Près de 30 % des femmes de la génération Z s’identifieraient désormais comme LGBT, selon un sondage Gallup
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée) : Freepik
18 mars 2024 (LifeSiteNews) — Plus tôt cette semaine, j’ai noté dans un essai qu’avec la montée en flèche des taux de jeunes s’identifiant comme LGBT et une tendance correspondante à la baisse de ceux qui s’identifient comme chrétiens, nous sommes témoins d’une migration d’une source de pouvoir culturel à une autre. Les sondages réalisés ces deux dernières années ont montré que jusqu’à un quart de la génération Z — ceux qui sont nés entre 1996 et 2010 — s’identifie à un groupe LGBT, dont le nombre ne cesse de croître.
Un récent sondage Gallup montre que cette tendance s’accélère rapidement. En 2016, lorsque mon premier livre The Culture War a été publié, moins de 3 % des personnes s’identifiaient comme faisant partie du spectre LGBT. L’année dernière, ce chiffre a atteint le chiffre stupéfiant de 7,6 %. L’enquête Gallup, menée auprès de 12 000 personnes âgées de 18 ans et plus, a également révélé que la majorité de la croissance provient des jeunes femmes, qui sont deux fois plus susceptibles que les hommes de s’identifier comme LGBT.
Selon Jeffrey Jones, rédacteur en chef chez Gallup, « près de 30 % des femmes de la génération Z s’identifient comme LGBTQ+, la plupart comme bisexuelles. C’est là qu’une grande partie de la croissance semble se produire. Il est important de savoir à quel point la communauté LGBTQ est bisexuelle, et c’est certainement quelque chose que nous constatons chez les jeunes générations. » Dans l’ensemble, 8,5 % des femmes et 4,7 % des hommes s’identifient maintenant comme LGBT, ce qui représente également une forte augmentation.
Lire la suiteUn sondage montre que la majorité des Albertains sont pour le consentement parental aux mineures souhaitant avorter
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
5 février 2024 (LifeSiteNews) — La majorité des Albertains sont en faveur du consentement parental pour les mineures qui veulent se faire avorter, selon les résultats d’un sondage téléphonique mené auprès de milliers de citoyens la fin de semaine dernière.
L’enquête « Position des Albertains sur le consentement parental », publiée aujourd’hui par Recherche publique nationale Canada (NPRC), a révélé que 62 % des Albertains ont exprimé [leur appui à] « une certaine forme de consentement parental ou de notification pour les mineures cherchant à se faire avorter ».
Le sondage téléphonique a été réalisé le 1er février par réponse vocale interactive et a obtenu 6 047 réponses d’Albertains à la question suivante : « Les droits parentaux devraient-ils inclure le consentement parental pour un enfant mineur cherchant à se faire avorter ? » Le taux de réponse à l’enquête a été de 16,2 % de toutes les personnes appelées.
52 % des personnes interrogées ont répondu qu’elles étaient favorables à la fois à la notification et au consentement des parents, tandis que 10 % d’entre elles ont déclaré qu’elles souhaitaient être informées, mais que le consentement n’était pas nécessaire. Au total, 30 % des personnes interrogées ne pensaient pas que le consentement parental ou la notification pour l’avortement d’une mineure étaient nécessaires.
Lire la suiteOpération de charme pro-avortement du Parti conservateur au Québec
Pierre Poilievre et son épouse Anaida Poilievre Galindo.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran d'une vidéo de Global News/YouTube
Tout récemment, la firme de sondage Léger a produit les résultats d’une enquête auprès d’un échantillon de 1040 Québécois sur leur intention de vote. Le Parti conservateur a progressé de 3 points avec 25 % par rapport au dernier sondage Léger, tandis que le Bloc Québécois mène la danse avec 31 % et un point de plus, suivi des libéraux avec 28 % et un point de même. Le grand perdant est le NPD qui traîne avec 13 % et trois points de moins par rapport à octobre dernier.
Jean-Marc Léger commente ces résultats, soulignant les succès du chef conservateur Pierre Poilievre dans l’Ouest, dans l’Est et en Ontario. Le Québec où Poilievre progresse, selon Léger, serait le « dernier rempart » à l’avancée conservatrice. Ce dont aurait besoin Poilievre pour vaincre cette résistance, estime le sondeur, serait un bon lieutenant et une bonne équipe dans la Belle Province, rapporte Le Journal de Montréal le 6 décembre :
« Pierre Poilievre a commencé dans l’ouest, maintenant il performe en Ontario, il performe de plus en plus dans les provinces atlantiques. C’est le Québec qui est le dernier bastion de résistance, mais là il commence à performer [ici aussi] », a déclaré ce dernier.
« Si Poilievre est capable d’avoir un lieutenant et une équipe forte au Québec qui traduit son message en français, ça peut avoir un impact. C’est tout ce qui manque », a-t-il dit.
