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CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

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Activités pour le respect de la vie – communautés chrétiennes

Vous et votre communauté chrétienne pouvez vous engager avec Campagne Québec-Vie pour bâtir une culture de vie au Québec :

  1. En formulant des intentions de prière durant vos célébrations qui portent sur le respect de la vie humaine de la conception à la mort naturelle, ou bien de parler du respect de la vie lors de vos homélies ou de vos sermons. Nous avons à Campagne Québec-Vie des ressources pour vous aider à formuler des sermons et des intentions de prière pour le respect de la vie.
  2. En rendant disponible à la congrégation nos bulletins mensuels, et en invitants vos fidèles à en prendre. Nous serons heureux de vous fournir à chaque mois de nouveaux bulletins sans aucun frais.
  3. En participant à nos témoignages publics en faveur de la vie :
    1. La vigile 40 jours pour la vie est un événement d’envergure internationale qui se déroule 2 fois par année, et qui, depuis ses débuts en 2007, a électrisé le mouvement pour le respect de la vie (voir dépliant ci-inclus). Cette activité encourage une chrétienté conséquente et publique, qui aidera vos fidèles à croître dans leur foi.
    2. La Marche annuelle pour la vie, qui se tient normalement la fin de semaine de la 2e semaine du mois de mai, est un événement festif, positif, avec plusieurs milliers de participants, qui permettra à vos fidèles de constater qu’ils ne sont pas seuls à respecter la vie.
    3. La Chaîne de la vie est un événement annuel qui se tient une fois par année dans quelques 1450 villes d’Amérique du nord. Dans un ou plusieurs endroits dans chaque ville se forment les maillons d’une « chaîne » de la vie, c’est-à-dire des groupes de personnes qui, pour 90 minutes, prient pacifiquement dans un lieu public pour la fin de l’avortement. Cette activité simple et efficace est facile à organiser.
  4. En invitant un représentant de Campagne Québec-Vie pour faire une présentation sur un sujet portant sur le respect de la vie. Ces présentations peuvent se faire après le service, samedi en après midi ou un soir de semaine. Souvent les croyants ont de bonnes valeurs mais ils ont de la difficulté à les expliquer et à les justifier aux autres. Ces présentations outilleront votre congrégation et la rendra plus apte à défendre ses valeurs sur la place publique.
  5. En faisant l’adoption d’un centre d’avortement. Chaque ville au Québec compte plusieurs centres d’avortement. Montréal, par exemple, en compte 21. Les chances sont donc bonnes qu’il y en ait un près de votre église (nous avons une carte indiquant l’emplacement de tous les centres d’avortements du Québec). En faisant l’adoption d’un centre d’avortement, vous vous engagez à prier devant ce centre le plus souvent possible (une fois par mois, une fois par semaine ou tous les jours) Nous avons le matériel requis : prières, citations de la Bible, pancartes si vous en voulez, coordonnées des centres de grossesse fiables, etc. Cette activité évangélique sauve des bébés, des parents et des avorteurs en leur apportant, sur la place publique, la compassion et la guérison de Jésus.
  6. En consacrant une fin de semaine pour le respect de la vie – nous vous proposons la fin de semaine la plus rapprochée du 25 mars, qui tombe à 9 mois du 25 décembre—mais toute autre date serait possible. Nous vous fournissons le matériel et les étapes à suivre pour organiser une fin de semaine sur le thème du respect de la vie pour sensibiliser vos fidèles. Cette activité peut très bien servir comme première activité « pour la vie » pour votre congrégation, et peut inclure une ou plusieurs des autres activités et suggestions ci mentionneés.
  7. En participant à nos campagnes de levée de fonds :
    1. Monnaie pour la vie : Nous venons chez vous une ou deux fois par année distribuer aux fidèles des contenants en plastique qu’ils ramèneront chez eux et dans lesquels ils déposeront les pièces de monnaie qu’ils auront dans leur poche à la fin de chaque journée. Ils ramènent ensuite leurs contenants pleins à l’église, et nous viendront les chercher dès qu’il en aura un certain nombre. Cette campagne est facile à mener et constitue un moyen simple de rappeler quotidiennement aux fidèles la question du respect de la vie.
    2. Immobilier pour la vie : En faisant connaître, par l’intermédiaire du semainier ou par un autre moyen, ce bon moyen d’appuyer financièrement le mouvement Campagne Québec-Vie sans que cela ne coûte un sou au donateur (voir fichette ci-incluse), vous démontrerez à vos fidèles que nous avançons le Royaume par tous nos gestes, non seulement ceux que nous faisons à l’église.
    3. Souper spaghetti / épluchette de blé d’Inde / Concert bénéfice / déjeuner aux crêpes, … tous sont des moyens efficaces d’aborder la question du respect de la vie dans un atmosphère convivial.
    4. Une quête spéciale : Une ou deux fois par année (disons, le dimanche près du 25 mars (soit 9 mois avant Noël) et le dimanche de la fête des pères), une deuxième quête peut être faite pour appuyer Campagne Québec-Vie et /ou d’autres organismes locaux pour la défense des enfants à naître.
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Message aux églises -- ensemble, renouvelons le Québec !

