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Une mère se voit interdire l'entrée de l'école de son fils après qu'elle se soit opposée à un événement « gai »

Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Flickr

Londres, Angleterre, 21 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Une mère chrétienne a dû affronter la direction de l'école primaire de son enfant au sujet du traitement qu'elle et son fils ont reçu après qu'elle se soit opposée aux célébrations obligatoires de l'école de la « Journée de la fierté ».

Ce traitement qui consistait en l'interdiction d'entrer dans l'école de son enfant de cinq ans, alors qu'elle désirait discuter du fait que son enfant ait été placé en retenue pour une durée totale de quatre heures après que les objections de sa mère sur l'événement LGBT eussent été connues.

Izoduwa Adhedo faisait partie d'un groupe de parents qui se sont plaints que leurs enfants, élèves de la Heavers Farm Primary School dans le sud-est de Londres, étaient contraints de participer à l'événement, du 29 juin 2018, « Proud to be Me » « Fier d'être Moi ».

Selon une déclaration publiée par le Christian Legal Centre (CLC) du Royaume-Uni, certains de ces parents, dont Mme Adhedo, affirment avoir été traités « avec dédain » et « victimes » après leurs objections.

Robert Kiska, de CLC, a déclaré à LifeSiteNews que lorsque Mme Adhedo a rencontré Susan Papas, principal ou « professeur principal » de l'école, le 19 septembre pour discuter de ses préoccupations, elle a été confrontée à une enseignante — la fille de la directrice —qui portait un chandail à manches courtes pro-LGBT agressif.

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Pour les experts, Vincent Lambert n’est pas en situation d’obstination déraisonnable

Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info)

Les experts nommés par le Tribunal Administratif de Châlons-en-Champagne reconnaissent que Vincent Lambert n’est pas en situation d’obstination déraisonnable. Ce rapport est un tournant. Ils évoquent également la possibilité d’un transfert vers un établissement spécialisé.

« Les experts considèrent que la réponse aux besoins fondamentaux primaires (alimentation, hydratation, émonctoires, prévention cutanée, hygiène de base) ne relève pas pour certains patients en état végétatif avéré, tel que Vincent LAMBERT, de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable » (p. 24 du rapport)

Cela corrobore l’avis de nombreux médecins qui s’étaient exprimés dans un grand quotidien (L’appel de 70 médecins : il est manifeste que Vincent Lambert n’est pas en fin de vie). Vincent ne présente pas les caractéristiques d’une personne qui souffre et qui est en fin de vie.

(…)

« La condition médicale de Monsieur LAMBERT n’est pas unique, ne pose pas de difficultés de prise en charge dans notre pays, n’appelle aucune mesure d’urgence. Il existe en France des structures pouvant l’accueillir jusqu’à sa disparition si le maintien au CHU de Reims s’avérait impossible pour des raisons autres que relevant de la simple technique médicale » (p. 24)

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Une école du Texas abandonne la partie et permet aux élèves de prier ouvertement

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio

De tant à autre ça arrive qu'une école lâche le morceau et donne raison aux parents des élèves (pour de bonnes raisons s'entend). Extrait de LifeSiteNews :

Le christianisme n’est pas une maladie — mais une école du Texas était déterminée à le traiter comme tel. À l’école intermédiaire de Honey Grove, un groupe d’élèves a été « surpris » en train de prier à l’heure du dîner à la cafétéria — et mis en quarantaine.

« Vous ne recommencez pas ça », a déclaré le directeur Lee Frost, qui s’est approché du groupe et les a interrompus. Si les élèves voulaient continuer à prier, leur a-t-il dit le lendemain, ils feraient mieux de passer derrière une cloison, d’être seuls dehors ou de se cacher dans le gymnase. En d’autres termes, ils ne pouvaient pas être quelque part où n’importe qui pourrait les voir. Mais les enfants ne faisaient rien de mal - et leurs parents ont fait appel au First Liberty Institute pour le prouver.

Dans une lettre au district scolaire de Honey Grove, les avocats ont souligné que les élèves ne devraient être obligés de s’« exiler » pour prier les uns pour les autres [...]

La semaine dernière, Honey Grove a reçu le message. Keisha Russell, l’avocate de First Liberty, a expliqué dans le « Washington Watch » de vendredi que l’école avait « répondu immédiatement ». Bien qu’il y ait eu quelques inquiétudes quant à la perturbation causée* par la prière à la cafétéria, ils ont accepté de laisser Hannah et ses amies poursuivre leur tradition du dîner. Désormais, dit Keisha, ils ne seront plus « obligés de se cacher ou de s’isoler pour exercer leur foi ».


