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Refaire nos devoirs sur l’éducation affective et sexuelle de nos enfants et ados

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Par Solange Lefebvre-Pageau 

Voulons-nous véritablement que nos enfants et nos jeunes deviennent sexuellement équilibrés, respectueux et aimants ? Ceci afin de prévenir toute mutilation, dénaturation, exploitation, ITS, cancers sexuels ainsi que toute violence, etc. Voulons-nous vraiment favoriser le respect et l’égalité homme femme, et redonner sens à la famille et à l’école ?

Si oui, nous devons d’urgence, comme société, accepter de les instruire et de les former, de la naissance à la maturité. Nous avons à leur apprendre à être et à aimer. Pour y parvenir, nous, adultes, ne devons pas dissocier l’amour de la sexualité, deux réalités humaines qui se développent conjointement chez tout individu. Nous avons à favoriser chez nos enfants le développement lent, progressif et continu d’un processus intérieur d’intégration de l’amour et de la sexualité qui les acheminera pas à pas vers la maturité de leur personne.

Apprendre à bien se connaître comme homme ou femme, à s’accepter et à s’aimer, puis à s’ouvrir à l’autre semblable et différent, est, nous ne l’oublions pas, un réel besoin et le droit de tout être humain. Pour ne pas l’avoir appris et avoir été soutenus dans cet apprentissage, que de personnes subissent de graves conséquences et à un coût ahurissant pour notre société entière !

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Nous avions 100 raisons pour choisir l’avortement, mais mon copain et moi avons choisi la vie

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Par Live Action News traduit par Campagne Québec-Vie

La gynécologue a mis sa main sur la mienne et m’a annoncé que j’étais enceinte. J’étais en état de choc. Je ne pouvais pas avoir un bébé en ce moment, avec tout ce qui se passait dans ma vie – une grande charge de travail, l’état de santé de ma mère, et peut-être un mariage dans le futur. Et je pouvais compter 100 autres raisons pour ne pas avoir un bébé.

Mon copain Dan et moi avions été élevés dans des familles chrétiennes. Et bien que nos parents nous aimaient et étaient pour nous un grand soutien, personne ne serait très heureux de voir apparaître un bébé à ce moment de nos vies, et avant notre cérémonie de mariage. On nous avait appris à faire les choses « comme il faut », et nous savions que cette grossesse ne rentrait pas dans cet ordre des choses. Jusqu’à ce jour, je jouais le rôle de la « fille idéale » et de la « Chrétienne idéale ».

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Colloque le 13 mai à ne pas manquer

Campagne Québec-Vie a pour but de répandre au Québec une Culture du respect de la Vie, de la conception à la mort naturelle. Or, un des plus grand obstacles au respect de la vie naissante est le manque de respect envers la sexualité. Quand nos jeunes et nos moins jeunes s'engagent dans des relations sexuelles sans souci pour les conséquences qu'auront leurs actes, nous ne pouvons pas nous surprendre qu'ils réclament par la suite l'accès libre à l'avortement pour « effacer » les résultats non-voulus de leur aventures d'un soir.

Il est évident qu'une Culture du respect de la vie passe nécessairement par un respect de l'acte sexuel et de sa finalité, qui est la procréation d'un nouvel être humain fait à l'image et à la ressemblance de Dieu. Si les enfants étaient éduqués dans la chasteté (pureté du comportement et des intentions), nous aurions beaucoup moins à craindre qu'ils se trouvent dans des situations de grossesse indésirée ou de maladie transmise sexuellement.

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Jacques Frenette (1940-2017) : le cerbère de l'Oratoire


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Jacques Frenette (à droite) en conversation à l'extérieur de l'Oratoire St-Joseph

Par Luc Gagnon

Monsieur Jacques Frenette a émis son dernier souffle le 2 avril dernier à Montréal. On ne reverra plus sur cette terre ce sympathique résident permanent des cafés de Côte-des-Neiges, son cher quartier de Montréal qu'il arpentait depuis une bonne trentaine d'années. Combien d'heures n'avons-nous pas discuté à refaire le monde et l'Église au milieu des volutes créées par la fumée de ses cigarettes, à la belle époque de la liberté où on pouvait fumer dans les cafés et où les conversations n'étaient pas interrompues par les stupides téléphones portables. M. Frenette pouvait discourir durant des heures jusqu'à très tard dans la nuit pourvu qu'il fût alimenté de café et de tabac, c'est d'ailleurs tout ce qu'il consommait dans ses journées, à part un muffin «du jour», en surplus, quand on lui en offrait un.