En tant que président de la Campagne Québec-Vie, je vous écris aujourd’hui pour inviter votre communauté chrétienne à nous accompagner dans notre projet de renouvellement du Québec.

Campagne Québec-Vie est un organisme sans but lucratif qui regroupe plus d’un millier de Québécois convaincus de la nécessité de défendre la vie des plus vulnérables de notre société, en particulier celle des enfants à naître et des personnes âgées, handicapées, ou malades.

Notre rêve à Campagne Québec-Vie est de renouveler le Québec pour que chaque personne qui y habite soit accueillie et protégée, y compris les enfants à naître, les handicapés, les malades et les vieillards.

Malheureusement, dans le Québec d’aujourd’hui nous traversons des moments difficiles, voir périlleux pour notre avenir :

  • Aujourd’hui au Québec, presque 100 enfants à naître meurent à chaque jour par avortement—un total de 30,000 annuellement (l’équivalent en population à la ville de Val d’Or, à tous les ans). De plus, aucune loi n’encadre cet acte : on peut au Canada avorter de la conception à la veille de la naissance, sans justification et le tout payé par l’argent des contribuables.
  • Présentement au Québec, la menace de l’euthanasie et du suicide assisté sur demande refait surface, et nous risquons dans un futur proche de permettre aux médecins de tuer les patients malades et vulnérables qui « réclament » la mort. Étant donné l’état lamentable de notre système de santé et de son manque de ressources, nous pouvons imaginer ce que ce genre de permission apportera.

Mais il restera toujours de l’espoir, tout et aussi longtemps qu’il restera des communautés chrétiennes pour prendre la parole et pour défendre et promouvoir le respect de la vie dans leur église et dans leur milieux de vie.

Ma question pour votre communauté est la suivante : Seriez-vous prêts à être l’une de ces communautés « porteuses d’espoir », l’une de ces communautés qui font ce qu’elles peuvent pour bâtir un Québec qui accueille la vie au lieu de la détruire, un Québec véritablement prospère, juste et paisible ?

Votre communauté peut spécialement nous aider à bâtir une culture de vie au Québec en vous engageant avec nous d’une ou plusieurs des façons décrites sur la page "Activités pour le respect de la vie -- communautés chrétiennes", qui décrit en détail les moyens que nous pouvons œuvrer ensemble pour renouveler le Québec. . SVP jeter un coup d’œil.

Merci de votre temps—nous espérons entendre de vos nouvelles !

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Session d'information -- Euthanasie et suicide assisté

Aujourd'hui j'ai présenté dans une résidence pour personnes âgés nos principaux arguments (PDF) contre l'euthanasie et le suicide assisté dans le contexte de la Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité, qui va prochainement débuter la phase "itinérante" de sa consultation. Onze villes seront visitées partout au Québec; l'horaire reste à préciser.

Aussi, un rappel: bien que la date butoire pour soumettre un mémoire ou une demande de comparution devant la commission est révolue (le 25 mai), on peut quand même faire part de nos commentaires à la commission en remplissant le questionnaire en ligne.

Finalement, si vous voulez que nous venions présenter sur ce sujet à votre groupe, n'hésitez pas à nous contacter!

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40 jours pour la vie -- de retour à Montréal ce septembre!

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Suite à notre réunion exploratoire, ce fût décidé que nous allions de l'avant avec la 4e édition des 40 jours pour la vie à Montréal! La cérémonie de lancement aura lieu au Parc Lahaie le mercredi 21 septembre à 19h00.

