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Une mère désespérée regarde son bébé mourir alors que le personnel de l’hôpital refuse de le sauver

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Emma Jones et Christopher Goodger tenant des photos de leurs fils Tyler et Riley.

Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Riley Goodger n’avait que 22 semaines et trois jours quand sa mère, Emma Jones, accoucha en décembre 2013. Son grand frère, Tyler, avait été mort-né en 2012. Il est donc facile de comprendre que c’est effrayée et le cœur brisé que sa mère allait accoucher prématurément.

Riley ne pesait que 480 grammes, mais il respirait indépendamment. Il avait d’assez bonnes chances de pouvoir survivre, mais d’après Wales Online, l’équipe médicale a refusé de le soigner parce que Riley est né huit jours avant la date limite de l’avortement. Jones a raconté à Wales Online :

Il ne pleurait pas, mais je voyais bien qu’il respirait – et son cœur battait à travers sa paroi thoracique. Mais bien qu’il vivait, aucun soin n’a pu lui être fourni.

J’étais extrêmement fatiguée après l’accouchement, mais ma mère, mon père et mon conjoint ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour changer l’avis du personnel. Ils les suppliaient parce qu’ils savaient ce qui s’était passé avec mon premier fils, et ils sentaient que cela pouvait se reproduire. C’était déchirant.

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Il est probable que votre adolescent visionne de la pornographie. Mais c'est pire que cela.

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Beaucoup de parents m'accusent d'être «alarmiste», mais les chiffres ne mentent pas. Ce que vos enfants regardent est bien pire que vous le pensez.

Par Jonathon Van Maren de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Je vis dans une calme subdivision de l’Ontario rurale. Je veux dire, très calme – tout au long de l’été, j’ai rarement vu des enfants dehors faisant du vélo, jouant au hockey de rue, tenant un stand pour vendre de la limonade, ou simplement se baladant dans les environs. Et puis, lors du premier jour d’école, en quittant la maison le matin, j’étais bouleversé de voir tant d’enfants partout qui avaient leurs sacs à dos et se dirigeaient vers les arrêts d’autobus ou qui marchaient vers l’école voisine. ‘Tous ces enfants vivent dans mon quartier?’ ai-je pensé en moi-même. Où étaient-ils pendant tout l’été?

Il y a un certain nombre de réponses possibles, bien sûr. Certains étaient probablement en vacances. Certains ont probablement été envoyés dans des camps de vacances par leurs parents. Mais beaucoup d’entre eux étaient probablement à l’intérieur de la maison, collés à leurs écrans. Un récent bulletin canadien a révélé que « les 10 à 16 ans, au Canada, passent en moyenne 6 heures et 37 minutes par jour devant un écran. La principale source de temps d’écran est la télévision (2 heures et 39 minutes), suivie par les ordinateurs (2 heures et 7 minutes) et les jeux vidéo (1 heure et 51 minutes).

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« C’est tellement dur. Oh, mon Dieu, tellement dur! » : Quand des bébés naissent vivants après un avortement

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Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Souvent, quand un bébé est né vivant au cours d’une procédure d’avortement, l’enfant est maintenu dans la clinique d’avortement jusqu’à ce qu’il ou elle meurt. Dans de rares cas, le médecin avorteur prend lui-même des mesures pour tuer l’enfant. Mais parfois, le bébé est transféré dans un hôpital, où il pourrait recevoir des soins médicaux. Malheureusement, c’est la politique de nombreux hôpitaux de laisser simplement ces bébés mourir.

L’infirmière Kathleen Malloy, de Jacksonville (Floride) a été témoin de la mort d’un bébé qui est né après un avortement salin et transféré à son hôpital. Melody Green de Last Days Ministries, cite Malloy dans sa brochure « Les enfants: des choses qu’on jette? ». Kathleen Malloy raconte:

« J’avais travaillé de 11 pm à 7 am, et quand nous n’étions pas occupés, je sortais pour aider avec les nouveau-nés. Une nuit, j’ai vu un berceau en dehors de la pouponnière. Il y avait un bébé dans ce berceau qui pleurait, une petite fille parfaitement formée - mais elle était différente des autres. Elle avait été ébouillantée. Elle était l’enfant d’un avortement salin.

Cette petite fille avait l’air de quelqu’un qu’on aurait mis dans une casserole d’eau bouillante. Aucun médecin, aucune infirmière, pas de parents, pour consoler cette enfant blessée et brûlée. Elle a été laissée seule pour mourir dans la douleur. Ils ne la voulaient pas dans la salle des soins - ils n’ont même pas pris la peine de la couvrir.

