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Il est temps d'en finir avec l'euthanasie

Blog D'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Il est vraiment temps d'en finir avec l'euthanasie qui demeure immorale dans tous les cas.

Extrait du site Forbes :

En 2002, la Belgique a légalisé l'acte meurtrier et effrayant de l'euthanasie, en vertu duquel des médecins et des infirmières tuent des patients avec leur consentement présumé. Les Pays-Bas avaient officiellement fait de même l'année précédente. Cette pratique, qui rappelle trop bien ce que l'Allemagne nazie faisait avant la Seconde Guerre mondiale aux handicapés mentaux et aux personnes souffrant de handicaps très graves, se justifie aujourd'hui non pas par les théories hitlériennes de «purification de la race», bien sûr, mais sous forme de traitement «humain» envers ceux souffrant de maladies mortelles et de douleur extrême.

Des milliers de patients ont été éliminés depuis que les Pays-Bas et la Belgique ont promulgué ces lois moralement répugnantes. La Belgique autorise maintenant l'euthanasie même pour les enfants, reconnaissant récemment qu'entre le 1er janvier 2016 et le 31 décembre 2017, deux enfants, âgés de 9 et 11 ans, respectivement atteints d'une tumeur cérébrale et de la fibrose kystique ainsi qu'un adolescent de 17 ans, qui avait la dystrophie musculaire de Duchenne, ont été mis à mort. Les défenseurs de l'acte disent que ces enfants ont donné leur consentement, tout comme leurs parents. Bon Dieu ! Faut-il croire que les jeunes doivent prendre de telles décisions ?

Les Pays-Bas ont été frappés par des scandales dans lesquels des patients ont reçu des injections mortelles sans leur consentement, afin de libérer des lits d'hôpital «nécessaires»...

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La théorie du genre fait des ravages

Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Source de la photo : Pixabay

La population infantile britannique vit une véritable « désorientation ». En Grande-Bretagne la « théorie du genre » se retrouve sur le banc des accusés !

L’introduction de cette « discipline » idéologique dans l’éducation scolaire est considérée la cause principale de cette inquiétante augmentation de jeunes enfants demandant à « changer de sexe » ces dernières années. C’est le constat qu’a du faire le gouvernement de Teresa May devant cette crise de l’identité sexuelle.

Depuis 2006, imposée par les courants « progressistes », que l’on peut qualifier plus proprement de nihilistes, l’idéologie incriminée est au programme des écoles primaires et secondaires.

Le ministre de la Santé, dans un récent rapport, confirme que le nombre de mineurs ayant l’intention de changer de sexe a fait un bond de 4400 % depuis 2007. Le service de santé britannique précise que ces demandes ont été repoussées par les directions sanitaires. Les enfants, souvent âgés de moins de 10 ans, ont été diagnostiqués comme sujets à de simples « troubles mentaux ». Il leur a été prescrit des traitements psychiatriques et des médicaments anti-schizophrénie.

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Éducation sexuelle : L’expérience à l’école primaire de Jules-Verne est-elle réellement positive ?

Par Solange Lefebvre-Pageau — Ce texte est une réponse à l’article L’expérience positive de l’école Jules-Verne, dont l’auteure est Magdaline Boutros, Le Devoir, 12 septembre 2018. — Source de la photo : Radio-Londre

Suffit-il de reconnaître que les enseignants de l’école primaire Jules-Verne de l’île de Montréal étaient à l’aise avec le contenu du nouveau programme d’éducation à la sexualité et motivés à l’offrir aux élèves, et que les enfants étaient très réceptifs aux enseignements prodigués, pour affirmer que l’expérience de cette école fut positive ?

Permettez-moi d’en douter, moi qui, depuis nombre d’années, ai développé une alternative à l’éducation à la sexualité en milieu scolaire qui a pour nom :

L'éducation de nos enfants et de nos jeunes
à l'intégration de l'amour et de la sexualité.

C’est une éducation fondamentale qui permet à l’être humain de développer la structure interne qui le rendra capable d’assumer son être sexué, de grandir en sagesse et de s’épanouir harmonieusement en s’aimant et en aimant autrui.

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Un juge des Etats-Unis méconnaît le droit d’une agence d’adoption catholique de refuser un couple d’adoptants homosexuels

Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)

C’est une décision qui fera date aux Etats-Unis, et qui marque une nouvelle régression des droits des institutions catholiques face à la déferlante LGBT. Le juge fédéral américain Paul D. Borman a décidé vendredi dans le Michigan de rejeter la demande d’une agence d’adoption catholique, la St. Vincent Catholic Charities de Lansing, et de déclarer recevable la plainte de la très gauchiste ACLU visant son refus de choisir des couples d’adoptants homosexuels. En permettant à l’affaire judiciaire de ce poursuivre, le juge fédéral a adopté une position aux répercussions considérables, puisque ce sont toutes les associations religieuses des Etats-Unis qui risquent d’en subir les conséquences

L’affaire concerne très précisément les associations caritatives recevant des subventions publiques, et porte sur le fait de savoir si elles peuvent continuer de les percevoir si elles rejettent – pour des raisons religieuses, ou de conscience – les couples demandeurs de même sexe. L’affaire Dumont v. Lyon est l’une des toutes premières à passer devant un juge et à ce titre, focalise l’attention de tous ceux qui veulent savoir dans quelle direction s’affirmera la jurisprudence en la matière.

