M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Les médecins disaient qu’il mourrait mais bébé Easton est un battant

Easton-after-surgery-672x372.jpg

Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Comme pour toutes femmes qui sont mères pour la première fois, Danielle Orris était quelque peu nerveuse lorsqu’elle apprit qu’elle était enceinte, mais une fois l’annonce faite à sa famille, elle était excitée d’être enceinte.  Elle passa au travers de plusieurs semaines de nausées, et dans son anticipation elle amassait des items pour bébés.  À sa vingtième semaine de grossesse, elle et son fiancé Brenden DeJong apprirent qu’ils auraient un fils.  Et le médecin leur donna rendez-vous pour trois semaines plus tard.  Mas ce rendez-vous changerait sa vie drastiquement.

« Nous sommes allés à ce rendez-vous et avons rencontré un spécialiste qui nous dit ne pas trouver ni le foie ni les reins du bébé.  Nous étions dévastés, et même si on ne comprenait pas vraiment ce qui se passait on savait que ce n’était pas une bonne nouvelle. »

Leur médecin leur apprit qu’il était fort possible que le bébé ne se rendrait pas à terme et mourrait en son ventre, sinon peu après l’accouchement.  C’est alors que le médecin leur suggéra l’avortement.

Laissez un commentaire Lire la suite

Quand Lexi s’est présentée à mon bureau, elle avait déjà eu un avortement… Mais nous avons entendu un cœur battre!

Par Dr. Matthew Harrison de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

ultrasound2_645_430_55.jpgLexi était enceinte et pensait qu’elle n’avait pas d’autre choix. Elle s’est rendue à une clinique d’avortement pour « se débarrasser » de son « problème » de 13 semaines afin de continuer à vivre sa vie d’avant. La clinique a vérifié sa grossesse, a placé des tiges d’algues dans le col de son utérus afin de commencer la dilatation et lui a demandé de revenir pour l’avortement chirurgical à cause de l'âge du fœtus. Lexi avait peur, mais ne savait pas ce qu’elle pouvait faire d’autre. Elle n’était plus avec son copain et sa mère ne l’aiderait pas à élever un enfant. Elle travaillait à temps partiel, mais désirait un meilleur emploi et une meilleure vie. Après tout, les gens de la clinique lui avaient dit que ce n’était pas encore un bébé, mais plutôt un amas de tissu.

Alors Lexi n’a pas mangé la veille de la « procédure ». Sa mère l’a accompagnée à la clinique. Alors qu’elles approchaient du bureau, elles ont vu des gens un peu partout sur le trottoir. Certains tenaient des pancartes, d’autres priaient. Certains semblaient même parler à des gens dans le stationnement. Des gardiens de sécurité criaient après ceux qui étaient dans la rue, puis ont fait rentrer Lexi et sa mère. Elles se sont stationnées et, alors qu’elles se dirigeaient vers la clinique, les familles dans la rue les apostrophaient en leur disant de ne pas aller à l’intérieur, qu’elles pouvaient les aider. Les conseillers sur le trottoir disaient que le bilan de la clinique n’était pas très reluisant, qu’elle avait dû être fermée à cause de violation des règles de santé publique. Les militants pro-vie avaient l’air désespéré et Lexi ne comprenait pas pourquoi. Après tout, ce n’était qu’un amas de tissu, non? Sa mère et elle se sont hâtées vers l’édifice.

Laissez un commentaire Lire la suite

Les jeunes hommes renoncent au mariage: « les femmes ne sont plus des vraies femmes »

homme-seul.jpgAlors que plus de jeunes femmes disent qu'il est important de réussir son mariage, moins d'hommes partagent cet objectif.

Par Hilary White de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Aux États-Unis, moins de jeunes hommes que jamais veulent se marier, tandis que le désir de se marier est en hausse chez les jeunes femmes, selon le Pew Research Center.

Le centre de recherche a récemment constaté que le nombre de femmes âgées de 18 à 34 ans, affirmant qu'un mariage réussi est l'une des choses les plus importantes dans la vie est passé de 28 % à 37 % depuis 1997. Le nombre de jeunes hommes adultes disant la même chose a chuté de 35 % à 29 % pour la même période.

Ces conclusions ont attiré l'attention d'une écrivaine américaine qui soutient que le féminisme, profondément enraciné dans toutes les sphères de la société, a créé un environnement dans lequel les jeunes hommes trouvent qu'il est plus bénéfique de se retirer entièrement de la vie en couple.

Laissez un commentaire Lire la suite

Papa élève ses quadruplés après le décès de sa femme suite à l'accouchement

hqdefault-672x372.jpg

Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Erica Morales et son mari, Carlos, s'attendaient à vivre le plus beau jour de leur vie quand ils sont allés à l'hôpital pour donner naissance à leurs quadruplés. Ils étaient heureux d'avoir finalement les bébés qu'ils avaient longtemps espérés. Bien que Erica ait été conduite d'urgence à l'hôpital à cause d'une haute pression, le couple avait toutes les raisons de croire que tout irait bien. Life News rapporte le message que Erica a laissé sur Facebook pendant qu'elle était à l'hôpital :

[Le docteur] a dit que je devais rester à l'hôpital jusqu'à l'accouchement. Ma pression a baissé aujourd'hui, mais l'accouchement est trop proche.