J’ai eu honte de ma profession ce soir-là! Il est difficile de croire que cela peut arriver dans nos hôpitaux modernes, mais cela arrive tout le temps. Je croyais qu’un hôpital était un lieu où on soignait les malades - pas un endroit pour tuer.

J’avais demandé à une infirmière d’un autre hôpital ce qu’ils faisaient avec leurs bébés avortés par solution saline. Contrairement à mon hôpital, où le bébé était laissé seul, luttant pour respirer, leur hôpital mettait l’enfant dans un contenant dont on fermait le couvercle. Suffocation! Mort par suffocation! »

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Une superbe photo de Noah, perdu suite à une fausse couche à 12 semaines, vous émerveillera

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Du site Live Action News, article de Nancy Flanders - traduit par Campagne Québec-Vie

Noah signifie paix et réconfort et pour Lara c’était le nom parfait pour son fils.  Elle était enceinte de douze semaines et cinq jours lorsque bébé Noah mourut dans une fausse couche.  Le cœur brisé par la perte de son fils, Lara voulait que sa vie ait un sens dans ce monde et il s’avère que la photo de Noah a réalisé le rêve de Lara.

Même s’il n’a vécu que douze semaines, Noah était spécial pour moi…..de dire Lara au Louisiana Right to Life et de poursuivre....Je suis bénie d’avoir pu le tenir et d’avoir vu qu’il existait vraiment.  J’étais dévastée par la perte de Noah, mais je sais que ses douze semaines de vie ont un but : son corps révèle le miracle de la vie.

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J'étais prête à aller en enfer pour l'avortement légal...et alors j'en ai vu un

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J'étais même prête à aller en enfer pour l'avortement légal - et alors j'en ai vu un.

Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Chaque jour, je prenais le même chemin pour revenir de l'établissement de Planned Parenthood que je dirigeais. Les officiers de police qui venaient nous donner une «formation de sécurité» une fois par année nous recommandaient de changer d'itinéraire pour retourner à la maison. Ils venaient nous avertir du danger que représentaient les pro-vie à l'extérieur de la clinique. Ha.

«Vous ne devez jamais prendre le même chemin pour retourner à la maison. Changez-le continuellement. Vous ne savez jamais quand un de ceux-là pourrait vous suivre» disaient-ils.

Je ne m'en faisais pas trop au sujet des pro-vie à l'extérieur de mon établissement. Je les connaissais. Ils me connaissaient. Ils m'offraient toujours de l'aide et semblaient sincèrement se soucier de moi. C'était embêtant. C'était foncièrement impossible de haïr des personnes qui étaient si gentilles envers moi, même si tous mes supérieurs m'avaient enseigné à les haïr. Le 26 septembre, j'ai vu quelque chose qui m'a ébranlée au plus profond de mon être. J'ai vu un bébé de 13 semaines mourir par avortement. Je le voyais se débattre pour sa vie. Je l'ai vu droit devant moi sur un écran à ultrasons. J'étais assommée, choquée, horrifiée... et honnêtement, je me sentais bien stupide. Comment ai-je pu me laisser séduire par les mensonges de cette organisation? Comment ai-je pu permettre que cela arrive pendant huit ans?

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L'avorteur a injecté le cerveau de Sarah avec du poison: mais elle ne mourut pas ... avant d'avoir fêté ses cinq ans !

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Sarah Brown est née aveugle, avec des lésions cérébrales ... mais néanmoins a réussi à vivre pendant cinq ans. Mais à la fin, l'avortement a réussi à la tuer.

Par l'équipe d'Operation Rescue - traduit par Campagne Québec-Vie

En juillet 1993, une mère de quinze ans est amenée au Health Care Services pour être avortée de sa petite fille aux derniers stages de sa grossesse. La grossesse était tellement avancée que le bébé était déjà en position d'accouchement. N'ayant pas encore maîtrisé la méthode d'avortement par induction, selon les dires, George Tiller ''injecta la tête du bébé à deux endroits, au côté gauche du front au-dessus du sourcil et à la base du crâne, de Chloride de potassium, laissant des marques permanentes de brulûres et des cicatrices des traces d'aiguille.''

Quand la jeune mère retourna le lendemain pour la procédure même de l'avortement, il fut constaté que le bébé n'était pas mort, tel que souhaité, par les injections létales à sa tête. La mère fut envoyée dans un hôpital local où le bébé naquit. Emmitoufflée dans une couverture, elle fut laissée dans une bassine sans surveillance pour y mourir.

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Mesdames, nous méritons mieux que les méthodes contraceptives hormonales

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Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Est-ce que c'est le mieux qu'on puisse obtenir?

Les femmes d'aujourd'hui ont été convaincues que leur fertilité était brisée. Ainsi, puisque leur fertilité était brisée, elles l'ont réparée grâce à la pilule contraceptive. Elles ont pensé qu'être capable de concevoir était un fardeau ou un problème. Elles ont donc « réparé » quelque chose qui, en fait, n'était pas brisé du tout.

