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Lecture obligatoire de 80 pages pour les policiers ontariens sur, entre autres, comment fouiller les personnes transgenres...

Sur le site de Radio-Canada du novembre 2013 :

(Photo : acceptess-t sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

 

 

 

Les policiers ontariens ont un nouvel outil pour mieux servir les membres de la communauté gaie, lesbienne, bisexuelle et transgenre (LGBT). Ce premier guide au Canada explique aux agents comment reconnaître un crime homophobe, gérer une situation de violence conjugale entre partenaires de même sexe ou procéder à une fouille auprès d'une personne transgenre ou transexuelle, entre autres.

(...)

Le document de 80 pages sera une lecture obligatoire pour tous les policiers de la province.
 

 

 

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Une vidéo choc sur le mal que l'on peut faire à un enfant à naître, mais rien sur l'avortement...

Le site du journal Métro du 6 novembre 2013 nous renvoie à cette vidéo que l'on retrouve sur Youtube. Voici le texte de présentation de Métro :

(Les effets du tabac sur les enfants à naître sont très nocifs. Qu'en est-il de l'avortement?)

(Photo : ramos Alejandro mondi sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

Des statistiques assez alarmantes dévoilées à la suite d’une étude réalisée en Finlande nous révèlent que 15% des mamans enceintes fument la cigarette. C’est encore pire chez les ados, où 50% d’entre elles fument alors qu’elle portent un enfant. (...)

Voici cette vidéo très choquante... :

//www.youtube.com/embed/SPBQII5c9fw

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Résumé d'une victoire au Parlement Européen!

Sur le site de Nouvelles de France du 6 novembre 2013 :

(photo : Parlement européen par Alexandre Prévot, sur flickr.com, licence Creative Commons)

Les défenseurs du droit à la vie et des libertés fondamentales ont gagné une bataille importante au Parlement européen contre le lobby de l’avortement et les velléités totalitaires de la gauche

Alors que la collecte des signatures en faveur de l’Initiative citoyenne européenne Un de Nous s’achevait le 1er novembre à minuit avec près de 1,8 millions de signatures, soit près du double de ce qui était exigé pour imposer son examen par la Commission européenne, la contre-offensive du lobby de l’avortement et des idéologues du genre au Parlement européen s’est soldée par un échec avec le renvoi en commission parlementaire le 22 octobre de la proposition de résolution « Estrela ». Ce texte est sans doute un des plus bizarres et des plus dangereusement extrémistes de ce parlement dont le mandat prendra fort heureusement fin l’année prochaine. Il sera probablement remplacé par une assemblée nettement plus euroraisonnable à en croire les sondages dans plusieurs grands pays européens, France comprise.

Proposée sous forme de Rapport sur la santé et les droits sexuels et génésiques (les droits reproductifs en novlangue, ndlr) par la « Commission des droits de la femme et de l’égalité des genres » (l’égalité des sexes en novlangue, ndlr), portant le nom de la rapporteuse Edite Estrela, une socialiste portugaise membre de l’Alliance progressiste des socialistes et démocrates au Parlement européen (le groupe dont font partie les socialistes français), cette résolution avait pour but avoué de contrer l’Initiative citoyenne européenne Un de Nous qui veut interdire aux institutions européennes de financer les avortements et la recherche sur les embryons (plus d’explications dans cet article). Le renvoi en commission du rapport Estrela équivaut très probablement à son enterrement puisque les travaux du parlement actuel seront clos en avril 2014 et qu’il n’est désormais plus permis de déposer de nouveaux rapports pour le vote de résolutions. C’est un succès personnel pour l’eurodéputé FN Bruno Gollnisch qui a imposé avec le soutien du groupe des Conservateurs et réformistes européens un vote sur le renvoi de ce rapport en commission, un vote que la gauche antidémocratique du PE aurait voulu éviter.