Puis elle a écrit :

Il va provoquer l'accouchement ou le retarder jusqu'à 34 semaines. J'en aurai fait 31 demain. Il a dit que j'ai fait cela de façon phénoménale. Un modèle pour des quadruplés. Il souhaiterait que toutes le fassent comme cela. Il dit que dans cette dernière étape, nous devons faire attention parce que ma mauvaise pression artérielle pourrait monter en flèche. Je suis sûre que ce n'est pas moi qui va gérer comment finir tout cela.

Laissez un commentaire Lire la suite

Reprise -- Caméra cachée dans une clinique d’avortements tardifs : l’employée explique que les bébés sont piqués dans le crâne

LateTermAbortionThroughCranium-238px-235x227.jpgALBUQUERQUE, Nouveau-Mexique (LifeSiteNews.com) – L’employée d’une clinique d'avortements tardifs à Albuquerque a expliqué à une journaliste infiltrée que de percer le crâne d'un enfant à naître [vivant] avec une aiguille est le moyen « le plus humain » d'assurer la mort du bébé.

Cette conseillère anonyme travaille à la clinique Southwestern Women's Options d’Albuquerque, l'une des seules du pays à pratiquer des avortements au cours du troisième trimestre de la grossesse.

Le processus dure une semaine et coûte 8000 $. « Pour chaque semaine de grossesse qui s’ajoute, le tarif augmente d’un montant de 1000 $ », a déclaré l’employée.

Laissez un commentaire Lire la suite

Pendant huit ans, j’ai participé à l’assassinat des enfants non nés. Comment ai-je pu ne pas voir la vérité?

The_giver_baby_810_500_55_s_c1.jpgDans le film The Giver (Le Passeur) les bébés qui ne réussissent pas certains tests sont envoyés « ailleurs ». C'est ce à quoi j'ai moi-même participé. Jusqu'à ce que, comme le personnage principal du film, mes yeux ont été ouverts à la vérité.

Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Il y a quelques mois, mon mari et moi sommes allés au cinéma pour regarder le film ‘The Giver’ (Le Passeur). J’avais entendu dire qu’il contenait un message pro-vie; j’étais donc assez excitée de le voir.

Le film a été très intense. Au moins pour moi, cela a été le cas.

Si vous ne l’avez pas encore vu, vous devriez vraiment. C’est un film traitant d’un type de vie futuriste, où il n’y a pas d’émotion, pas d’amour, pas de haine, pas guerre, et pas de mort. Bien sûr, les gens meurent. Mais ils ne l’appellent pas ‘mort’…mourir, c’est ‘aller ailleurs’. C’est une société où seuls les ‘meilleurs’ sont conservés (en vie). Ceux qui sont incapables de contribuer sont ‘envoyés ailleurs’. Les personnes âgées sont ‘envoyées ailleurs’. Et oui, les bébés qui ne passent pas les évaluations infantiles spécifiques sont aussi ‘envoyés ailleurs’.

Laissez un commentaire Lire la suite

Je l’avais convaincue de se faire avorter. Puis je l’ai croisée au magasin.

worried-girl-413690_640.jpg

Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

J’ai déjà eu l’habitude de demander aux personnes que je pensais reconnaitre «Vous ai-je l’air familier?». Il y a quelque temps, je pouvais poser cette question au moins une fois par semaine, mais maintenant, cela doit faire au moins quatre ans que je ne l’ai plus posée à personne.

Il y a quatre ans, j’ai vu une femme dans un magasin et je savais que je la connaissais. «Je pouvais déduire qu’elle me reconnaissait elle aussi puisque chaque fois que nous passions l’une à côté de l’autre, elle me faisait un petit sourire».

Finalement, je lui ai simplement demandé : «Vous ai-je l’air familier?».

Elle a commencé à rire et a répondu que oui, mais elle ne pouvait pas se rappeler où elle m’avait vue auparavant. «Aussitôt qu’elle a commencé à parler, j’ai compris. Elle avait déjà été assise en face de moi à mon bureau de Planification familiale. Je l’avais alors incitée à se faire avorter. Son histoire était encore vive dans ma mémoire. Elle pleurait. Je l’avais rassurée, lui disant des choses telles que : « Ce n’est pas parce qu’une décision nous fait pleurer qu’elle n’est nécessairement pas bonne».

Laissez un commentaire Lire la suite

L’Indiana prêt à entrer dans l’Histoire en tant que premier État à autoriser les « boîtes à bébés » pour sauver les bébés de l’abandon

feet-619534_640.jpg

Par Pamela Stenzel de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

19 février 2015 – L’Indiana s’apprête à entrer dans l’Histoire. Le 28 décembre 2014, les nouvelles d’Indianapolis relataient ce fait divers :

La police mène l’enquête sur la mort d’un nouveau-né qui semblait être une petite fille, dont le corps a été retrouvé dimanche dernier à Eagle Creek Park, dans le nord-ouest de la ville. Le bébé a été trouvé près de l’immeuble 8200 sur Wilson Road, à environ 30 mètres de l’aire de stationnement. Il était enveloppé d’un sweat-shirt bleu portant le logo d’« Aviation Maintenance Vincennes University-Indianapolis », d’après la police métropolitaine d’Indianapolis. Un joggeur a trouvé le corps du bébé vers 16 h 30. La petite fille a été déclarée morte sur les lieux. D’après la police, elle était âgée d’au moins un jour.