Il était généreux de sa parole et de son temps. C'est pourquoi on l'a surnommé « le philosophe de l'Oratoire » ou « le président de la république libre de Côte-des-Neiges ». Il était un improbable mélange de Diogène, Voltaire et Benoît-Joseph Labre. Un de ses quartiers généraux fit la cafétéria de l'Oratoire Saint-Joseph, d'où il fustigeait éloquemment la pleutrerie et le pharisaïsme des Pères de Sainte-Croix et de l'Église hiérarchique, qui avaient démissionné à bien des égards face à la modernité triomphante.

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La marche pour la vie de Prague double de taille: plus de 5000 personnes se joignent au combat contre l’avortement

marche_pour_la_vie_prague_2017.jpgLa marche de 2017 pour la vie et la famille à Prague,République Tchèque, a attiré une plus grande foule que dans les années passées.

Par Lisa Bourne (LifeSiteNews) traduit par Campagne Québec-Vie

République Tchèque , 24 Avril 2017 - Une foule record de 5 000 personnes, qui comprenait au moins un cardinal catholique et d'autres prélats, a participé samedi à la dix-septième Marche Nationale pour la Vie et la Famille.

« Les enfants apportent l’espoir » et « Abandonnez la loi sur l’avortement » étaient sur les bannières, portées par les marcheurs qui défilaient dans les rues de la capitale de la République tchèque.

L'événement avait attiré entre 2 000 et 3 000 personnes au cours des années précédentes.

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Sexe et pornographie dans les livres scolaires : scandale dans les écoles catholiques et publiques

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Par Armel Joubert des Ouches et Jeanne Smits (reinformation.tv)

Une enquête exclusive Réinformation.TV

Le scandale du sexe et de la pornographie dans les livres scolaires obligatoires s’étend dans le silence des parents d’élèves, des associations de parents et des autorités religieuses. Il touche tant les écoles publiques que l’enseignement catholique.

« Je sais qu’il y a deux scènes de viols, dont une sur une mineure. Je crois aussi qu’il y a une tournante dans une cave. Dès le début, ils présentent le personnage comme une bête de sexe. Il est marié mais sa femme ne lui suffit pas, alors, il a une garçonnière où il se rend pour voir d’autres femmes la nuit. Je n’ai pas tout lu ». Le personnage était « une bête de sexe ».

Le scandale des ouvrages scolaires

La jeune fille qui parle est aujourd’hui âgée de 18 ans. Mais de quoi parle-t-elle ? D’un livre dont la lecture a été imposée par l’un de ses professeurs à toute sa classe de seconde, il y a trois ans, pour « l’étudier ». Ce livre, c’est L’invention de nos vies de Karine Tuil. On y trouve de nombreuses scènes de pornographie.

C’est un scandale sans nom. Mais il y a plus grave : cela s’est passé dans un établissement de l’enseignement catholique de Rennes : l’Assomption. « Le sexe » abordé sous des traits nauséabonds dans une école catholique bretonne…

Lorsque les faits se produisent, Tiphaine n’a que 15 ans. Cette lecture imposée la choque terriblement, au point qu’elle sera victime de crises de larmes à répétition, d’insomnies fréquentes, de troubles divers.

A l’époque, la lettre d’excuse qu’elle reçoit de Pascal Balmand, le secrétaire général de l’enseignement catholique à Paris ne change pas grand-chose. Le mal est fait. Trois ans après, Tiphaine, que nous avons interviewée en exclusivité, reste toujours profondément choquée. « Je ne pourrai jamais oublier cela », nous a-t-elle déclaré.

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Un médecin sauve la vie d’un prématuré qui sauve la vie du même médecin 30 ans plus tard

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Par Sarah Zagorski (LifeNews) - traduit par Campagne Québec-Vie

Le 29 mars 2011, le Docteur Michael Shannon s’est trouvé pris dans une voiture en feu après une collision avec une semi-remorque. Le service des incendies du Comté d’Orange en Californie est arrivé sur les lieux de l’accident; parmi eux se trouvait Chris Trokey, un jeune agent paramédical. Heureusement, ils réussirent à extraire le Dr Shannon de la voiture mais il dut passer 45 jours à  Mission Hospital  afin de se remettre de ses jambes brûlées et des blessures internes.

C’est alors que Trokey se rendit compte qu’il venait de  sauver la vie du Docteur qui avait sauvé la sienne lorsqu’il n’était qu’un bébé. Selon le poste de télévision KTLA, Trokey naquit prématuré il y a 30 ans et ne pesait que 3,2 livres. Ses chances de survie ne s’élevaient qu’à 50%; cependant, le Dr Shannon travailla sans relâche pour sauver sa vie.

