui reconnaît que l’entreprise tente d’empêcher qu’un autre « incident Trump » ne se reproduise lors des élections de 2020.
Vidéo de Projet véritas sous-titrée en français.
Prager et Shapiro, qualifiés de nazis, sont tous deux des Juifs pratiquants. Le courrier électronique divulgué avait été envoyé aux membres du groupe « transparence et éthique » de Google. Il demandait de supprimer le contenu des personnes susmentionnées de la « fonctionnalité de suggestion » de Google lorsque les utilisateurs effectuaient des recherches sur Internet à l’aide de Google.
Le projet Véritas a indiqué que le document divulgué semblait contredire l’affirmation d’un employé selon laquelle Google, selon ses termes, n’applique « aucun biais idéologique ou politique dans son classement de recherche ».
Shapiro a répondu à cette affirmation sur Twitter en mentionnant la PDG de YouTube, Susan Wojcicki : « Hé, Susan Wojcicki, nous aimerions en discuter avec vous. Pensez-vous que vos employés devraient cavalièrement étiqueter ceux qui s’opposent avec véhémence au suprématisme blanc de “nazis”, puis de créer des algorithmes qui utilisent de tels mensonges ? » Shapiro est un militant pro-vie et un critique fréquent de ce qu’on nomme l’alt-right et de certains groupes nationalistes.
Dans un courriel obtenu par le Projet Véritas, Liam Hopkins, employé de Google, écrivait : « Aujourd’hui, il suffit souvent d’une ou deux étapes pour tomber sur des nazis, si nous comprenons que PragerU, Jordan Peterson, Ben Shapiro et autres sont des nazis qui utilisent les mots codés à l’étape 1. Je peux recevoir ces recommandations, quel que soit le contenu de ce que je regarde et j’ai enregistré des milliers d’internautes partageant la même expérience. »
Lire la suiteJordan Peterson sur le catholicisme : «C’est aussi sain qu’il est possible de l'être»
Jordan B. Perterson.
Par John-Henry Westen — traduit par Campagne Québec-Vie
27 mai 2019 (LifeSiteNews) — Conversant avec l’un des Juifs conservateurs les plus connus, Dennis Prager, lors du sommet PragerU dans la semaine du 19 au 25 mai, le psychologue de renommée mondiale Jordan Peterson a parlé de Dieu et de sa vision de la foi. Après avoir parlé de son aversion pour la question : « Croyez-vous en Dieu ? » Peterson répondit : « Je pense que le catholicisme, c’est aussi sain qu’il est possible d’atteindre. »
Peterson a souvent été interrogé sur sa foi, s’il croit en Dieu, et il répondait que la question l’avait toujours troublé. Il a promis de parler du sujet étant donné qu’il avait exposé sur sa répugnance beaucoup de réflexion.
Il expliquait : « Qui aurait l’audace de prétendre croire en Dieu s’il examinait son mode de vie ? Qui oserait dire ça ? »
« Croire, au sens chrétien du terme, » ajoute-t-il, » signifie que vous le vivez pleinement et que c’est une tâche insupportable dans un sens.
Puis, dans une longue et rapide réflexion, de la sorte qui a captivé ses millions d’admirateurs, il a exposé de façon extemporanée la vision d’un croyant en Dieu :
« Être capable d’accepter la structure de l’existence, la souffrance qui l’accompagne, la déception et la trahison, et néanmoins agir correctement ; viser le bien de tout son cœur ; renoncer à la malveillance et au désir de destruction et de vengeance et à tout cela ; affronter les choses avec courage et dire la vérité pour dire la vérité et l’accomplir, c’est ce que cela signifie croire — c’est ce que cela veut signifier — cela ne signifie pas de le déclarer, mais de le faire. Et, à moins que vous ne l’accomplissiez, vous devriez être très prudent avant de l’affirmer. Je n’ai jamais été à l’aise de dire autre chose que j’essaye d’agir comme si Dieu existait parce que Dieu seul sait ce que vous seriez si vous croyiez vraiment. »
Voir l’entrevue complète entre Peterson et Prager ici.
Et pourtant, Dieu veut que nous nous disions chrétiens ; être chrétien ne signifie pas être parfait, mais rechercher la perfection en Dieu (soyez parfait comme votre Père céleste est parfait — Matthieu 5:48) avec la grâce de Dieu ; aussi, personne ne pourrait se dire chrétien s'il fallait attendre pour cela d'être parfait. — A. H.
