Il me fait un plaisir de vous inviter à la réunion organisatrice des "40 jours pour la vie" ce jeudi, 19 janvier, 2012, à 18h00.
L'agenda pour la soirée sera comme suit:
- Prière d’ouverture
- Partage - vision de la campagne, printemps 2012;
- Invitation aux participants de considérer, dans un esprit de recueillement, de combler un des postes suivants:
- Coordonnateur des prières;
- Coordonnateur de la vigile;
- Coordonnateur de la campagne communautaire;
- Coordonnateur des communications;
- Coordonnateur des évènements.
- Promesse de mon engagement personnel
- Demande d'engagement - horaire
- Établir les rôles
- Établir les objectifs de la campagne
- Définir les trois éléments de la campagne
- Prière de fermeture et dédicace au Seigneur.
Aussi, nous établirons un premier horaire de la vigile qui débutera en six semaines, le 22 février, et se terminera le 1 avril.
La réunion aura lieu à l'arrière de l'église Saint-Émile - au 3330, rue Rivier (angle Sherbrooke Est et Davidson). J'espère vous voir en grand nombre!
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Le site Yahoo rapporte ces deux belles histoires de familles nombreuses. D'abord celle d'un couple attendant leur 20e enfant:
"Peu importe l’image que l’on se fait d’une famille nombreuse, la famille de Michelle Duggar, 45 ans, et de son mari Jim Bob, 46 ans, semble dépasser toute mesure. En effet, l’heureux couple a 19 enfants... et a annoncé dernièrement qu’il attendait son vingtième ! Pour l’occasion, il a été invité, ainsi que tous les autres enfants, sur le plateau du «Today Show», célèbre émission de la chaîne de télévision NBC. C’est à cette occasion que le couple a annoncé la prochaine naissance, prévue en avril.
La famille vit à Little Rock dans l’Arkansas et est entourée de tout un appareillage médiatique et commercial. En effet, elle a son propre site internet qui a bien évidemment immédiatement été mis à jour lorsque les époux ont appris cette nouvelle grossesse. Sur le site, on peut acheter des DVD consacrés à la famille, consulter le blog de Michelle, parcourir les albums photos de la famille ou encore lire les conseils de Jim Bob aux autres pères. Une série télévisée, diffusée sur la chaîne TLC et intitulée «19 kids and counting» (19 enfants et ce n’est pas fini) est également consacrée à la famille. Elle permet de découvrir sa vie de tous les jours."
Malheureusement, le petit 20e est décédé avant sa naissance. Ce que nous rapporte le site LifeSiteNews ici.
Et cette autre histoire traite de ses grands-parents qui ont de la difficulté à se souvenir du prénom de leurs 100 petits-enfants:
"GRANDE PRAIRIE, Alta. - Alors que cette période de l'année permet de célébrer la famille, deux grands-parents de l'Alberta ont davantage de raisons de célébrer que d'autres.
Viktor et Aneta Urich de Grande Prairie ont accueilli la naissance de leur 100e petit-enfant plus tôt ce mois-ci; il s'agit d'Henry Urich, neuvième enfant de Tatjana et d'Henrich Urich. Henrich est l'un des 16 enfants de Viktor et Aneta.
Comment fait-il pour tous les départager?
Viktor, âgé de 62 ans, répond en riant qu'il lui arrive de demander les prénoms des enfants et petits-enfants.
Viktor et Aneta sont originaires du Kazakstan, et ont vécu au Canada au cours des 17 dernières années. Tous ses petits-enfants sont nés au Canada et il admet que les noms russes sont plus faciles à retenir que les noms anglais.
Personne ne fait cas, cependant, lorsque grand-père se trompe dans les noms.
Le Livre Guinness des records ne maintient pas un titre pour le plus grand nombre de petits-enfants sur son site Internet. Des reportages diffusés plus tôt cette année faisaient état d'une femme des Philippines ayant eu 107 petits-enfants et 138 arrière petits-enfants.
La majeure partie de la famille Urich vit à proximité. Mais un clan de cette taille a de la difficulté à trouver un endroit pour se réunir, précise Viktor.