*Dérangement ? prier avant son repas est une chose tout à fait calme et qui ne pourrait être remarquer (surtout dans une école à l'heure du dîner) que par son calme, bref, c'est bien chrétien (quand ce sont des chrétiens qui prient). — CQV

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Le nouveau ministre des Affaires étrangères du Brésil contre l’idéologie mondialiste


Ernesto Enrique Fraga Araújo.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : GlobalTies2015/YouTube

Ernesto Enrique Fraga Araújo, tout nouvellement nommé ministre des Affaires étrangères du Brésil, est catholique, philosophe aristotélico-thomiste et a les idées en ordre. Il entrera dans sa fonction le 1er janvier 2019. J’ai mis ci-dessous le texte (dans la section « À propos ») qu’il a écrit pour se présenter et pour expliquer son objectif. Dommage que nous n'ayons pas un ministre comme celui-là! Extrait de Metapolίtica :

Je suis Ernesto Araújo.

J’ai 28 ans de service public et je suis aussi écrivain.

Je veux aider le Brésil et le monde à se libérer de l’idéologie mondialiste.

Le globalisme est une mondialisation économique pilotée par le marxisme culturel.

Il s’agit essentiellement d’un système anti-humain et anti-Chrétien.

Foi en Christ signifie aujourd’hui lutter contre le mondialisme, dont le but ultime est de rompre le lien entre Dieu et l’homme et qui a fait de l’homme un esclave et Dieu quelque chose sans importance.

Le projet métapolitique signifie essentiellement s’ouvrir à la présence de Dieu dans la politique et l’histoire.

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Le gouvernement Trudeau dilapidera 595 millions de dollars pour les médias… de gauche ?


Justin Trudeau, Premier ministre du Canada.

Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Le gouvernement Trudeau prévoie dépenser 595 millions de dollars provenant de nos poches dans un nouveau crédit d’impôt destiné aux « organismes d’information à but lucratif ou non lucratif pour les coûts de main-d’œuvre liés à la production de nouvelles et d’information qui intéressent les Canadiens », c’est vous dire s’il ne craint pas la dépense. En effet comme le rapporte Le Peuple :

L’idée était dans l’air et les rumeurs allaient bon train : à un an des élections, le gouvernement Trudeau vient de s’assurer un appui médiatique sans précédent avec une enveloppe de près de 600 millions destinée à sauver des eaux ses alliés naturels : les médias.

C’est le ministre des Finances Bill Morneau qui en a fait l’annonce mercredi durant sa mise à jour économique. D’entrée de jeu, Ottawa prévoit une hausse des dépenses de 5,5 milliards par année et aucun calendrier pour le retour à l’équilibre budgétaire, doit-on préciser.

Surtout, il compte « créer un nouveau crédit d’impôt remboursable à l’intention des organismes d’information à but lucratif ou non lucratif pour les coûts de main-d’œuvre liés à la production de nouvelles et d’information qui intéressent les Canadiens ». Un trop long charabia qui omet un point essentiel : les mesures d’aide aux riches médias coûteront, pour les cinq prochaines années, 595 millions de dollars aux contribuables canadiens et 165 millions par année dès 2023-2024.

L’ampleur du crédit d’impôt sera définie dans le prochain budget fédéral, lequel sera rétroactif au 1er janvier 2019. « Les Canadiens ont le droit de pouvoir consulter un vaste éventail de sources d’information indépendantes et de confiance, et le gouvernement à (sic) la responsabilité de s’assurer qu’ils ont accès à de telles sources d’information », est-il écrit dans la mise à jour économique.

Vous le saviez peut-être déjà, le gouvernement Trudeau a rajouté, début janvier, une attestation proavortement et pro-LGBT au processus d’admission aux subventions d’Emplois d’été Canada destiné aux employeurs qui embauchent des étudiants. Le gouvernement Trudeau fera-t-il de même avec le nouveau crédit d’impôt pour les médias ? Si tel était le cas, seuls les médias qui soit ne parlent pas d’avortement ou de LGBT, soit les encensent pourront avoir accès à ce formidable torrent d’argent. The Rebel Media rapporte par ailleurs :

M. Trudeau a annoncé qu’il a mis sur pied un fond de 595 millions de dollars pour les quelques journalistes du secteur privé qui restent au Canada — mais seulement s’il peut leur faire confiance.