Le rapport Estrela affirme parmi d’autres inepties qu’il existerait un droit international à l’avortement et il demande par conséquent aux États membres de garantir un libre accès aux prestations d’infanticide prénatal, y compris sans l’accord des parents pour les jeunes filles mineures. Il milite également, conformément aux recommandations délirantes de l’OMS, pour une éducation sexuelle et une éducation à l’idéologie du genre obligatoire dès l’école primaire toujours sans que les parents puissent s’y opposer. Bien entendu, la résolution avancée par les socialistes avec le soutien de l’extrême-gauche rouge-verte n’aurait aucun caractère contraignant puisque l’Union européenne n’est pas compétente pour les questions d’avortement et d’éducation sexuelle, mais il s’agit d’empiéter toujours un peu plus sur les compétences des États et de mettre la pression sur les pays récalcitrants au programme du lobby de l’avortement financé par de grandes firmes pharmaceutiques et au programme gendériste du lobby LGBT. Il s’agit aussi de donner une orientation pro-avortement et pro-idéologie du genre à l’action extérieure de l’UE, afin de contrer de manière préventive l’impact potentiel de l’initiative Un de Nous sur les politiques de l’UE dans le monde.
 Mais les droites, pour une fois à peu près unies, ont bloqué cette nouvelle offensive liberticide de la gauche et il faut s’en réjouir. Au Parlement européen, 351 députés ont voté pour le renvoi du rapport Estrela en commission, 319 ont voté contre, exprimant ainsi leur soutien pour le rapport, et 18 se sont abstenus (voir ici qui a voté pour et qui a voté contre parmi les eurodéputés français).

(...)

 

 

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Un élément important à connaître sur la popularité de Nelson Mandela : il a légalisé l'avortement en Afrique du Sud

Sur le site du magazine lepoint.fr du 9 août 2013, un article nous apporte ces commentaires de la députée française Christine Boutin. Un rappel qui fait disparaître l'auréole de l'icône sud-africaine. S'il a témoigné pour la libération d'une partie de son peuple, il a signé l'arrêt de mort d'une autre partie, tout aussi considérable:

(Photo par Georges Rex sur flickr.com, licence creative commons

 

(...) Lors d'une conférence à l'Institut de la démocratie et de la coopération, l'ex-patronne du Parti chrétien-démocrate dit s'être posé "la question de savoir pourquoi monsieur Mandela - et je ne m'attaque qu'à une icône - avait un tel rayonnement dans le monde ?"
 
Et de donner sa réponse : "Quand monsieur Mandela est sorti de prison en 1994, il a préparé une constitution, sortie en 1996 en Afrique du Sud, dans laquelle - et c'est le premier pays au monde - ont été inscrits les principes constitutionnels permettant le mariage gay et l'avortement."
 
(...) "Certes, il a lutté contre l'apartheid, mais il y a d'autres responsables politiques dans le monde qui ont fait de la prison, qui ont lutté pour la liberté, mais qui n'ont pas eu cette audience mondiale. Tout homme politique en France a essayé - et moi-même j'ai été tentée, mais grâce à Dieu je n'en ai pas eu - d'avoir sa photo à côté de Mandela. Car avoir votre photo à côté de Mandela fait de vous un vrai homme politique institutionnel. Pourquoi ? Il y a d'autres hommes et femmes politiques qui méritent autant d'audience que monsieur Mandela."

Ce qui n'est pas sans rappeler la popularité d'un Jack Layton au Canada, fervent partisan du Dr Morgentaler et du « droit » d'éliminer les enfants à naître.

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Lettre dans le Journal Métro sur les euthanasies sans consentement en Belgique

Sur le site du journal Métro du 5 novembre 2013 :

(Le philosophe utilitariste très prisé au Québec, Peter Singer, avouait : « À propos de sa mère, touchée par la maladie d'Alzheimer, il expliquait partager avec sa sœur la responsabilité des décisions à prendre, mais que s'il était seul arbitre, sa mère ne continuerait peut-être pas à vivre », source Wikipédia)

(Photo : Joel Travis Sage sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

(...)

Malgré ces divisions, il y a tout de même un point de consensus important : il est essentiel de protéger les personnes vulnérables qui pourraient recevoir l’injection létale sans réellement en avoir fait la demande ou qui pourraient se faire pousser à choisir l’euthanasie par leur entourage. D’autres personnes vulnérables, souffrant de dépression à cause de leur maladie, seraient quatre fois plus à risque de demander l’euthanasie et pourraient donc mourir sans avoir reçu de traitements adéquats. Il y a donc un fort consensus sur le besoin de protéger de telles personnes.

À cet égard, le projet de loi 52 a comme objectif d’encadrer l’euthanasie pour éviter les abus potentiels tout en permettant à certains d’y avoir accès. Pour avoir accès à l’euthanasie, le projet de loi 52 requiert que le patient soit majeur, qu’il fasse la demande lui-même, qu’il soit atteint d’une mala­die incura­ble et qu’il estime avoir des souffrances physiques ou psychologiques intolérables. Devant ces importantes restrictions, il est essentiel de se poser une question : ces mesures sont-elles suffisantes pour protéger les personnes vulnérables?