Y'a-t-il des gens des autres villes du Québec qui pensent vouloir mener une campagne 40 jours dans leur ville? Je l'espère de tout mon coeur, car nous avons tout le nécessaire pour faciliter votre tâche, si jamais vous vouliez plonger dans cette aventure salvatrice et inoubliable. 

Pour l'instant, voici le matériel à distribuer pour promouvoir la vigile. Pour connaître les dernières nouvelles sur les 40 jours à Montréal, vous n'avez qu'à consulter la page officielle.

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Un pasteur qui a de l'audace!

En ce temps de préparation pour la prochaine vigile des 40 jours pour la vie (dont le lancement sera le 21 septembre au Parc Lahaie à 19h00 à Montréal), j'ai été ému de lire la prière d'un Pasteur du Kansas lors de la cérémonie d'ouverture de session du "House of Representatives" du Kansas. Si tous les pasteurs du Québec étaient comme lui, je crois qu'il n'y aurais quasiment plus d'avortements au Québec. (Cliquer pour la présentation Power Point)

Seigneur, nous venons vers toi aujourd'hui pour te demander pardon et pour te demander de nous guider.

Nous savons que ta Parole nous dit :

"Malheur à ceux qui appellent bien ce qui est mal."

Et c'est exactement ce que nous avons fait."

Il semblerait que la prière dérange encore certaines personnes. Alors, la voici:

Nous avons perdu notre équilibre spirituel et nous avons renversé "nos valeurs."

Nous avons exploité le pauvre et nous appelons cela "la loterie."

Nous avons récompensé la paresse et nous avons appelé cela "l'aide sociale."

Nous avons tué nos enfants pas encore nés et nous avons appelé ça "le libre choix."

Nous avons abattu des avorteurs et nous avons appelé ça "la justice."

Nous avons négligé de discipliner nos enfants et nous avons appelé ça "développer leur estime de soi."

Nous avons abusé du pouvoir et nous avons appelé ça "la politique."

Nous avons convoité les biens de nos voisins et nous avons appelé ça "avoir de "l'ambition."

Nous avons pollué les ondes radio et télé avec la grossièreté et la pornographie et nous avons appelé ça "liberté d'expression."

Nous avons ridiculisé les valeurs établies depuis longtemps de nos ancêtres et avons appelé ça "les Lumières."

Oh Dieu, sonde notre cœur; purifie-nous et libère-nous de nos péchés.

AMEN

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Égards #28

Si jamais vous vouliez comprendre en profondeur --et finalement aider à guérir -- le malaise qui mine de l'intérieur le Québec moderne, vous devez tout d'abord vous abonner à la Revue Égards. Cette revue n'a absolument pas d'égal au Québec. Tous les penseurs du Québec qui veulent aider à délivrer la nation québécoise de l'emprise de l'état omniprésent et obèse, du bourbier du relativisme moral et de la disparition tranquille par coups d'avortement et d'euthanasie se doivent de s'abonner. Le dernier numéro (ci-bas) vient de paraître. Vous pouvez vous procurer un exemplaire en suivant ce lien.

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Les centres d'avortement du Québec


Oui à la dignité en fin de vie, non à l'euthanasie et au suicide assisté -- partie 3

Dans les semaines qui viennent, je publierai des extraits de mémoires contre l'euthanasie et le suicide assisté qui ont été soumis à la Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité (CSMD). La date bûtoire pour soumettre un mémoire ou pour répondre au questionnaire étant révolue (il fallait répondre pour le 16 juillet), il nous reste qu'à attendre les dates pour les audiences publiques, dates qui seront publiées vers la mi-août. Entre temps, examinons pourquoi l'euthanasie et le suicide assisté sont des menaces pour le Québec.

Je donnerai quelques notes biographiques des auteurs mais je retiendrai leurs nom.

 

Présentation de l'auteur

L'auteur vis au Québec depuis 42 ans, est marié et père de quatre enfants. Il a gagné sa vie comme professeur de violon et est présentement partiellement retraité.

 

Pourquoi la proposition d’instaurer légalement la pratique de l’euthanasie et du suicide assisté m’effraie profondément

J’ai décidé de présenter ce mémoire à la Commission car la proposition d’instaurer légalement la pratique de l’euthanasie et du suicide assisté dans notre système de santé m’effraie profondément.