L'American Psychological Association (APA) déblatère sur les « genres » : la masculinité est néfaste
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Sotheby’s Sale catalogue/Wikimedia Commons
La plus grosse association de psychologues des États-Unis a publié dernièrement de nouvelles lignes directrices, qui prétendent que la masculinité est « nuisible, » et que la masculinité et la féminité, par ailleurs, sont des stéréotypes ou des « rôles » où l’homme tient évidemment une position nécessairement mauvaise, puisque suivant le « rôle » masculin, d’après le Washington Examiner.
Les nouvelles lignes directrices de l’APA ont soulevé l’indignation du professeur en psychologie Jordan B. Peterson : « Je suis consterné que l’APA parle au nom des membres de ma profession. Il n’y a tout simplement pas d’excuse pour ce qu’ils ont écrit, » d’après le compte Twitter de Jordan B. Peterson.
Extrait du Washington Examiner :
Les lignes directrices de l’APA ont, à juste titre, déclenché un énorme mouvement de ressac. Ils mettent l’accent sur des idées absurdes telles que la « tension entre les rôles de genre », défini comme « une situation psychologique dans laquelle les exigences des rôles de genre ont des conséquences négatives sur l’individu ou les autres », et le « conflit entre les rôles de genre », défini comme « les problèmes résultant de l’adhésion à des rôles rigides, sexistes ou restrictifs, appris pendant la socialisation, qui résultent en restriction personnelle, dévaluation ou violation des autres ou de soi ».
Plus loin, s’adressant à l’APA dans son article du Washington Examiner, Suzanne Venker écrit :
Comme tous membres du parti de gauche, vos membres croient clairement que tout ce qui s’apparente à la tradition est nuisible et doit être changé ou réparé. Vous ne pouvez pas voir ce que les Américains ordinaires peuvent voir par eux-mêmes : ce n’est pas la masculinité qui provoque des comportements pathologiques (conformément à la croyance qu’un « vrai homme » est violent). Un mauvais comportement, de la part des deux sexes, est un comportement appris. C’est un problème au sein de l’individu qui découle de son éducation et de son environnement. Ne savez-vous pas que la grande majorité des détenus viennent de foyers violents, brisés ou autrement dysfonctionnels ?
Non seulement la masculinité traditionnelle n’est pas mauvaise, mais elle est nécessaire pour les enfants, les mariages et une société stable. Les garçons et les hommes dont vous semblez si préoccupés deviennent pathologiques parce qu’ils n’ont pas un modèle traditionnel de masculinité.
Puisque vous ne semblez pas savoir à quoi ressemble la masculinité traditionnelle, permettez-moi de vous éclairer. Les traits auxquels vous faites référence dans votre rapport (comme le stoïcisme, l’agressivité, être le soutien de la maison et même la domination [propension à commander ?]) sont des traits admirables et non destructifs. Voilà une surprise pour vous : les femmes aiment ces traits chez les hommes. Ils permettent aux femmes et aux enfants de se sentir en sécurité. Elles suscitent le respect des femmes, ce qui est crucial pour la pérennité d’un mariage. À tous points de vue, les études ont montré que lorsque les hommes sont féminisés, il y a rupture du mariage, de la famille et de la société.
Jordan Peterson : l’État ne devrait plus enseigner l’éducation sexuelle
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Jordan Peterson dit avec vérité que l’éducation sexuelle devrait revenir aux parents, et dois-je ajouter, la décision en cette matière doit toujours revenir aux parents. Certes, l’éducation à la maison ne sera peut-être pas idéale, mais elle vaudra toujours mieux que ces cours pourris et loin d’être idéaux, offerts (souvent de force) par les gouvernements. Rajoutons que, même avant l'enseignement de l'idéologie du genre, ce qui était enseigné en matière de sexualité était mauvais. Le premier argument de Jordan Peterson est dur à comprendre, mais le reste est mieux. — CQV
Le New York Times a décrit le célèbre psychologue Jordan B Peterson, dont le dernier livre s’est vendu à plusieurs millions d’exemplaires, comme « l’intellectuel public le plus influent du monde occidental à l’heure actuelle ». Il s’est exprimé le 27 décembre 2018 dans le Scottish Catholic Observer, il revient sur la volonté politique de nombreux gouvernements en Occident d’imposer de nouveaux programmes d’éducation à la sexualité qui vont au-delà des faits biologiques et intègrent des éléments moraux, de lutte contre les « stéréotypes sexuels » ou de théorie du genre :
« Je pense que nous sommes probablement près du point où l’État ne devrait plus enseigner l’éducation sexuelle des enfants, car il n’y a pas de consentement culturel quant au contenu d’un tel programme, alors je pense que cela devrait revenir à la famille », a déclaré le Dr Peterson.