Trokey déclara être très ravi de rencontrer le Dr Shannon : « Je n’en savais rien jusqu’à ce que j’arrive à l’hôpital et que je commence à en parler, du Dr Shannon. Et je me disais, "ça alors, Dr Shannon?" »

Le Dr Shannon a déclaré à KTLA qu’il est étonnant de les voir tous grandir, mais se retrouver vraiment dans le besoin et être secouru par l’un d’eux, est quelque chose de vraiment extraordinaire. Aujourd’hui, Trokey est papa et le Dr Shannon est le pédiatre de son fils.

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Une mère pro-vie refuse un traitement contre le cancer pour que son fils puisse vivre

danielle_janofsky_with_daughter_avery_(1)_810_500_55_s_c1.jpgDannielle Janofsky avec sa fille Avery

Par Steve Weatherbe (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie

Williamstown,New Jersey, 20 avril 2017 - Une jeune mère est pleurée et célébrée par sa famille, parce qu’elle avait choisi de sacrifier sa vie dans le but de faire naître son enfant prématurément par une césarienne. 

Danielle Janofsky est morte à l’âge de 30 ans, trois jours après la naissance du bébé. Celui-ci continue à se battre pour sa vie dans un hôpital de Pennsylvanie. 

« Elle était une mère phénoménale. » disait sa mère, Barbara Jackson, à LifeSiteNews. 

Janofsky est morte en février d'un cancer qui apparut, sous une forme s’étendant rapidement, au cours du sixième mois de sa deuxième grossesse. Rejetant les chances de survie jusqu’à ce qu’un second traitement immunothérapeutique puisse commencer, elle donna le jour à son fils le 14 février.

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Une vidéo intra utérine de jumeaux, qui offre un aperçu époustouflant à l’intérieur de l’utérus

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Le petit visage d'une des jumelles peut être vu dans cette capture d'écran de la vidéo.

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie

Depuis la légalisation de l’avortement, il y a de cela 40 ans, la technologie a fait beaucoup de progrès.  Dans les années 70, la femme enceinte moyenne ne savait pas à quoi son enfant ressemblait, aux diverses étapes de son développement. Puis les échographies sont devenues une pratique standard, et comme la technologie s’améliorait, notre habileté à voir dans l’utérus aussi. Aujourd’hui, c’est une évidence absolue que tous les fœtus sont humains à 100%, qu’ils sont à 100% vivants et surtout à 100% de mériter les mêmes droits que nous, qui avons eu le privilège de naître. Une vidéo de jumeaux dans le placenta, prouve que la vie commence bien avant la naissance normale.

Cette vidéo partagée par la Twins and Multiple Births Association (Tamba, une association pour grossesses multiples), a été filmée en 2014 à 22 semaines de gestation.  Sarah et Dan Maund étaient à l’hôpital St Georges de Londres pour une ablation chirurgicale au laser sur leurs jumeaux, qui avaient le syndrome de transfusion foeto-fœtale (en anglais TTTS).

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Après avoir sauvé son fils en renversant un avortement chimique, Amy s’exprime : « Chaque fois que je le regarde, je suis émue de reconnaissance »

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Par LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Une femme du Colorado nommée Amy Mendoza fait part de sa surprenante histoire de renversement d’avortement au canal Channel 7 de Denver. Après avoir cru inopportune la naissance prochaine de son enfant, Amy a regretté sa décision d’avorter. Elle a entendu les battements du cœur de son fils et s’est alors souvenue d’une information qu’elle avait lue sur Facebook sur le renversement d’avortement. Amy a vite cherché en ligne un moyen de sauver son fils. Elle a trouvé un centre de santé, le Bella’s Natural Women’s Care, qui ont pu inverser l’avortement. Aujourd’hui, dit-elle, son fils Cruz est une source de joie : « Chaque fois que le regarde, je suis émue de reconnaissance ». 

Mendoza a voulu faire connaître son témoignage lorsque Justin Everett, représentant d’État de Littleton, et Dan Nordberg, son homologue de Colorado Springs, ont donné leur aval à un projet de loi, la Loi sur l’information du renversement d’avortement par pilule (Abortion Pill Reversal Information Act), qui obligerait les avortoirs d’informer leurs clientes de la possibilité d’inverser un avortement chimique déjà entamé. 

Trois femmes, y compris Amy, ont relaté comment elles ont donné naissance à des bébés en bonne santé après avoir inversé leur avortement. Amy raconte que là où elle s’était présentée – une clinique Planned Parenthood de Boulder (Colorado) – on lui a expliqué clairement que le renversement de la procédure était impossible et qu’elle devait vite prendre la deuxième pilule. Fausse information, comme le démontre la naissance de Cruz, le fils d’Amy. Le projet de loi des représentants Everett et Nordberg assurerait donc que l’on donne aux femmes des informations exactes, et ainsi une chance de sauver leur enfant.

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