La plupart du temps, ils se rencontrent à l'extérieur dans un parc ou dans l'église orthodoxe russe locale. C'est là qu'ils se reverront tous en janvier, pour la première réunion avec le 100e petit-enfant.
«Nous allons faire la fête dans l'église, tous ensemble, a dit Viktor. Nous prierons ensemble, un grand merci à Dieu.»
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Avant que les médias internationaux ne déforment l'information sur cette affaire, comme ils l'ont fait pour la fillette brésilienne de Recife, nous vous transmettons les faits connus jusqu'à présent. On retrouve l'histoire de ce cas sur le site de Jeanne Smits :
"Cette fois il s'agit d'une fillette de onze ans et dix mois, originaire d'une famille très simple de General Campos en la province d'Entre Rios, Argentine. Les premières dépêches annonçant que sa famille demandait l'avortement pour la jeune fille dont la grossesse a été découverte la semaine dernière expliquaient qu'elle était tombée enceinte à la suite de relations sexuelles avec un autre jeune, un mineur de 17 ans.
Au fil des articles le jeune est devenu un violeur et le rapport un abus sexuel – de toute façon le consentement à l'acte sexuel est juridiquement impossible avant l'âge de 13 ans en Argentine – et cela est nécessaire du point de vue des pro-mort pour « justifier » l'avortement. Le code pénal argentin interdit l'avortement de manière générale mais le dépénalise en cas de viol sur personne vulnérable ou danger pour la vie de la mère…
C'est la représentante légale de la famille, Maria Susana Benitez, qui réclame en justice le droit de faire pratiquer l'avortement sur la fillette enceinte de 12 semaines et demi, tandis que la représentante du Consortium pour les droits sexuels et reproductifs, Silvia Prima, rue dans les brancards en disant qu'il ne faudrait même pas passer devant la justice puisque les conditions de la dépénalisation sont réunies et ouvrent automatiquement le droit à l'avortement (c'est l'un des chevaux de bataille des partisans de l'assouplissement de la loi en Argentine).
C'est le point de vue repris par les médias argentins qui prennent clairement parti en disant que dans des cas comme celui-ci le feu vert de la justice est inutile et que loin d'avoir à attendre la permission de pratiquer l'avortement, les médecins en ont carrément l'obligation puisqu'il n'est pas punissable.
Cependant – chose intéressante à noter alors que l'avortement est si volontiers présenté comme la solution aux problèmes de santé des femmes – l'ensemble de l'équipe médicale concernée de l'hôpital où la fillette se trouve actuellement, a déclaré qu'il n'y a aucune raison thérapeutique de pratiquer l'avortement sur la jeune fille. Aucun « risque obstétrique » ne justifie l'« avortement thérapeutique », ont souligné les médecins, alors qu'au contraire le stade de la grossesse qui va entrer dans son deuxième trimestre rend l'avortement plus dangereux. Viol ou pas. La grossesse, elle, se déroule normalement."
Maintenant voyons si nos médias vont trouver matière à scandale pour la promotion de l'avortement...
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Nous avons révélé sur ce site que des avortements étaient effectués au dernier trimestre de la grossesse à l'hôpital Ste-Justine. En France, il existe une loi restreignant l'avortement aux premiers mois de la grossesse. Mais cette loi ne s'applique pas aux enfants trisomiques qui peuvent être éliminés jusqu'à la veille de leur naissance.
Le site Magicmaman.com nous révèle cette triste nouvelle.
"Si le caryotype montre une trisomie 21, le couple a le choix entre poursuivre la grossesse, ou bien y mettre fin avec une interruption médicale de grossesse. En France, l’IMG est possible jusqu’au terme de la grossesse si la vie de la femme enceinte est en danger, ou si le fœtus présente une affection d’une particulière gravité - la trisomie 21 en faisant partie."
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Le site du Salon Beige résume ainsi cette nouvelle:
"Le Conseil international de MSF a donné son « feu vert » pour inclure l’avortement parmi les « soins de santé spécialisés dans la reproduction ». Toutes les délégations de MSF doivent envisager l’avortement pour chaque projet, quelles que soient les raisons de chaque demande. Y compris si cela doit aller contre la loi du pays où l'avortement sera pratiqué."