Dans aucun autre cas ceci est considéré comme étant une bonne idée. Vous ne perdez pas de temps à essayer de réparer quelque chose qui fonctionne correctement au départ. C'est de la contre-productivité. Si je prenais du temps à démonter une voiture flambant neuve n'ayant aucun problème mécanique, ce serait idiot. Non seulement ce serait une perte de temps totale, mais aussi, je m'organiserais pour briser quelque chose qui était en fait en parfait état avant que je ne commence mon projet.

C'est ce que les femmes ont fait à leurs corps. En essayant de « réparer » quelque chose qui n'était pas brisé au départ, elles se sont créé encore plus de problèmes. Elles prennent la pilule contraceptive pour « réparer » leur fertilité parfaitement fonctionnelle, ce qui entraîne une augmentation fulgurante de cas de cancers du sein et de cancers du système reproducteur. Quand on y pense, ça n'a aucun sens.

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Une adolescente se réveillant d’un coma après une tentative d’enlèvement refuse l’avortement

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Par Rebecca Downs de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie 

April-Lee Gillen, une adolescente australienne de 17 ans a été découverte inconsciente et sérieusement blessée après une tentative de kidnapping ayant eu lieu à Pâques l'an dernier. Cette dernière, qui revenait de la demeure de son petit ami, a été laissée pour compte sur le bord de la route après un possible enlèvement. Le Sydney Morning Herald rapporte qu’un conducteur a trouvé Gillen et l’a transportée vers un hôpital à proximité où cette dernière a été soignée pour ses blessures.

Les docteurs l’induisirent en coma et découvrirent par la suite que Gillen était enceinte de quatre semaines, mais depuis le début, elle n’allait pas s’avouer vaincue. Alors que Gillen partageait son histoire sur Facebook, elle se souvient d’avoir résisté lors de l’attaque en suivant le conseil que sa mère lui avait déjà donné.

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Des survivants d’avortement prennent la parole

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Gianna Jesson, aujourd’hui âgée de 37 ans, souffre d’une paralysie cérébrale causée par une tentative d’avortement. Une vidéo de son témoignage se trouve à la fin de cet article. 

Par Eric Metaxas de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Melissa Payne, enceinte de son deuxième enfant, voyageait avec toute sa famille lorsque ses eaux ont crevé. Sa fille n’était qu’à 19 semaines de gestation, trop jeune pour survivre en dehors de l’utérus.

Mais Dieu allait accomplir un miracle au sein de la famille Payne.

Les docteurs ont fait savoir à Melissa qu’elle devrait accoucher dans les trois jours suivants, ce qui signifiait que le bébé allait certainement mourir. Même si elle décidait de prolonger sa grossesse, un spécialiste n’accordait à son bébé que cinquante pour cent de chance de survie. De plus, même si l’enfant venait à survivre, il souffrirait de handicaps sévères de manière à n’être qu’un fardeau pour la famille.

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10 raisons de ne pas se faire avorter

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Un enfant ne mérite pas de mourir parce que sa mère et/ou son père n’assument pas leurs responsabilités. Un enfant est complètement innocent.

Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews— traduit par Campagne Québec-Vie

Voici 10 bonnes raisons de ne pas se faire avorter :

1) L’avortement aggrave la tragédie.

Parfois, les circonstances entourant une grossesse sont tragiques. Soit que la femme ait été violée. Soit que le bébé ait été diagnostiqué avec un handicap. Ou que la santé de la femme soit en danger. Toutefois, la réponse à une tragédie ne peut être une autre tragédie. On n’efface pas un viol en tuant un enfant. On ne guérit pas un bébé en le tuant. Et on n’évite pas les problèmes de santé en refusant la réalité d’un autre être humain.

Les femmes qui ont été violées doivent être entourées de compassion et de soin. Mais exécuter l’enfant d’une femme, ce n’est pas de la compassion. Face à un diagnostic prénatal difficile, les parents doivent pouvoir obtenir tous les faits et rencontrer d’autres parents susceptibles de partager utilement leur expérience. Ils ne doivent pas être contraints à choisir sans délai l’avortement ou invités à tuer leur enfant au lieu de lui donner une chance de surmonter les pronostics. Les femmes ayant des grossesses à risque doivent être traitées par de vrais professionnels de la santé. Mais ce traitement ne comprend pas l’assassinat intentionnel d’un enfant (si par exemple un enfant décède au cours d’un traitement de chimiothérapie de la mère ou à la suite d’une grossesse extra-utérine, il ne s’agit pas d’un avortement).

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