Or, ne voilà-t-il pas que TVA Nouvelles a publié le 11 décembre un article rapportant une entrevue avec Anaida Poilievre Galindo, épouse de Pierre Poilievre, qui tente de rassurer les médias et les Québécois sur les positions de son mari sur l’avortement, « On est pro-choix. On s’est prononcé là-dessus. Moi, je suis une femme issue du Québec, j’ai grandi ici. Pis ça fait partie de mes valeurs », assure-t-elle.
Mme Poilievre Galindo explique dans l’entrevue qu’elle une vraie Québécoise qui a grandi dans Hochelaga-Maisonneuve à Montréal :
Elle est arrivée au Québec avec sa famille lorsqu’elle avait huit ans. Elle habitait avec ses deux frères, sa sœur et ses parents dans un appartement de l’avenue Faribault.
« En un mois et demi, j’ai appris le français (...). On écoutait “La Petite Vie”! donc, on a tout de suite parlé le joual », mentionne-t-elle.
D’ailleurs, maintenant qu’elle est mère de famille, le français occupe toujours une grande place chez elle.
Ses enfants parlent en effet couramment le français et l’espagnol.
Parmi les conservateurs, à Ottawa, plusieurs voient Mme Poilievre Galindo comme un atout au Québec, ce que cette dernière confirme, elle sera au côté Pierre Poilievre lors de la future campagne électorale.
S’il fait de moins en moins doute que les conservateurs remportent les prochaines élections fédérales, il est malheureux que ses dirigeants, dans une tentative d’amadouer les médias et les électeurs qui les lisent, se fassent les garants de la culture de mort.
Plus de 80 % des prêtres ordonnés après 2020 se disent « conservateurs » ou « orthodoxes » aux États-Unis
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : andrewgardner1/Wikimedia Commons
Les prêtres qui se décrivent comme « progressistes » sont en voie d’extinction aux Etats-Unis : une enquête vient de révéler qu’une écrasante majorité des plus jeunes d’entre eux se présente au contraire comme « conservateurs/orthodoxes ». Le sondage, qui se présente comme le plus important sur le plan national depuis 50 ans, a été réalisé par « The Catholic Project », un groupe de recherche de la Catholic University of America à Washington DC. Pas moins de 3 516 prêtres de 191 diocèses et éparchies ont répondu aux questions portant sur leur vie de prêtre, leur état psychologique et leur approche de la doctrine catholique.
Ceux qui se présentent comme « libéraux » ou « progressistes » ont pour ainsi dire disparu des cohortes les plus jeunes ; parmi ceux ordonnés après 2020, ils sont plus de 80 % à se dire « conservateurs/orthodoxes ». Les réalisateurs de l’enquête estiment que celle-ci apporte la preuve de l’existence d’un « fossé significatif » entre les prêtres les plus âgés et les plus jeunes sur le plan de l’auto-identification politique et théologique.
Lire la suiteUne nouvelle étude montre que le mariage est la clef du bonheur
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
4 août 2023 (LifeSiteNews) — L'institution du mariage a été calomniée, redéfinie et condamnée comme une institution dépassée et répressive, fondamentalement obsolète dans notre société post-chrétienne. De plus en plus, les gens se marient beaucoup plus tard — ou pas du tout. Pourtant, pratiquement tous les ensembles de données révèlent, encore et encore, que le mariage et la famille rendent les gens fondamentalement plus heureux.
De nouvelles recherches ont confirmé une fois de plus que les Américains mariés et ayant des enfants sont plus heureux et plus prospères que les célibataires sans enfants, et que « rien ne prédit mieux le bonheur dans la vie qu'un bon mariage ». Extrait de Unherd :
Lire la suiteCette vérité est confirmée une fois de plus par une nouvelle étude de l'université de Chicago qui révèle que le mariage est « l’élément le plus important qui différencie » les personnes heureuses en Amérique et que la baisse du nombre de mariages est l'une des principales raisons du déclin du bonheur à l’échelle nationale. L'enquête, menée auprès de milliers de personnes, a révélé un écart saisissant de 30 points de pourcentage entre les Américains mariés et ceux qui ne le sont pas. Ce taux plus élevé de bonheur concerne aussi bien les hommes que les femmes.
« Le statut matrimonial est et a toujours été un marqueur très important du bonheur », conclut le chercheur Sam Peltzman. La victoire écrasante en matière de bonheur est entièrement le fait des personnes mariées. Tous les types de non-mariés se caractérisent par un faible niveau de bonheur. Aucune catégorisation ultérieure de la population ne produira une différence de bonheur aussi importante entre autant de personnes ».
Sondages sur les sentiments populaires quant à la légalité de l’avortement
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — 27 juin 2023 — Photo : LifeSiteNews
(LifeSiteNews) — Selon la dernière enquête du Pew Research Center sur les attitudes à l’égard de l’avortement, 62 % des Américains pensent que l’avortement devrait rester généralement légal, tandis que le sentiment pro-avortement est encore plus répandu en Europe. D’autres sondages récents montrent toutefois un soutien moins important à l’avortement aux États-Unis.