Il faudra écrire le "sans" de "Médecin sans frontières" avec un "g". Le sang des enfants à naître qu'ils auront tués, partout à travers le monde.
Un autre organisme à éviter pour donner plutôt à de véritables organismes d'aides et de soins aux pauvres du monde entier.
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Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Jérôme Lejeune, nous livre une magnifique réflexion s'appliquant parfaitement au Québec:
"Plus personne ne pense que la grave crise financière traversée par nos sociétés relève de la technique. Chacun sait qu’il s’agit d’une profonde crise morale. Nous avons consenti à ne pas vivre dans la vérité. On a fait comme s’il était normal de payer à crédit et de voler nos descendants. Comme si cela ne devait jamais se savoir. Depuis plus de trente ans, chaque budget de l’Etat français a été voté en déficit et accompagné de son lot de mensonges. Et voilà qu’un jour la réalité explose. Les finances sont exsangues, les politiques bégayent et la défiance s’est installée. Alors, ne sachant plus à quel saint se vouer, les gouvernants lancent une incantation : il faut inscrire une « règle d’or » dans la Constitution française ! Que dit cette « règle d’or » ? On ne peut pas dépenser plus que ce qu’on gagne. La Cigale et la Fourmi, en somme… Voir l’arrogance technocratique à genoux devant Monsieur de La Fontaine est moins une satisfaction tardive qu’une démonstration subtile. Quand nos petits arrangements avec la vérité font faillite, le réflexe le plus spontané est de s’en remettre à la supériorité d’une norme invariable qui s’appelle la morale. Car il n’existe pas de solution technique à la folie des hommes.
Quitte à revenir aux fondamentaux, nous pourrions aussi inscrire une autre « règle d’or » dans la Constitution, celle du respect absolu de la vie humaine. Car dans ce domaine non plus nous ne vivons pas en vérité. Et les conséquences sont autrement plus graves. Ici le mensonge tue. Depuis plus de trente ans, nous exerçons des libertés trompeuses et des droits qui n’en sont pas. Le mal est devenu le bien, l’exception la règle, la dérogation le principe. L’avorteur court à l’Académie et le défenseur à l’infamie. Un tissu de complicités nous exhorte au mutisme : parler serait violent ! Mais où est la violence, dans le mot ou dans la chose ? Tous les embryons ou fœtus anormaux sont traqués, près d’une femme sur deux avorte au moins une fois dans sa vie, les manuels scolaires banalisent une sexualité polymorphe sous pavillon de complaisance scientifique, les principaux partis s’engagent à rouvrir le débat sur l’euthanasie… Le « trans-humanisme » n’a jamais suscité autant de littérature. Visant à produire un homme « augmenté », fruit du désir, de la technique et de l’argent, cette idéologie nous prépare à supprimer l’homme « diminué » par sa petitesse, sa maladie ou son grand âge. Là aussi, en bioéthique comme en matière financière, la démocratie qui ne s’en réfère pas à une « règle d’or » peut être dangereuse.
Pour appeler de nos vœux la « règle d’or du respect absolu de la vie humaine », dans l’année qui vient, nous ne serons pas ces « chiens muets, incapables d’aboyer » que dénonçait le prophète Isaïe. Car nous n’avons qu’une seule crainte, celle de blesser l’Innocence"
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Le Journal Métro du 17 janvier 2012 se réjouit de
ce problème : le choix des femmes de ne pas avoir d'enfants. Bien sûr, la vocation de célibataire est bel et bien existante, mais ce n'est pas un choix vocationnel qui est ici présenté. Il suffit de voir le questionnaire pour déterminer si l'on veut des enfants pour constater combien l'ignorance et la peur sont les raisons de ce choix.
L'arrivée d'un enfant change une vie et développe les ressources et capacités de dévouement et d'amour inconnues chez la personne auparavant. Le soutien des proches et amis permet cette transition et les sourires de bébé changent le coeur.