« Non pas que ce soit une solution parfaite, mais l’éducation sexuelle prescrite par l’État n’a pas été parfaite non plus, car elle est devenue tellement contaminée par une idéologie. », a-t-il ajouté.
« Je pense que les écoles devraient simplement en rester là (“leave it be”). Si des idéologues enseignent à vos enfants, vous devriez les sortir de la classe, car il n’y a aucune justification à l’enseignement idéologique. » [L’ennui c’est qu’il est difficile de savoir à l’avance si un idéologue enseigne à vos enfants et même après coup, les enfants ne disent pas toujours à quel point ils ont été troublés ou ébranlés par un tel idéologue à l’école.]
« L’idée que nous n’aurions découvert ce qu’est la véritable nature du genre que ces cinq dernières années est le comble de l’absurdité. Je pense que la conséquence fondamentale est que cela va semer la confusion chez beaucoup plus d’enfants que cela ne les aidera. »
« Documentaire » de la CBC sur Jordan Peterson
Jordan Peterson.
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : CBC / Voici la source de la photo : Gage Skidmore/Wikimedia Commons
Le diffuseur public présentera un documentaire le 2 novembre qui semble diaboliser le professeur de l'Université de Toronto.
Une bande-annonce annonçant la diffusion d'un documentaire le 2 novembre prochain sur la Canadian Broadcasting Corporation (CBC) laisserait penser que le contenu exposé portera sur la montée de l'extrémisme. En effet, on y voit des croix gammées, une peinture de Lénine et un livre intitulé « Hitler et Staline ».
Pourtant, le sujet abordé ne concerne pas le fascisme, le communisme ou même l'extrémisme, mais il vise plutôt à donner un point de vue soi-disant « nuancé » du professeur Jordan Peterson.
Explorer le point de vue « des deux côtés »
La cinéaste Patricia Marcoccia, si l'on se fie au synopsis présenté sur le site Web de la CBC, a eu l'occasion de suivre M. Peterson au moment le plus controversé de sa carrière. La description affirme que le documentaire permet « d'examiner la lutte entre la liberté d'expression et le discours haineux, explorant le point de vue de ceux qui se trouvent des deux côtés de ce débat enflammé ».
Lire la suiteJordan Peterson poursuit l'Université Wilfrid-Laurier
Jordan Peterson, professeur à l'Université de Toronto et psychologue clinicien.
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Toronto Sun , The National Post et La Presse + / Voici la source de la photo : Adam Jacobs, Flickr, CC BY 2.0
Le célèbre professeur de l'Université de Toronto et psychologue clinicien se bat pour la liberté d'expression.
Jordan Peterson, professeur à l'Université de Toronto et psychologue clinicien, réclame 1,75 million de dollars en réparations à l'Université Wilfrid Laurier, située en Ontario. Cette nouvelle poursuite s'ajoute à celle déposée en juin dernier dans laquelle celui-ci réclame 1,5 million de dollars pour diffamation alors qu'il avait été comparé à Adolf Hitler par des membres du comité disciplinaire de l'Université Wilfrid Laurier.
Le début de l'affaire
Cette comparaison extrême avait eu lieu en privé à l'occasion d'une conversation entre trois membres du comité disciplinaire et Mme Lindsay Sheppard, une assistante à l'enseignement. Celle-ci s'était vue sanctionner par l'Université Wilfrid Laurier pour avoir diffusé une vidéo en classe où Jordan Peterson exprimait sa position dans le cadre d'un débat avec un autre professeur sur l'utilisation des pronoms neutres. Mme Sheppard, laquelle avait enregistré la conversation en question à l'insu de ses interlocuteurs, l'avait ensuite diffusée en ligne pour informer le public du traitement qu'elle avait subi.
Lire la suiteJordan Peterson : chrétiens, « Défendez vos droits, entrez en politique » !
Jordan Peterson.