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Un médecin catholique : « Pourquoi je ne pratique pas l’euthanasie »

Blog D'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Voici un texte remarquable de Catherine Dopchie, Française, oncologue et responsable d'une unité hospitalière de soins intensifs, qui explique pourquoi elle n'exécuterait pas d'euthanasie.

Extrait d'un article de La Libre.be :

Médecin catholique pratiquante, je souhaite rester proche de celui qui souffre, habitée d’espérance malgré ce que cela coûte et malgré la tentation de l’euthanasie, de cette maîtrise à tout prix.

Celui qui souffre et n’en peut plus malgré l’expertise de nos interventions et la qualité sincère de notre accompagnement m’interpelle très profondément. La souffrance psycho-spirituelle du « non-sens », désormais à l’origine de la plupart des demandes d’euthanasie, ne s’adresse pas à l’art médical au sens strict. Pourtant ce cri m’atteint, la compassion douloureuse me saisit souvent. L’impuissance me convoque à demeurer, à chercher à m’améliorer, mais ne me contraint pas à trouver une réponse dans la maîtrise à tout prix. Rester proche, habitée d’espérance malgré ce que cela coûte et malgré la tentation de l’euthanasie, voilà ma position.

Invitation au lâcher prise

La souffrance et la mort gardent leur part de mystère et m’invitent au lâcher prise pour laisser place à plus grand que moi. C’est un choix que je pose dans la confiance, comme Jacob dont la hanche douloureuse lui rappelle de s’appuyer sur Dieu. Etre à l’écoute, entendre avec le cœur, partager les émotions, ne veut pas dire avoir réponse à tout. Ne pas avoir de réponse ne veut pas dire que l’on n’écoute pas la supplique. La fraternité permet parfois au souffrant de voir éclore en lui une lumière nouvelle, car dans ces détresses, la solution naît de l’intérieur, elle ne s’impose pas de l’extérieur. Caroline Valentiny, sortie d’une pathologie psychiatrique grave, en témoigne : « L’expérience de quelque chose au-delà de moi qui m’a réveillée à la vie. » La paix de la « bonne mort » judéo-chrétienne est fruit d’une unité intérieure, d’une harmonie entre le cœur profond et le plan de Dieu, même si la mort est violente comme celle du Crucifié. Elle ne peut devenir un cliché vidé de sens, mort « douce » provoquée de celui qui souffre. Les réalités vécues nous apprennent la solidarité avec le plus fragile, et nous recréent, plus aiguisés pour l’Amour...

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Le Québec et le Canada ont besoin de Dieu


Source: Shutterstock

Il y a 60 ans, le Québec par ses élites a rejeté le christianisme. S’est ensuivi un tsunami d’avortements (moins de 1000 par an en 1971, aujourd’hui, 30 000 par an), de divorces (pour chaque 100 mariages dans une année, 50 divorces) et de lois douteuses (p. ex. mariage « gai » en 2005, euthanasie en 2016). Finalement, une forte immigration, rendue nécessaire par le faible taux de reproduction (avortement, stérilisation, contraception), risque aujourd’hui de rayer de la carte les peuples fondateurs du Canada ainsi que d’introduire dans notre société des pratiques et croyances des plus nocives (p. ex. l’Islam).

Drogués par leurs écrans lumineux ainsi que par l’amour du confort et du sexe, les Québécois et Canadiens semblent pour la plupart incapables de se secouer de leur torpeur. Et les médias subventionnés et oligarchiques pèsent sur les consciences comme une chape de plomb, rendant quasiment impossible une pensée saine et originale. Devons-nous nous résigner à une disparition tranquille ?

Jamais. Un changement est possible. Mais il faut vouloir un vrai changement. Vouloir quoi ? Nous devons vouloir Dieu dans notre vie, y compris dans la politique.

Viktor Orban et la « démocratie chrétienne »

Tournons-nous vers un autre peuple jadis opprimé, le peuple hongrois, qui a su, avec la grâce de Dieu, se libérer de son état d’esclavage mental et spirituel pour devenir un modèle pour l’Europe et pour le monde.