Linda Znachko, membre de He Knows Your Name Ministries, a par la suite réclamé l’enfant, et Monica Kelsey, de Safe Haven Baby Boxes, l’a baptisée Amelia Grace Hope. Le 17 janvier a été organisée en l’honneur d’Amelia Grace Hope une belle cérémonie commémorative, après quoi le corps a été enterré pour honorer sa courte vie. Le décès de ce nouveau-né était absurde et cette enfant méritait certainement mieux que d’être retrouvée morte de froid dans les bois.

Laissez un commentaire Lire la suite

Délire généralisé de la classe politique québécoise sur la question de l’avortement

Une controverse née de la peur des avorteurs de voir restreindre leur disponibilité aux actes très lucratifs de démembrement des enfants à naître a dévoilé de nouveau aujourd’hui l’absence totale de conscience des différents chefs politiques québécois.

C’est le journal Le Devoir, très proche des préoccupations des avorteurs, qui a relayé leurs craintes ce matin :

« Le ministre de la Santé Gaétan Barrette va limiter le nombre d’avortements pratiqués par les médecins québécois. Dans un document de travail ministériel, on apprend aussi que les avortements ne seront plus considérés comme des activités médicales prioritaires (AMP), ce qui entraînera la fermeture de cliniques et limitera l’accès aux soins. (…)

Une ébauche du règlement, obtenu par le Centre de santé des femmes de Montréal et consulté par Le Devoir, a mis le feu aux poudres. »

Le ministre de la Santé du Parti libéral, Gaétan Barrette, a bien sûr démenti ces informations qui allaient à l’encontre des intentions mortifères du gouvernement en ce qui concerne la protection des enfants à naître. Dans le Journal de Montréal du 25 mars 2015 :

« Ce qui est important pour moi ce matin, c'est que les femmes du Québec soient bien rassurées : il n'y a absolument rien dans ce projet de loi là ni dans le règlement, qui va limiter l'accès à l'avortement. »

— Gaétan Barrette

Les commentaires des chefs de parti sont tout aussi déplorables que le sien :

Françoise David : « L'avortement, c'est un droit pour les femmes qui en ont besoin. C'est un service médical qui ne peut pas attendre. »

François Legault : « Je ne peux pas croire qu'en 2015 on puisse restreindre l'accès à l'avortement. Je demande au premier ministre Philippe Couillard de rassurer la population »

Philippe Couillard : « Le gouvernement n'a aucune intention, ni directe ni indirecte, de limiter l'accès à l'avortement »

Gaétan Barrette : « Il n'y aura pas au Québec de limitation à l'avortement de quelque manière que ce soit »

Une nouvelle motion du Parti Québécois : « Que l’Assemblée nationale réitère le droit de toute femme de disposer de son corps et de services d’avortement gratuits et accessibles. »

Au Québec, sans qu’il n’y ait eu aucune discussion sur le sujet, comme ce fut le cas en France, il est clair que pour nos députés, l’élimination des enfants à naître jusqu’à la naissance, pour quelque raison que ce soit, est un « droit » des femmes.

Autant de couardise montre combien pas un seul de ses députés, prêt à prôner un discours politiquement correct plutôt que de défendre des enfants dont la vie est en danger, ne mérite notre confiance.

Il faudra regarder attentivement lors des prochaines élections provinciales pour voter pour le meilleur candidat pro-vie, même s’il ne provenait pas d’un grand parti politique.

Laissez un commentaire

L’avortement, ou la question qui tue

Par Réal Gaudreault

6-semaines.jpgDans un article du Devoir daté du 25 mars, on y apprend que l’avortement, au même titre que plusieurs autres pratiques médicales, est dans les mires du ministre Barrette et de son projet de loi 20.  Que des personnes s’insurgent parce que le PL20 pourrait affecter des pratiques médicales qu’ils défendent est une chose, mais qu’on utilise l’argument de l’égalité homme femme pour le faire est une récupération de mauvais goût.

La directrice du Centre de santé des femmes, Anne-Marie Messier, parle littéralement d’une « attaque  envers les droits des Québécoises »   Elle ajoute : « Il ne faut pas que le projet de loi 20 passe comme ça, c’est extrêmement dangereux ! Tout l’aspect de la santé reproductive des femmes et la garantie d’un accès rapide à un avortement, c’est fondamental pour le droit des femmes. C’est le critère numéro un de l’égalité entre les hommes et les femmes. »  Wow, le saviez-vous? L’accès rapide à l’avortement est le critère numéro un de l’égalité homme femme. Je n’en crois pas mes yeux.

Laissez un commentaire Lire la suite