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Sacrifiés sur les autels du libre-choix

Par Solange Viau — Photo : SciePro/Adobe Stock

Les Mayas pratiquaient des sacrifices humains pour obtenir les faveurs de leurs dieux. Par exemple, d’après les découvertes les plus récentes, les Mayas offraient principalement en sacrifice des jeunes garçons âgés entre trois et six ans, souvent des jumeaux ou des enfants apparentés (frères, cousins). Le but de ces sacrifices était d’obtenir de bonnes récoltes, de la pluie ou des victoires de guerre (Comment les Mayas choisissaient-ils leurs victimes pour leurs sacrifices ? Tom Metcalfe, National Geographic, 14 juin 2024).

Aujourd’hui, les nouveaux dieux païens s’appellent : « Ma liberté », « Mes droits », « Mon confort ». Sur les autels du libre-choix, souvent dans nos hôpitaux, des médecins bardés de diplômes, sachant très bien qu’ils vont tuer un être humain en début de vie, suivent du regard l’échographie de leurs petites victimes nageant paisiblement dans le ventre de leurs mamans et acceptent de sacrifier ces enfants innocents et plein de vie afin de satisfaire la soif de ces nouveaux dieux.

La civilisation aztèque pratiquait aussi des sacrifices humains. C’est l’essor et l’expansion du christianisme qui a conduit ce peuple à arrêter de procéder à des sacrifices humains, des sacrifices souvent très cruels.

L’effritement de l’influence du christianisme sur la conscience de nos concitoyens a conduit notre société à ne donner aucun droit aux enfants à naître, comme s’il s’agissait d’objets sans aucune valeur. La société canadienne est la plus décadente de toutes les sociétés occidentales, car dans tous les autres pays, le droit à l’avortement est limité (à l’exception de quelques États américains). Au Québec, on facilite l’avortement jusqu’à 40 semaines plutôt que de le restreindre et de permettre à des parents d’adopter ces enfants non désirés. Les animaux ont été reconnus comme étant dotés de sensibilité et ils ont maintenant des protections légales. Les humains en début de vie, dans le ventre de leurs mamans, ne mériteraient-ils pas eux aussi la même protection ?

Solange Viau
Montréal

15 décembre 2024

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Lettre ouverte à monsieur le Premier ministre Legault

Par une grand-mère — Photo : Pixabay

C’est bientôt Noël, monsieur le Premier ministre Legault.

Nous, Québécois, nous apprêtons à fêter la naissance du Christ Jésus, le Sauveur du monde, l’Emmanuel, « Dieu avec nous »… et c’est en cette période de l’Avent que avez l’idée saugrenue de dire que vous allez concocter une loi pour nous empêcher de prier en public ?

Non, monsieur Legault, mauvaise idée. Si vous craignez que des coutumes religieuses étrangères s’installent dans l’espace public du Québec — qui se souvient, n’est-ce pas, de ses racines chrétiennes catholiques —, ce n’est pas le vide qu’il faut faire, car la religion, comme la nature, a horreur du vide. Ce qu’il faut, c’est remplir l’espace public de chants religieux de Noël, de grandes et belles crèches. C’est permettre aux grand-mères de prier leur chapelet au parc en gardant leurs petits-enfants, à la marche du pardon de se déployer dans les villes le Vendredi-Saint, aux processions de la Fête-Dieu de parcourir les rues autour des églises en chantant de beaux cantiques et s’arrêter au reposoir installé dans le parc voisin. C’est laisser les jeunes organiser des pèlerinages à pied, avec chants, statues et bannières, vers les sanctuaires du Québec. C’est permettre aux pro-vie de prier dans la rue pour sauver les femmes et les enfants de l’horreur de l’avortement — et sauver en même temps notre peuple menacé de disparaître faute de naissances. C’est entretenir les croix de chemin, les grottes de la Vierge qui parsèment nos paysages et permettre aux gens de votre peuple de s’y rassembler pour prier le chapelet dans les temps difficiles, comme cela a été fait pendant le COVID. C’est ne plus jamais fermer les églises. C’est remettre en place le crucifix de l’Assemblée nationale, les crucifix dans les écoles, dans les hôpitaux. Nous n’oublions rien. Je me souviens.

Ah, monsieur Legault, vous avez beaucoup de pain sur la planche, comme vous voyez. Nous allons prier pour vous en ce temps d’attente du Sauveur, et aussi devant la crèche au jour anniversaire de Sa naissance. Joyeux Noël, monsieur Legault ! Nous ne vous oublierons pas.

Une grand-mère qui aime dire son chapelet au parc en gardant ses petits — enfants

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Le Premier ministre du Québec, François Legault, envisage d’interdire la prière publique dans la province


Manifestants pro-Palestine faisant des prières musulmanes sur la Place d'Armes, près de la Basilique Notre-Dame. C'est sans doute à l'un de ces événement de cette nature que François Legault fait allusion.