Je n’invente rien. Voici comment le Globe and Mail l’a rapporté :

« Une question clé qui demeure sans réponse pour l’instant est de savoir quelles organisations seront admissibles aux nouvelles mesures et lesquelles seront exclues. Le gouvernement a dit que le plan visera à aider les médias de confiance... »

Permettez-moi de traduire cela en langage clair. Il y a une élection l’année prochaine. Et si vous êtes un journaliste qui veut participer à la caisse noire de Trudeau de 595 millions de dollars, il doit savoir qu’il peut vous faire confiance...

Or le gouvernement Trudeau est à fond pour l’avortement, pour la contraception, les LGBT, le multiculturalisme. Et du côté proavortement, par exemple, on prétend que les pro-vie répandent des « fausses nouvelles ».

En tout cas, ce ne sera certainement pas Campagne Québec-Vie qui aura droit à cet argent, car nous ne nous laisserons pas corrompre.

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« Elle veut vivre, » mais l’hôpital refusera de prendre en charge la jeune femme si elle a de nouveau une crise d’épilepsie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Voici un modèle de pensée euthanasique venant de la part de médecins : parce que la 7ᵉ crise d’épilepsie d’une jeune femme de 19 ans a résulté en une réanimation d’une durée trop longue à leur avis, qu’ils trouvent qu’elle « est dans une impasse thérapeutique » (?), et qu’ils considèrent que son handicap mental et moteur de celle-ci est trop avancé, eh bien ils refuseraient de la soigner si une nouvelle crise se présentait, la condamnant très probablement à mort. Extrait de France bleu :

L’hôpital […] invoque la loi Léonetti. Inacceptable pour les parents qui ont saisi la justice.

Une affaire sensible examinée ce mercredi devant le tribunal administratif de Caen, saisi en référé par ce couple domicilié à Fourneville (Calvados). Les parents de Léah, 19 ans, réclament le maintien des soins pour leur fille atteinte d’une maladie rare.

Léah est atteinte du syndrome de l’hémiplégie alternante de l’enfance, une maladie rare qui a retardé son développement moteur et mental. Cette pathologie provoque parfois des crises épileptiques nécessitant une prise en charge vitale au CHU de Caen. La jeune femme a connu sept hospitalisations ces cinq dernières années, avec à chaque fois prise de sédatifs sous assistance respiratoire.

La dernière crise remonte au 19 août. Elle a nécessité un séjour de deux mois au service réanimation. « Ce qui a incité l’équipe médicale à engager une réflexion éthique » a indiqué ce mercredi Martin Lavigne, l’avocat du CHU de Caen. « Parce que cette hospitalisation a été longue (NDLR Léah est toujours au CHU mais désormais au service neurologie) et l’équipe médicale estime que la jeune handicapée est dans une impasse thérapeutique. D’où cette réflexion avantages/risques à poursuivre les traitements ». Une réflexion qui est allée à son terme puisqu’une décision a été communiquée par mail à l’avocat des parents le 2 novembre : il n’y aura pas de réadmission de Léah au service réanimation en cas de nouvelle crise.

L’avocat des parents de la jeune fille dit que : « La raison avancée est le profond handicap mental et moteur de la patiente, » ce qui, selon avocat, ne devrait pas tomber sous le coup de la loi Lionetti

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Des centaines de bébés au Canada sont-ils nés vivants après des avortements ratés puis laissés à mourir ?

Mike Schouten (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

En août 2018, la blogueuse pro-vie Patricia Maloney a rapporté que l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) a enregistré 766 avortements tardifs qui ont résulté en des naissances vivantes sur une période de cinq ans.

En d’autres mots, les grossesses ont pris fin assez tard par le moyen de l’avortement pour que l’enfant survive pendant un certain temps en dehors de l’utérus, mais meurt peu après en l’absence de tentatives de soins médicaux pour lui sauver la vie. Ce n’est pas la première fois que de tels cas sont rapportés.

Comme le fait remarquer elle-même Maloney, il y a beaucoup de théories sur le pourquoi et le comment de ces décès. Les sources listées sur son blogue nous donnent des chiffres, mais elles ne nous disent pas comment et pourquoi ces enfants sont morts après un avortement raté, et pourquoi cela est encore considéré comme un avortement plutôt que comme une mort à la naissance ou même un meurtre.

Mais ignorer la question à cause des zones grises ne nous apportera jamais plus de clarté. Nous avons un système de signalement assez déplorable en ce qui concerne l’avortement. Les hôpitaux déclarent leurs données sur l’avortement, mais ils ne le font que pour environ le quart des quelque 100 000 avortements qui ont lieu chaque année au Canada. Les cliniques privées s’occupent des 75 % restants, mais elles ne sont pas tenues de déclarer leurs données sur rien allant de l’âge de la gestation au moment de l’avortement aux complications qui ont suivi.