Pour répondre à la question, il est important d’étudier l’exemple de pays comme la Belgique, où l’euthanasie est légale et contrôlée d’une manière presque identique au projet de loi 52. En étudiant les données de la Belgique, on se rend compte qu’il existe une différence troublante entre la loi et la réalité. Une étude de 2010 montre que 32 % des euthana­sies dans la région de la Flandre ont été pratiquées sans la demande ou le consentement du patient. Une autre étude publiée en 2010 montre que 47 % des décès par l’euthanasie n’étaient pas signalés aux autorités, alors même que la loi exige qu’ils le soient. Ces données montrent qu’il existe un écart énorme entre l’objectif de la loi et son application dans la réalité médicale. Les conséquences d’un tel écart sont sérieuses et irréversibles : beaucoup de patients vulnérables, plutôt que de recevoir du soutien psychologique et des traitements médicaux, ont reçu une injection létale sans l’avoir même demandé, et ce, en dépit d’une loi qui devait les protéger. Tenant compte de la similarité entre le projet de loi 52 et la loi sur l’euthanasie en Belgique, il est fort probable que ce même danger deviendra réalité au Québec si l’euthanasie est permise.

(...)

Jonathan Morasse, Montréal,
étudiant en médecine
 

 

 

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Une mère porteuse payée 10 000$ pour avorter refuse de laisser éliminer son enfant adoptif...

Sur le site de jolpress.com du 8 mars 2013, cette nouvelle passée inaperçue :

(Photo : Petr Kratochvil, sur publicdomainpictures.net)

 

 

 

(...) Une jeune femme américaine Cristal Kelley a été payée 22 000 dollars pour porter le bébé d’un couple. Or, alors que la mère porteuse entamait sa 21e semaine de grossesse, une échographie a révélé un certain nombre d’anomalies chez le fœtus : un bec-de-lièvre, un kyste au cerveau et un problème au cœur. Les parents ont alors offert 10 000 dollars de plus à Cristal Kelley pour qu’elle accepte d’avorter.

La mère porteuse refuse d’avorter

Seulement voilà, la mère porteuse a décidé de garder le bébé. « Je ne peux vous dire combien de gens m’ont dit que j’étais mauvaise, que j’avais tort, que j’aurais dû me faire avorter, que je serais damnée en enfer », a déclaré Cristal Kelley. « Mais personne ne ressentait cette grossesse comme moi je le faisais. Personne d’autre ne la sentait bouger et donner des coups de pieds de l’intérieur. Je savais depuis le début que cette petite fille avait un esprit combatif étonnant, et que tous les défis qui lui étaient lancés seraient relevés par elle avec chaque once de courage dont elle dispose. »

Selon CNN, Crystal Kelley a alors reçu une lettre d'un avocat nommé Douglas Fishman lui rappelant que son contrat de maternité de substitution l’obligeait à avorter dans le cas « d'anomalie grave du fœtus ». L’avocat l’a même menacé de procès pour récupérer les sommes déjà versées, sans compter les frais médicaux et juridiques.

Les parents renoncent à leurs droits sur l’enfant

Avec  l’aide d’un avocat bénévole, Cristal Kelley a réussi à faire admettre aux parents qu’ils ne pouvaient la contraindre à avorter. Alors ces derniers lui ont assurés qu’à la naissance du bébé, ils accepteraient de prendre la responsabilité légale de l'enfant et l'abandonneraient aussitôt, faisant de la fillette une pupille de l'Etat.

N’acceptant pas l’idée de savoir que l’enfant qu’elle portait soit mis en famille d’accueil, Cristal Kelley a décidé de quitter le Connecticut pour le Michigan. En accouchant dans un autre Etat, elle avait l’assurance d’être considérée comme la mère de l’enfant. C’est ce qui s’est passé mais en tant que mère célibataire sans emploi avec deux enfants à charge, elle a décidé de confier le bébé à un couple qui désirait adopter.

(...)

 

 

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Interview sur une télévision communautaire d'une jeune participante à la Chaîne pour la Vie

Sur le site de tele-mag.tv, à 27 minutes 30 secondes. Pour voir l'interview de Nadine Westerveld, cliquez ici.

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Un juge italien choisit le suicide assisté (Suisse) sous prétexte qu'il est atteint de la Syphilis

Sur le site de directmatin.fr du 5 novembre 2013 :

(La Ministre Véronique Hivon saura vous rassurer... La légalisation de l'euthanasie au Québec ne peut permettre des erreurs d'interprétation par des médecins ici...)

(Photo : creehealth sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

L'affaire n'est pas simple. Selon 20minutes.ch, le juge Pietro A. - un magistrat d'origine italienne - aurait décidé de mettre fin à ses jours dès 2010 en prenant contact avec une organisation nommé Dignitas qui oeuvre à la mise en place de l'euthanasie.