Par Anthony Murdoch, — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rebel News/X

11 décembre 2024 (LifeSiteNews) — Le premier ministre du Québec, François Legault, a chargé les membres de son cabinet de mettre en place une loi qui interdirait toute prière en public dans la seule province historiquement et culturellement catholique du Canada.

« Voir des gens prier dans les rues, dans les parcs publics, ce n'est pas quelque chose que nous voulons au Québec », a déclaré M. Legault la semaine dernière, vendredi après-midi.

Bien que M. Legault ait dirigé l'interdiction contre « les enseignants qui mettent en œuvre des concepts religieux islamistes dans les écoles », la réalité est que l'interdiction s'appliquerait à toutes les religions, y compris le catholicisme, qui est la religion fondatrice de la province.

Il a été cité par La Presse qui a récemment déclaré : « Nous avons vu des enseignants mettre en œuvre des concepts religieux islamistes dans les écoles ».

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Des personnes âgées canadiennes affirment qu’on leur a proposé l’euthanasie alors qu’elles font face à l’augmentation du coût des soins palliatifs requis

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

11 décembre 2024 (LifeSiteNews) — Un couple canadien âgé a déclaré qu’un centre de soins palliatifs a présenté l’euthanasie à l’un d’entre eux comme une option alors qu’ils faisaient face à une augmentation du coût des soins qu’ils ne pouvaient pas se permettre avec leur revenu fixe.

Fred Sandeski, 71 ans, originaire du Saskatchewan, qui souffre d’une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) ainsi que d’une multitude d’autres affections telles que le diabète et l’épilepsie, et sa femme Teresa, dont la santé est également défaillante, affirment que la mort via le programme canadien d’aide médicale à mourir (AMM) leur a été suggérée lorsqu’ils ont réalisé qu’ils ne seraient pas en mesure de couvrir les coûts associés à l’augmentation des soins dans un centre de soins palliatifs.

Selon Epoch Times, lorsque Fred a commencé à recevoir des soins palliatifs, « ils nous ont simplement énuméré les options disponibles pour nous », et l’assistance médicale à mourir a été présentée comme « une option ».

Heureusement, Sandeski a refusé l’AMM en déclarant : « Je crois vraiment, vraiment que le Seigneur m’a mis sur cette terre pour une raison, et qu’il ne me laissera pas partir tant que je n’aurai pas terminé ».

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Projet de loi en Californie visant à protéger l’industrie de l’avortement des effets secondaires de la pilule abortive

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : andrei77/Adobe Stock

9 décembre 2024, Sacramento, Californie (LifeSiteNews) — Les démocrates californiens proposent deux nouveaux projets de loi visant à rendre l’État le plus à gauche d’Amérique encore plus favorable à l’avortement en immunisant les fabricants et les distributeurs de pilules abortives contre les retombées de leur utilisation et en habilitant l’État à pénaliser les localités qui tentent d’empêcher l’industrie de l’avortement de s’implanter.

Live Action rapporte que le premier projet de loi « protégerait les fabricants, les distributeurs, les prestataires de soins de santé autorisés et les particuliers de toute responsabilité civile, pénale ou professionnelle lors du transport, de la distribution ou de l’administration » de mifépristone ou de misoprostol ; et le deuxième projet de loi habiliterait le procureur général de Californie Rob Bonta à imposer des amendes aux villes qui bloquent la construction de nouveaux établissements pratiquant l’avortement.

« Je tiens à le dire sans équivoque : la Californie restera un havre sûr pour les droits génésiques et l’accès à l’avortement, quel que soit le candidat à la Maison-Blanche », a déclaré Bonta, qui soutient les deux projets de loi. « Nous nous sommes préparés pour ce moment, et la législation d’aujourd’hui confirme notre engagement à protéger ceux qui cherchent des soins de santé reproductive, y compris l’accès à l’avortement médicamenteux ».

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Un média canadien financé par le gouvernement affirme que les transgenres n’ont aucun avantage sur les femmes dans le domaine du sport

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Nomad Soul/Adobe Stock

10 décembre 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Un média canadien financé par le gouvernement prétend qu’affirmer que les hommes ont un avantage dans les sports lorsqu’ils concourent contre des femmes est un « mythe ».

Dans un article du 2 décembre, The Conversation, un média pro-LGBT qui reçoit des fonds fédéraux du gouvernement Trudeau, a dénoncé la loi Fairness and Safety in Sport Act (FASISA) de l’Alberta — qui vise à garder hors des sports féminins les hommes confus en matière de genre — alléguant que les hommes n’ont pas d’avantage physique sur les femmes.

« Ces législations, comme le projet de loi 29, sont basées sur un mythe répandu selon lequel les femmes transgenres ont un avantage biologique inhérent qui menace l’intégrité et l’équité des compétitions athlétiques féminines », affirme l’article. « Ce mythe n’est pas fondé sur des preuves scientifiques et socioculturelles complètes ».

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La Vierge Marie peut aider l’humanité à ouvrir les yeux sur le mal que représente le sacrifice des enfants par avortement


Notre-Dame de Guadalupe.