Les Hongrois, aujourd’hui un peuple fier de 10 millions d’âmes, gémissaient sous la botte du communisme dès la fin de la 2e guerre mondiale. Ils avaient plus que les médias de masse tordus qui pesaient sur eux : ils souffraient du joug du tyran Stalin et de ses successeurs. En bref, la Hongrie était victime de l’athéisme total, imposé à tous les niveaux, spécialement en politique.

En 1989, l’URSS s’effondra et la Hongrie se trouva libre. Par contre, ce pays risquait de tomber dans un mal plus grand, celui de se vouer à l’argent et au confort, comme le font tant de pays occidentaux.

C’est pourquoi en 2010 le peuple hongrois s’est doté d’un chef, Viktor Orban, et d’une Loi fondamentale (une constitution), pour le protéger des dérives. Les Hongrois ne voulaient être ni communistes, ni libéraux (c’est à dire indifférents au bien et à Dieu), mais chrétiens !

Lisons une petite partie de cette « Loi fondamentale », et voyons si nous, Québécois et Canadiens, pouvons en tirer quelque chose.

Loi fondamentale de la Hongrie le 25 avril 2011 :
Bénis les Hongrois, ô Seigneur!
PROFESSION DE FOI NATIONALE
NOUS, MEMBRES DE LA NATION HONGROISE, à l’aube de ce nouveau millénaire, déclarons avec responsabilité pour tous les Hongrois ce qui suit : nous sommes fiers que notre roi Saint Étienne ait placé l’État hongrois sur des fondations solides en faisant entrer notre patrie dans l’Europe chrétienne. Nous sommes fiers de nos ancêtres qui se sont battus pour la survie, la liberté et la souveraineté de notre nation. Nous sommes fiers des remarquables créations intellectuelles des Hongrois. Nous sommes fiers que notre peuple se soit battu pendant des siècles pour défendre l’Europe, contribuant aux valeurs communes de celle-ci par son talent et son assiduité. Nous reconnaissons la vertu unificatrice de la chrétienté pour notre nation. (…)
La dignité humaine est inviolable. Toute personne a droit à la vie et à la dignité humaine ; la vie du foetus doit être protégée dès sa conception.

Voilà une Constitution digne de ce nom; voilà un peuple engagé sur la bonne voie !

Depuis 2010, fidèle à sa Loi fondamentale, la Hongrie a valorisé son patrimoine chrétien, implanté des politiques familiales et a fermé ses frontières à des migrations abusives, et voilà le résultat : 

  • La quantité d’avortements a diminué de plus d’un tiers de ce qu’ils étaient en 2010 (40 449 à 28 500).
  • Le nombre de divorces est nettement réduit (23 873 en 2010 à 18 600 en 2017) et…
  • Le nombre de mariages a augmenté (35 520 en 2010 et 50 600 en 2017).

Encore une fois, nous voyons là un pays engagé sur la bonne voie !

La clé : une société ni libérale, ni athée, mais chrétienne

Quelle est la leçon à retenir ? Viktor Orban, premier ministre de la Hongrie, résume mieux que quiconque cette leçon, par les paroles suivantes qu’il a prononcées le 28 juillet 2018 : 

« Proclamons avec confiance que la démocratie chrétienne n’est pas libérale. [...] La démocratie libérale est favorable au multiculturalisme, tandis que la démocratie chrétienne donne la priorité à la culture chrétienne... »

Et il continua :

« Bien que nous puissions sembler être une minorité, nous sommes nombreux, en Europe, à avoir comme but commun de construire l’Europe une fois de plus sur les fondations solides du christianisme... La Hongrie suit cette voie depuis 2010. »

Au Québec et au Canada, nous pouvons sembler être une minorité de croyants, mais cette minorité agissante peut devenir un mouvement pour la reconstruction d’un Québec et d’un Canada sur les fondations solides du christianisme... 

... Et Campagne Québec-Vie se veut la bougie d’allumage pour lancer un tel mouvement. Mais nous avons besoin de votre appui.

Dans les semaines, les mois et les années à venir, ce sera notre message : Dieu doit régner à tous les niveaux, y compris la politique.

Vôtre pour la Vie,

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Georges Buscemi, Président

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« Ce n’est pas un homicide de faire une IVG ?! – Si, Madame » : les propos du Dr Bertrand de Rochambeau font polémique


Le Dr de Rochambeau, président du Syndicat national des gynécologues (Syngof).

Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV)

Valentine Oberti, chroniqueuse pour l’émission « Quotidien » de Yann Barthès sur TMC, doit être contente, quoiqu’elle s’en défende : son interview a fait polémique. Depuis le 11 septembre, date de parution de son entretien, raccourci au maximum pour n’en garder que les phrases choc, les déclarations publiques, du gouvernement comme du Syndicat national des gynécologues ou encore du Planning familial vont bon train. Encore une fois, on s’aperçoit à quel point les défenseurs de l’IVG ne veulent pas s’entendre dire qu’ils attentent à la vie – leur outrageuse « liberté » avant tout. La clause de conscience, pourtant (encore) inscrite dans la loi française, est le dernier reproche tangible, le dernier obstacle à l’érection sacrée, intangible de leur culture de mort : avec le Dr de Rochambeau, la journaliste a voulu la mettre en porte-à-faux avec la « vérité morale » de la loi qui nie l’homicide.