Deux démarches en trois ans

Après avoir payé 10.000 Francs suisses (environ 8.135 euros), il avait finalement renoncé à son dessein. Trois ans plus tard, en mars 2013, il reprend contact avec Erika P., le médecin qui l'avait pris en charge et qui a depuis rejoint la Fondation Eternal Spirit, également engagée en faveur de l'euthanasie.

Le médecin donne son feu vert moyennant le versement d'une nouvelle somme de 10.000 Francs suisses. Le contreseing obligatoire d'un second médecin est rapidement obtenu et le juge Pietro A. peut alors recevoir les substances létales nécessaires à son suicide. Le 11 avril, il met fin à ses jours dans les locaux de la fondation à Bâle.

Syphilis et dépression

Sauf que dans sa lettre d'adieux, il explique qu'il souffre d'une "simple" syphilis, curable depuis l'introduction de la péniciline. Par ailleurs, des témoignages révèlent surtout que l'homme souffrait d'une profonde dépression depuis sa démission provoquée par un revers professionnel en 2010. Deux maux insuffisants pour justifier un suicide assisté en Suisse.

Malgré les excuses d'Erka P., la famille de la victime a décidé de porter l'affaire sur le terrain judiciaire en portant plainte, (...)

 
 

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RAPPEL: Journée de jeûne contre le projet de loi 52 (euthanasie) le vendredi 8 novembre

(Photo : Jean Fortunet sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

Le 8 novembre sera une journée de jeûne pour contrer le projet de loi en faveur de l'euthanasie.  Tous ceux qui désirent se joindre à ce mouvement sont les bienvenus.

 
  
Nous savons que 4 des 6 étapes ont été franchies en faveur du projet de loi,
il n'y a plus que la prière pour que la vie puisse avoir le gain de cause!
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Les euphémismes québécois... un très bon article paru dans le journal Le Soleil

Sur le site du journal Le Soleil du 5 novembre 2013 :

(Les euphémismes ou comment endormir le sens commun)

(Photo : Justin Hanes Magician, sur flickr.com, licence Creative Commons)

 

Le Petit Robert définit ainsi ce mot: expression atténuée d'une notion dont l'expression directe aurait quelque chose de déplaisant, de choquant. L'euphémisme est une figure de style qui permet de recourir à une périphrase afin d'atténuer la réalité.

Par exemple, on parlera de pays en voie de développement pour parler de pays pauvres. De sans domicile fixe pour signifier un mendiant, un clochard. D'âge d'or pour vieillard. De non-voyant pour aveugle. De malentendant pour sourd. De personne de petite taille pour nain. D'interruption volontaire de grossesse (IVG) pour avortement. (...) De solution finale pour le génocide des Juifs. (...)

Le Québec n'échappe pas à la multiplication d'euphémisme. Je retiens trois exemples.

Premier exemple. Le mot avortement est quasiment disparu du discours journalier. On parle d'interruption volontaire de grossesse. Ou d'IVG. Mais, cela ne change rien à la réalité. Au Canada, depuis la fin janvier 1988, un enfant à naître n'est pas considéré comme une personne humaine tant qu'il n'a pas complètement quitté le canal de la naissance. L'IVG n'est plus un acte criminel. N'importe qui peut tuer n'importe quel enfant à naître, pour n'importe quelle raison, de la conception à la naissance.

L'euphémisme «interruption volontaire de grossesse» ne change cependant rien à la réalité (...)

Deuxième exemple. Plus récent celui-là: la charte des valeurs québécoises. Le gouvernement souhaitait présenter une charte de la laïcité mais il a atténué sa démarche en présentant un projet de charte des valeurs. Son projet à deux valeurs sème la division. Il eut été plus simple de présenter clairement une loi sur la laïcité. Celle-ci, comme dans tous les pays du monde, implique deux choses: la séparation des pouvoirs des Églises des pouvoirs religieux et la neutralité de l'État face à toutes les religions sans n'en interdire aucune.

Troisième exemple. Très récent: l'adoption en première lecture le 29 octobre dernier d'un projet de loi encadrant l'aide médical à mourir, ou, si vous voulez, les modalités à suivre afin de mourir dans la dignité. (...) Selon certains députés, on ne parle pas des vraies choses. Il faudrait parler d'euthanasie et faire le débat sur cette question-là. (...) Certains groupes accusent le gouvernement de camoufler l'acte de l'euthanasie dans son projet de loi fourre-tout et prétendent que le PQ veut favoriser l'euthanasie plutôt que les soins palliatifs.

(...)

Nestor Turcotte, Matane
 

 

 

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