Par Diego G. Passadore — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons

11 décembre 2024 (LifeSiteNews) — J’ai été interrogé lors d’une entrevue par une survivante d’un avortement provoqué raté qui a pardonné à sa mère, et il est donc devenu impératif pour moi de partager quelques réflexions sur la pratique courante de l’avortement provoqué aujourd’hui.

Quelles que soient les méthodes contraceptives « avancées » utilisées, une femme peut toujours devenir enceinte. Et bien souvent, la solution au problème — que beaucoup appellent un « droit » — est l’avortement provoqué. Il s’agit d’une pratique légale dans de nombreux pays ; un pays, déjà, a fait de l’avortement provoqué le fondement de sa patrie en l’inscrivant dans la constitution, et il existe même un soutien gouvernemental pour le mettre en œuvre.

Pour ne rien arranger, les personnes qui prient silencieusement devant un établissement pratiquant l’avortement se retrouvent parfois en prison. L’avortement provoqué signale l’émergence d’une société qui, en encourageant la culture de la mort et en étant plus disposée à tuer qu’à aimer, s’est égarée et avance vers sa destruction finale éventuelle.

Puisque certains hommes et femmes qui se disent chrétiens sont en faveur de l’avortement provoqué, je vais essayer de répondre à la question : l’avortement provoqué est-il un acte d’amour du chrétien pour son prochain ou un acte d’iniquité et de malice ?

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Un maire canadien voit son compte bancaire saisi après avoir tenu tête aux militants LGBT


Harold McQuaker, maire d'Emo.

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook

10 décembre 2024 (LifeSiteNews) — Les militants LGBT n'ont pas l'habitude que les politiciens refusent de faire ce qu’ils disent. C’est pourquoi le maire Harold McQuaker d’Emo, en Ontario — 1 200 habitants — est devenu la cible de leur colère.

Comme je l’ai indiqué précédemment, le conseil municipal d’Emo a voté en 2020 contre la publication d’une « proclamation de la fierté » et le déploiement du drapeau LGBT. L’hôtel de ville n’a même pas de mât. En réaction, Borderland Pride a poursuivi la ville en justice et, le mois dernier, la Commission ontarienne des droits de la personne a ordonné à la municipalité de verser 10 000 dollars à l’association LGBT, tandis que M. McQuaker a été condamné à verser personnellement 5 000 dollars et à suivre un cours de rééducation intitulé « Droits de la personne 101 ».

Le conseil municipal doit encore se prononcer sur le paiement de l’amende ou sur l’appel, mais M. McQuaker a déclaré au Toronto Sun qu’il ne se laisserait pas « extorquer » et qu’il ne paierait donc pas l’amende, ne participerait pas aux cours de rééducation et ne sanctionnerait pas l’« heure du conte des drag-queens » à la bibliothèque locale — l’un des événements réclamés par Borderland Pride.

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Une catholique d’Irlande du Nord est condamnée pour avoir prié devant un avortoir

Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Oregon Department of Transportation/Flickr/Wikimedia Commons

4 décembre 2024, Coleraine, Irlande du Nord (LifeSiteNews) — Une femme catholique d’Irlande du Nord a été condamnée pour avoir prié devant une usine d’avortement, dans une « zone tampon ».

Claire Brennan a été condamnée à une amende de 750 £ (1 355 $ CAN, 956 $ US) le lundi 2 décembre par le tribunal de Coleraine pour avoir prié et tenu une pancarte pro-vie à l’intérieur d’une soi-disant « zone tampon » à l’extérieur de l’hôpital Causeway à Coleraine le 3 octobre 2023.

La vidéo de l’arrestation de Brennan et de son associé David Hall en octobre 2023 a été publiée sur la chaîne YouTube du groupe de défense juridique Christian Concern.

Selon un article du journal News Letter, basé à Belfast, Mme Brennan avait plaidé non coupable, affirmant que ses actions étaient protégées par le droit à la liberté de religion en vertu de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH).

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« Un vrai berger » : Mgr Fred Henry, évêque émérite de Calgary, décède à 81 ans


Mgr Fred Henry.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Calgary Herald/YouTube

10 décembre 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — L’évêque émérite de Calgary, Mgr Fred Henry, un fidèle défenseur de la foi catholique, est décédé à l’âge de 81 ans.

Le 3 décembre, le diocèse de Calgary a annoncé que Mgr Fred Henry, le septième évêque du diocèse de Calgary, est décédé à midi à l’hôpital général de Rockyview.

« Nous confions Mgr Henry au Cœur miséricordieux de Jésus et au Cœur immaculé de Marie et implorons le clergé et les fidèles de notre diocèse de prier pour le repos de son âme », a écrit le diocèse.

Au cours de sa vie, Mgr Henry a travaillé sans relâche pour défendre ses fidèles contre les attaques visant leur foi catholique, notamment en défendant la véritable définition du mariage, en condamnant les vaccins contre le papillomavirus et en défendant le mouvement pro-vie au Canada.

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