En fait, si l'on regarde le questionnaire évoqué pour déterminer si l'on veut ou pas des enfants, très peu de gens répondront positivement. Cela rappelle l'expérience faite dans certaines écoles pour dissuader les jeunes filles de devenir mères. Toute la journée, elles devaient se promener avec une poupée du poids de l'enfant, la « nourrir » à certaines heures et ainsi de suite. Ne faire prendre conscience que des tâches sans les nombreuses joies qui l'accompagnent est de la malhonnêteté intellectuelle. Souhaitons que le moins de femmes possible tombent dans ce piège qui leur laissera pour la plupart, un goût très amer pour leur vieillesse...
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La Hongrie s'est donnée une constitution défendant la vie de l'enfant à naître et de toute personne, de sa conception à sa mort naturelle. Elle défend également l'identité chrétienne de la Hongrie, avec pour résultat de faire grincer des dents aux institutions internationales "démocratiques", ainsi qu'à l'Union Européenne et aux États-Unis...
Les évêques de Hongrie se sont prononcés pour défendre cette nouvelle et magnifique constitution. Radio-Vatican nous donne cette intéressante nouvelle:
"Interrogé sur notre antenne, Mgr János Székely, évêque auxiliaire de Budapest, souligne que le gouvernement actuel de Viktor Orbàn défend des valeurs que l’Eglise considère comme essentielles. La nouvelle Constitution fait ainsi référence à Dieu, au christianisme et à la famille traditionnelle. Le texte défend la protection de la vie humaine dès sa conception ainsi que le mariage, considéré comme l’union de base la plus naturelle entre un homme et une femme et fondement de la famille. Il est clair – commente-t-il – que cela ne peut pas plaire aux intellectuels européens. D’autre part, le monde de la finance n’apprécie pas l’impôt supplémentaire imposé aux banques. Tels sont, selon Mgr János Székely, les vrais motifs, inavoués, des attaques lancées contre Viktor Orbàn. Le prélat approuve également la décision de réduire le nombre d’églises bénéficiant de subventions publiques. Il fallait mettre fin à la prolifération d’églises fictives créées de toutes pièces pour profiter des nombreux avantages prévus par la loi hongroise."
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Le diocèse de Belley-Ars soutient une manifestation pour la Vie. Cela fait rêver! Imaginer que dans tous les diocèses, il y ait un tel appui, un tel mouvement d'Église pour les plus pauvres! Quelle Joie et quel message pourrions transmettre à nos dirigeants québécois dont pas un seul n'ose se prononcer pour les droits de l'enfant à naître! Voici le texte que l'on trouve sur le site du diocèse de Belley-Ars:
Devant le drame de l’avortement et l’isolement de plus en plus de femmes enceintes, nous n’avons plus le droit de nous taire, mais notre action ne portera du fruit que si elle est vécue dans la dignité et dans l’unité.
C’est dans la mesure où nous marcherons dans un esprit de témoignage gratuit de respect envers toute vie humaine que notre démarche sera réellement féconde. Par l’engagement de chaque marcheur, elle peut aider à renouveler ainsi toutes initiatives pour la vie (caritatives, sociales, politiques). Par la dignité, le sérieux et l’unité, elle est un témoignage et une dynamique qui peut toucher les personnes de bonne volonté pour bâtir concrètement une société juste et ouverte à la vie.
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Via le site du Salon Beige, ou directement en cliquant ici, vous pouvez accéder à cette excellente nouvelle: le Pape appuie les manifestations pour la Vie!
"Ce message, émanant directement du Nonce apostolique, à la demande de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège, précise que « tout le monde sait le prix que l’Église catholique attache à la vie humaine et l’estime qu’elle nourrit pour ceux qui prennent sa défense par des moyens légitimes, comme le Saint-Père l’a affirmé dans le message qu’il a fait transmettre à l’occasion de la Marche pour la vie du 23 janvier dernier ».
« Ce que le Pape a dit alors vaut aussi pour les autres actions de ce genre, quels que soient les organisateurs, sans multiplier les messages pontificaux ou même les rencontres avec des personnalités du Saint-Siège ou des Représentants pontificaux. La doctrine de l’Eglise et les paroles du Saint-Père à ce propos sont claires et souvent réitérées. C’est avec les évêques diocésains qu’il convient d’entretenir un dialogue et une collaboration à ce sujet. »
Campagne Québec-Vie est favorable à ce dialogue pour être plus efficace dans sa lutte pour la défense de l'enfant à naître.
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