Les raisons de mon opposition à la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté sont multiples, mais je veux me limiter ici surtout aux quatre suivantes :

  • La perte de confiance en notre système de santé de la part de patients potentiels
  • L’insécurité générale de toute personne âgée ou autrement vulnérable
  • L’impact négatif sur la volonté de vivre et d’affronter les adversités de la vie chez les Québécois
  • Le grand danger d’abus de la part des individus, des compagnies d’assurance et des gouvernements.

La perte de confiance en notre système de santé de la part de patients potentiels

La raison d’être de notre système de santé était de venir en aide, si possible pour guérir ou au moins pour soulager, rendre la maladie plus supportable. On se tournait vers les médecins et le personnel de l’hôpital avec la confiance que notre vie avait une valeur unique à leurs yeux au même titre que la leur. Elle était plus que seulement le fonctionnement de notre corps. Chaque personne était considérée, avec raison, comme un mystère unique dont le fonctionnement physique ou psychique était juste la partie extérieure. Si la pratique de l’euthanasie était instaurée, la vie humaine, notre vie, serait de plus en plus considérée seulement sous l’angle de son fonctionnement biologique. La valeur de ma vie sera jugée selon l’aptitude do mon corps de fonctionner adéquatement. Si mon organisme ne peut plus répondre positivement aux traitements disponibles, ma vie ne vaudra plus rien... on m’encouragera à la terminer «en dignité». Personnellement, je trouve cela indigne et même dégradant.
 

L’insécurité générale de toute personne âgée ou autrement vulnérable

La perspective d’être perçu dans notre système de santé comme un objet à évaluer quant à sa capacité de fonctionner adéquatement, va nécessairement engendrer chez toute personne âgée ou autrement vulnérable un fort sentiment d’insécurité chaque fois qu’elle aura besoin de se tourner vers les services de santé. Avec les années, ce sentiment va aller grandissant. Plus on est fragile et vulnérable, plus on a besoin de présence et d’accompagnement et combien de personnes vont plutôt cacher leur maladie que chercher de l’aide auprès des personnes qui auront le pouvoir, et peut-être même la mission, de les faire mourir ? Le mot compassion dans son sens premier signifie volonté de souffrir avec. Vouloir donner la mort à la place est exactement le contraire de la compassion : c’est l’abandon, la démission.
 

L’impact négatif sur la volonté de vivre et d’affronter les adversités de la vie chez les Québécois

La volonté d’instaurer l’euthanasie et le suicide assisté dans notre système de santé provient d’une philosophie qui fait abstraction de la dimension spirituelle de la vie humaine et veut surtout ignorer comme dépassée, toute référence à Dieu. Le phénomène de la foi religieuse a pourtant fait depuis toujours partie intégrante de la façon dont la grande majorité des êtres humains, à travers l’histoire, faisait face à leur condition. Et encore aujourd’hui, le personnel des hôpitaux, des centres pour personnes âgées et surtout beaucoup d’aidants naturels constatent, souvent avec étonnement, la force morale et psychique que donne la foi dans une situation de souffrance.

Si elle voulait s’approprier le pouvoir de donner la mort à des êtres humains qu’elle juge inadéquats pour continuer à vivre, la société québécoise ferait une autre affirmation de son refus de croire en un sens plus profond de la vie humaine.

Elle enverrait ainsi un signal très négatif à toute personne vivant une situation de vie très difficile à cause des circonstances qui la défavorisent lourdement et qu’elle ne peut changer.

Infirmité de naissance, manque de talent, toutes sortes d’incapacités intellectuelles, santé chancelante comme aussi la pauvreté et même des situations de famille brisée peuvent sembler être autant d’obstacles au profond désir de bonheur. En effet, les chances d’atteindre le bonheur apparaissent souvent très inégales. Et pourtant, chaque personne doit livrer un combat pour son bonheur avec les circonstances uniques de sa vie. Les uns doivent puiser dans les profondeurs de leur être la force de ne pas se laisser abattre par les circonstances trop difficiles alors que d’autres doivent trouver dans leur cœur la sagesse de ne pas manquer le vrai bonheur à cause de trop de facilités. Les exemples de vainqueurs et de vaincus se trouvent des deux cotés.

