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Une nouvelle étude montre que le mariage est la clef du bonheur

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie

4 août 2023 (LifeSiteNews) — L'institution du mariage a été calomniée, redéfinie et condamnée comme une institution dépassée et répressive, fondamentalement obsolète dans notre société post-chrétienne. De plus en plus, les gens se marient beaucoup plus tard — ou pas du tout. Pourtant, pratiquement tous les ensembles de données révèlent, encore et encore, que le mariage et la famille rendent les gens fondamentalement plus heureux.

De nouvelles recherches ont confirmé une fois de plus que les Américains mariés et ayant des enfants sont plus heureux et plus prospères que les célibataires sans enfants, et que « rien ne prédit mieux le bonheur dans la vie qu'un bon mariage ». Extrait de Unherd :

Cette vérité est confirmée une fois de plus par une nouvelle étude de l'université de Chicago qui révèle que le mariage est « l’élément le plus important qui différencie » les personnes heureuses en Amérique et que la baisse du nombre de mariages est l'une des principales raisons du déclin du bonheur à l’échelle nationale. L'enquête, menée auprès de milliers de personnes, a révélé un écart saisissant de 30 points de pourcentage entre les Américains mariés et ceux qui ne le sont pas. Ce taux plus élevé de bonheur concerne aussi bien les hommes que les femmes.

« Le statut matrimonial est et a toujours été un marqueur très important du bonheur », conclut le chercheur Sam Peltzman. La victoire écrasante en matière de bonheur est entièrement le fait des personnes mariées. Tous les types de non-mariés se caractérisent par un faible niveau de bonheur. Aucune catégorisation ultérieure de la population ne produira une différence de bonheur aussi importante entre autant de personnes ».

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Là encore, il n'y a pas lieu de s'étonner. Les recherches indiquent également que les conservateurs religieux qui attendent [le mariage] avant d'avoir des relations sexuelles sont les plus heureux dans leur mariage, et que les couples qui ne vivent pas ensemble avant le mariage ont plus de chances de réussir leur mariage.

En d'autres termes, plus nous adhérons au plan de Dieu pour le mariage, plus nous sommes susceptibles d'être heureux. En fait, M. Peltzman affirme que le bonheur a diminué depuis 2000 et que le « déclin récent de la proportion d'adultes mariés peut expliquer (statistiquement) la majeure partie du déclin récent du bonheur global ». M. Peltzman est d'accord avec l'analyse de l'enquête General Social Survey réalisée par le Dr Jean Twenge, qui a constaté que « le déclin du mariage chez les Américains de la classe ouvrière et les pauvres est l'un des principaux facteurs expliquant le fossé grandissant entre les privilégiés et les non-privilégiés en matière de bonheur ».

Cette recherche devrait guider l'élaboration des politiques gouvernementales. En 2021, j'ai interrogé le ministre hongrois de la Famille de l'époque (actuellement président), Katalin Novák, sur l'expérience fascinante entreprise par le gouvernement Orban. L'un des principaux problèmes, m'a dit Mme Novák, est l'état du mariage. Dans la plupart des pays développés, la popularité du mariage s'évapore — en Hongrie, le nombre de mariages a chuté de 23 % entre 2002 et 2010. En réaction, le gouvernement a décidé de soutenir et d'encourager le mariage « parce que le mariage est un lieu plus sûr pour la procréation ». L'expérience a fonctionné et la tendance s'est inversée. Depuis 2012, le nombre de mariages en Hongrie a doublé.

Le mariage est un bien fondamental. La famille est un bien fondamental. L'élaboration des politiques devrait non seulement reconnaître ce fait, mais aussi chercher à encourager l'un et l'autre. Lorsque nous le faisons, nous voyons le bonheur social commencer à grimper, la criminalité reculer, la stabilité dans les zones ravagées par les dysfonctionnements commencer à se réaffirmer. Le mariage a été tourné en dérision, condamné et de plus en plus abandonné. Pourtant, il fonctionne — et la solution à une grande partie des maux de la société peut être trouvée non pas en traçant un nouvel avenir, mais en revenant aux anciens modes de vie éprouvés et authentiques.



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