Le Dr Bertrand de Rochambeau dans le collimateur médiatique

Valentine Oberti voulait pointer la raréfaction des gynécologues pratiquant l’avortement, ce droit inaltérable qui trouve dans l’absence de praticiens un dommage palpable et très visiblement odieux… Elle avait dans le Dr Bertrand de Rochambeau le meilleur specimen possible. Président du Syndicat national des gynécologues (Syngof), il a cessé de pratiquer des IVG depuis de nombreuses années. Elle est allée lui demander pourquoi… et s’est choquée par la suite d’avoir reçu une réponse !

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Facebook, dans sa grandissante frénésie, censure une vidéoblogueuse pro-vie


Elizabeth Johnston.

Blog D'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de la photo : LifeSiteNews

Facebook, ainsi que les autres géants des médias sociaux, censurent directement ou indirectement de plus en plus les pro-vie.

Extrait d'un courriel de Elizabeth Johnston (The Activist Mommy) :

Facebook ne me laisse pas tranquille.

Ce n'est pas assez qu'ils m'aient démonétisée.

Il ne suffit pas qu'ils m'aient jetée dans la prison de Facebook non pas une fois, mais deux fois en deux semaines sous prétexte d'un vague «discours de haine», alors que je ne faisais que mention, en termes médicaux, du transgenrisme comme maladie mentale.

Maintenant que je suis sortie de prison (hi hi!), il semble que tout ce que je publie soit soumis à la censure.

J'ai reçu avis après avis que les choses que j'affiche ne sont tout simplement pas à la hauteur des normes de Facebook... et la plupart du temps, les avis n'ont aucun sens du tout.

Par exemple, j'ai reçu un avis m'informant qu'un de mes articles a été supprimé parce qu'il violait le droit sur la propriété intellectuelle... alors que je n'ai fait que partager l'article de quelqu'un d'autre !! Hein ???

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« La Hongrie ne cèdera pas au chantage » — Vidéo du discours chrétien et patriote de Viktor Orban devant le Parlement Européen


Viktor Orbán, premier Ministre de Hongrie.

Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)

Voici l’intégralité de l’excellent discours prononcé par Viktor Orban devant les députés européens ce 11 septembre 2018.

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L'agenda du Collège Maisonneuve prône la théorie du genre

Combinaison d'articles d'Eric Pilon (Le Peuple) n°1 et n°2 par Campagne Québec-Vie — Voici la ou les sources de ces articles : Agenda 2018-2019 de Maisonneuve n°1, n°2, n°3, n°4, n°5, n°6, n°7, n°8, n°9, n°10, n°11, n°12, n°13, n°14, n°15, n°16, n°17, n°18, n°19, n°20 et n°21, Facebook, ONU, Métro et La Presse / Voici les sources des photos : (Pascal Bergeron, Le Peuple, CC BY 4.0)

Collège de Maisonneuve : un agenda aux allures d'extrême gauche

Le Peuple a obtenu copie de l'agenda des étudiants du Collège de Maisonneuve. Son contenu est très édifiant...

L'agenda 2018-2019 du Collège de Maisonneuve nous en apprend beaucoup sur l'état d'esprit qui règne dans la boîte. À première vue, on a l'impression que le collège fait office de club-école pour l'UQAM tellement l'extrême gauche y a imprimé sa marque. Et en jetant un coup d'oeil sur la quatrième de couverture, notre pressentiment se confirme : on y voit l'image d'une femme voilée qui hurle dans un porte-voix. La symbolique n'échappe à personne.

L'agenda, appelé Guide de survie aux études collégiales, a été rédigé par la Société générale des étudiants et étudiantes du Collège de Maisonneuve (SOGÉÉCOM), laquelle se considère davantage comme un syndicat. C'est du moins ce que l'on comprend quand on lit que son mode d'action s'appuie sur le « syndicalisme de combat ». C'est peut-être pourquoi sur la couverture de l'agenda apparaît l'image d'une jeune femme le poing en l'air.

Le Guide de survie aborde de nombreux sujets pour lesquels se passionne l'extrême gauche. Entre autres, la question des genres. Ici, on explique aux étudiants que même si la société impose « des catégories de genre binaires étroites et mutuellement exclusives [masculin et féminin] », elles ne correspondent pas nécessairement à l'identité des individus. Vous l'aurez compris, le genre est une construction sociale. Bienvenue au vingt et unième siècle.

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