Il est un fait observable que là où coexistent harmonieusement la raison et la foi, les chances de vivre heureux sont grandes. Une société qui voudrait détruire la foi au nom de la raison serait définitivement mal avisée et beaucoup de ses membres en deviendraient malheureux.
 

Le grand danger d’abus de la part des individus, des compagnies d’assurance et des gouvernements.

La légalisation du recours à l’euthanasie devient particulièrement inquiétante dans le contexte actuel du vieillissement de la population québécoise. Ses promoteurs diront évidemment qu’il s’agirait juste des cas d’extrême déchéance mentale ou physique, d’un petit nombre. Mais, à l’instar de l’avortement qu’on prétendait pratiquer seulement dans les cas très rares et par lequel on supprime aujourd’hui, juste au Québec, à peu près 30 écoles de mille enfants chaque année, il est très facile d’imaginer l’élargissement progressif des tranches de population qui seraient visées par l’euthanasie dans deux ou trois décennies. Dans une société où la foi en Dieu serait de plus en plus rare, la dépression, surtout à la fin de vie, serait probablement de plus en plus fréquente. Il serait évidemment très facile d’obtenir le consentement pour en finir avec sa vie. Les assureurs et le gouvernement y trouveraient bon compte.

Conclusion

Quand j’entends certains politiciens parler de cette question et je vois comment l’euthanasie et le suicide assisté sont «vendus» à la population comme une autre étape de l’évolution de la société québécoise, j’ai l’impression qu’on tombe dans un trou béant.

Il me semble que c’est le temps qu’on arrête de penser que toute évolution est nécessairement dans la bonne direction et que c’est par un consensus majoritaire qu’on trouve la solution à tout problème. Est-ce que nous ne voyons pas que la direction de l’évolution et le consensus majoritaire sont faciles à manipuler ?

Je souhaite que chaque membre de cette Commission réalise qu’il ne s’agit pas de trouver un nouveau consensus, mais plutôt la bonne réponse à une question très grave. Il me semble que la réponse et la force de l’assumer sont à chercher au fond des cœurs et dans la richesse et la profondeur de la vraie culture québécoise, celle qui a permis au Québec de survivre dans les temps difficiles.

Bonne chance à vous…et à nous tous et toutes qui avons franchi le cap de première jeunesse !

P.S. : En cherchant l’adresse pour envoyer mon mémoire, je constate avec surprise que le nom officiel de la Commission parlementaire est : Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité. Comment est-ce possible qu’une commission parlementaire qui doit servir de modérateur impartial pour un débat public utilise dans son titre l’euphémisme bien connu des promoteurs de l’euthanasie et du suicide assisté ? Est-ce que cela veut dire que les membres de la Commission sont déjà tout gagnés d’avance pour l’agenda du groupe pro-euthanasie ?

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Société de soins palliatifs à domicile du Grand Montréal

La Société de soins palliatifs à domicile du Grand Montréal, (antérieurement l’Association d’Entraide Ville-Marie) est un organisme sans but lucratif supporté financièrement par la Fondation Docteur Maurice-Bertrand (FDMB). Elle à comme mission d’offrir et de dispenser des soins & services palliatifs à domicile de haute qualité, à toute personne atteinte de cancer en phases pré-terminale et terminale et, qui désire vivre à domicile la dernière étape de sa vie. Nos services sont offerts à Montréal, Laval et sur la Rive-Sud.

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Association canadienne des services et du soutien pendant la grossesse

L'association canadienne des services et du soutien pendant la grossesse (CAPPS) est une organisation chrétienne registrée sans lien politique, engagée primordialment à la formation de centres des services et du soutien pendant la grossesse.

CAPSS a été formée en 1997 comme réponse au besoin d'aider les femmes et les enfants à travers de l’encouragement et la formation des centres des services et du soutien pendant la grossesse à travers du Canada.

CAPSS, d’aujourd’hui, assiste 71 centres affiliés et à présent est en train d'aider aux accroissements et développements de neuf centres de plus. Situés dans de nombreuses villes à travers du Canada, les centres offrent une assistance pratique et matérielle, ainsi que du soutien émotionnel et spirituel aux femmes enceintes, à leurs partenaires ou leurs proches en traversant de grossesses angoissantes.

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