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv)
Pas une semaine, désormais, sans que le célèbre psychologue canadien Jordan Peterson n’agite un journaliste ou ne prenne la parole dans quelque média encore ouvert à son discours… Même le New York Times lui a consacré un portrait le 18 mai dernier. On ne passe pas à côté d’un phénomène médiatique. Au bout d’un moment, il faut s’y mesurer, dans un sens ou dans un autre, pour louer sa réticence au politiquement correct ou au contraire stigmatiser ses « fioritures régressives » comme j’ai pu lire — la seule indifférence ne suffit plus. Il faut se situer par rapport à lui, en justifiant sa position : rien qu’en cela, le « curseur Peterson » est remarquable au sens littéral du terme. Pas étonnant que le point Godwin fut si vite atteint : le psychologue à succès des réseaux sociaux vient de porter plainte pour s’être fait traiter de nazi.
Mais ses ardeurs restent les mêmes : aux chrétiens canadiens à qui on vient de refuser une université de droit trop… chrétienne, il dit de se lever et de s’engager — sous peine d’être bientôt submergés.
Lire la suiteDes « gens dangereux » sont en train d’« endoctriner » les jeunes
Jordan Peterson.
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : YouTube et BBC/Voici la source de la photo : Adam Jacobs, Flickr, CC BY 2.0
Le célèbre docteur Jordan Peterson explique aux parents et aux citoyens ce qu’enseignent réellement les universités.
L’Université Prager a publié une nouvelle vidéo dans laquelle un célèbre Anglo-Canadien, le docteur Jordan Peterson, met en garde les parents : leurs enfants sont « endoctrinés » par des professeurs qu’il qualifie de « dangereux ».
En effet, les parents envoient souvent leurs enfants à l’université dans l’espoir que ceux-ci apprennent à « penser de façon critique », à « écrire clairement » et à « bien parler ». Or, le docteur Peterson explique qu’il n’en est rien. Bien des professeurs enseignent plutôt aux jeunes à détester la civilisation occidentale afin de l’ébranler et, ultimement, de la renverser.
De tels propos ne sont pas exagérés : toutes les valeurs occidentales traditionnelles sont reléguées au second plan dans cette nouvelle idéologie. La liberté d’expression, par exemple, n’est pas considérée comme un droit fondamental et les professeurs expliquent aux jeunes qu’ils peuvent et doivent faire taire tous ceux qui s’opposent à eux.
Lire la suiteJordan Peterson sur le genre et la soi-disant « masculinité toxique »
Jordan B Peterson.
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Le débat sur les armes à feu, semi-automatiques ou pas, permises ou interdites a monopolisé encore une fois l’attention médiatique aux États-Unis, après la dernière fusillade de masse, celle de Parkland, en Floride, où un jeune homme — encore un — de 19 ans a tué à bout portant dix-sept personnes dans le lycée dont il avait été évincé l’année précédente. Pour tenter d’esquisser quelques explications à un tel phénomène, différentes pistes ont été explorées comme l’addiction aux psychotropes, fléau américain réel. D’autres ont visé plus haut, comme le psychologue bien connu des réseaux sociaux, Jordan B Peterson, l’homme aux 40 millions de vues sur YouTube (avec des conférences !)… Au-delà de facteurs plus visibles, il pointe le monde moderne et ses vides destructeurs — et pas la masculinité toxique dont le féminisme va affubler ces nouveaux tueurs.
Fusillades de masse : « Parce qu’ils sont nihilistes et désespérés »
Comment ces jeunes garçons, car le tueur de Parkland est loin d’être le seul de son espèce, en viennent à commettre l’irréparable, tant pour les autres que pour eux ? ! « Parce qu’ils sont nihilistes et désespérés », a répondu Jordan B Peterson, interviewé sur Fox News.
Lire la suiteJordan Peterson et les jeunes « trans ». Et Debra Soh sur l'augmentation de ceux-ci
Jordan Peterson, professeur et psychologue clinicien.
Extraits d’un entretien du professeur et psychologue clinicien Jordan Peterson (Université de Toronto) paru dans le National Post le 19 janvier 2018 :
— Une autre question de psychologie : Qu’en est-il de tous ces gens qui se disent transsexuels ou sans genre ?
Jordan Peterson. — Nous sommes en pleine épidémie psychologique. Cela se produit régulièrement. L’hystérie freudienne était une épidémie psychologique ; aujourd’hui on ne rencontre plus que très rarement des hystériques freudiens. Le trouble de la personnalité multiple est un bon exemple ; vous n’en voyez plus aujourd’hui.
— A-t-on déjà entendu parler, par le passé, de cette histoire de « genre » ?
Jordan Peterson. — Pas de mémoire d’homme.
— Je ne me souviens pas de gens comme ça de toute ma vie. Je connais des homosexuels bien sûr, et des travestis, mais ils semblent remarquablement bien ajustés.
Lire la suite