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Le Premier ministre d’Ontario ignorera le vote de son parti sur l’idéologie transgenre

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : HiMY SYeD

Doug Ford révélerait-il son vrai visage, retournerait-il sa veste ? toujours est-il que ce qui l’avait fait élire était l’espoir des parents ontariens qu’il retirerait le cours d’éducation sexuelle qui contenait des éléments LGBT. Les règles du parti de M. Ford ne lui donne aucun pouvoir pour ignorer une résolution (interne) votée par les délégués, aussi s’expose-t-il à une poursuite judiciaire. Extrait de LifeSiteNews :

Le Premier ministre d’Ontario, Doug Ford, affirme que le matériel sur l’« identité du genre » ne sera pas retiré du programme d’éducation sexuelle de la province, même si son propre parti vient de voter en ce sens.

Lors de leur congrès à Toronto la fin de semaine dernière, les délégués du Parti progressiste-conservateur de l’Ontario ont adopté une résolution dépeignant la théorie de l’identité du genre comme une « idéologie très controversée, non scientifique et libérale ».

La résolution demandait au gouvernement du Parti conservateur d’Ontario de « retirer l’enseignement et la promotion de la “théorie de l’identité du genre” des écoles et du curriculum d’Ontario ».

Mais par après, lors d’une conférence de presse avec des journalistes, le Premier ministre d’Ontario a rejeté la résolution de son propre parti.

« C’est non contraignant. Ça venait de la base. Je n’irai pas de l’avant avec ça. Alors, c’est fait, » dévoila Ford.

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La Cour suprême américaine décidera-t-elle si les étudiants masculins prétendant être « filles » peuvent utiliser leurs douches ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Peut-être qu’enfin le gouvernement américain va mettre un terme à ces folies. Nous allons peut-être aussi enfin voir ce que vaut Brett Kavanaugh, récemment nommé à la Cour suprême. Extrait de LifeSiteNews :

La controverse sur le fait d’obliger les garçons et les filles à partager les toilettes dans les écoles publiques pourrait finalement être entendue par la Cour suprême des États-Unis, si celle-ci accède à une demande du cabinet pro-liberté religieuse Alliance Defending Freedom (ADF).

Il s’agit d’une plainte déposée par quatre élèves du secondaire (américain) de Boyertown, en Pennsylvanie, qui s’opposent à ce qu’on les oblige à partager les toilettes et les vestiaires avec des adolescents qui « s’identifient » comme étant du sexe opposé. Ils soutiennent que le district scolaire de la région de Boyertown viole leur droit à la vie privée au nom du transgenrisme.

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Le projet de loi C-75 qui va être voté demain à Ottawa risque de réduire les peines pour des crimes très graves

Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere

Le projet de loi C-75 parrainé par le ministre de la Justice, Jody Wilson-Raybould du Parti libéral, projette de muer plusieurs actes criminels en infractions mixtes, c’est-à-dire pouvant être considérés comme infractions punissables par procédure sommaire ou comme actes criminels. (Il est question d'exceptions, mais il est difficile de savoir lesquelles.)

Plusieurs de ces crimes sont très graves comme :

  • Possession d’explosifs sans excuse légitime
  • Fournir, rendre disponibles, etc. des biens ou services à des fins terroristes* [amendé]
  • Utiliser ou avoir en sa possession des biens à des fins terroristes*
  • Participation à une activité d’un groupe terroriste*
  • Quitter le Canada : participation à une activité d’un groupe terroriste*
  • Préconiser ou fomenter la perpétration d’infractions de terrorisme*
  • Cacher une personne qui s’est livrée à une activité terroriste ; Cacher une personne qui se livrera vraisemblablement à une activité terroriste*
  • Corruption d’enfants
  • Gêner ou arrêter un ministre du culte, ou lui faire violence
  • Tenue d’une maison de débauche
  • Punition de l’infanticide [il s’agit sans doute de la peine destinée à l’infanticide]
  • Négligence à se procurer de l’aide lors de la naissance d’un enfant ; Suppression de part
  • Avantage matériel — traite de personnes
  • Rétention ou destruction de documents — traite de personnes
  • Enlèvement d’une personne âgée de moins de 16 ans
  • Enlèvement d’une personne âgée de moins de 14 ans
  • Avantage matériel provenant de la prestation de services sexuels
  • Bigamie
  • Polygamie
  • Mariage forcé ; Mariage de personnes de moins de 16 ans

Il y en a bien d’autres crimes peu reluisants qui pourraient n’obtenir que 5000 $ d’amende et deux ans moins un jour de prison au maximum, d’après le site du Parlement du Canada.

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