Publiée le 20 juin, l’enquête de Pew couvre 24 pays, dont les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, la France, l’Italie, l’Afrique du Sud, le Kenya, le Japon, l’Inde, le Mexique et d’autres encore. L’enquête, qui porte principalement sur les pays industrialisés, révèle que, dans l’ensemble, 71 % des personnes interrogées estiment que l’avortement devrait être légal « dans tous les cas ou dans la plupart des cas », 27 % seulement étant d’un avis contraire.
Aux États-Unis, 62 % des personnes interrogées ont répondu que l’avortement devrait être légal « dans tous les cas ou la plupart des cas », contre 36 % qui ont déclaré qu’il [devrait être] illégal « dans tous les cas ou la plupart des cas ». Le sentiment pro-avortement était plus élevé dans tous les pays étudiés, à l’exception de la Pologne (56 %), de l’Indonésie (13 %), d’Israël (51 %), de l’Afrique du Sud (41 %), du Kenya (11 %), du Nigeria (8 %), de l’Argentine (53 %), du Mexique (46 %) et du Brésil (26 %).
Parmi les Canadiens, 78 % ont déclaré que l’avortement devrait être généralement légal, contre 17 % généralement illégal. Le soutien à l’avortement légal dépasse les 70 % dans tous les pays européens interrogés, à l’exception de la Pologne.
Lire la suiteUne majorité de Canadiens est favorable à l’obligation pour les enseignants d’informer les parents de « l’identité de genre » de leur enfant
Blaine Higgs, premier ministre du Nouveau-Brunswick.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
16 juin 2023 (LifeSiteNews) — Un récent sondage a révélé que la plupart des Canadiens sont d’accord avec le premier ministre du Nouveau-Brunswick sur l’importance pour les enseignants de tenir les parents informés de l’identification de genre de leurs enfants et de leur choix de pronoms à l’école.
Selon un sondage national mené par Léger en mai, près de trois Canadiens sur cinq estiment que les écoles doivent informer les parents si leur enfant envisage de « changer » de pronoms de genre ou de « transitionner » à l’école.
« Près de trois Canadiens sur cinq (57 %) sont d’accord que les écoles devraient informer les parents », indique le sondage. « En ce qui concerne le désir de leur enfant de changer de sexe ou de pronoms, moins d’un tiers (18 %) estime que les écoles ne devraient pas être tenues d’en informer les parents ».
Le sondage a révélé que les Canadiens âgés de plus de 55 ans et ceux qui ont des enfants à la maison étaient les plus susceptibles de se prononcer en faveur de l’obligation pour les écoles d’informer les parents si leur enfant choisit de « changer de sexe ».
D’autre part, les 18 % qui pensent que les parents ne devraient pas être informés sont pour la plupart âgés de moins de 55 ans et de sexe féminin.
De même, 47 % des personnes interrogées estiment que les écoles devraient être tenues de « mettre à la disposition des parents, à l’avance, des documents sur les sujets liés au sexe et à la race. Moins d’un tiers (31 %) estime que les écoles ne devraient pas être tenues de le faire ».
Ce soutien à l’information des parents survient après que le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, ait été critiqué par les militants LGBT pour avoir révisé la politique de la province en matière d’identité sexuelle qui permettait aux écoles de cacher aux parents le statut « transgenre » de leurs élèves.
Lire la suiteSondage : 60 % des femmes auraient refusé l’avortement avec plus de soutien affectif ou financier
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : ryanking999/Adobe Stock
L’étude du Charlotte Lozier Institute (CLI), institut de recherche et d’éducation pro-vie à but non lucratif, a révélé, lundi, à la suite d’un sondage auprès de femmes ayant eu recours à l’avortement que 60 % des participantes auraient poursuivi leur grossesse si elles avaient reçu plus de soutien affectif ou financier. 24 % des sondées ont déclaré que leur décision avait été « contrainte » ou « non désirée ». Des chiffres qui font sûrement frémir les gardiennes du Planning Familial, mais qui n’en sont pourtant pas moins vrais : dans une longue publication, l’institut explique de manière concrète ses méthodes de sondage. Une transparence qui n’a pas été l’apanage de toutes les études sur le « libre choix » et les conditions psychologiques de ces femmes, au seuil de leur avortement.
C’est très clair : avec un minimum de soutien, la majorité d’entre elles seraient aujourd’hui mères de ces enfants disparus.
L’avortement : la bonne décision pour 99 % des femmes ?!
On nous a pourtant longtemps soutenu l’inverse. Les femmes veulent l’avortement, les femmes avortent, et les femmes sont heureuses d’avoir avorté. Si sont constamment évoqués les risques de l’avortement quand il n’est pas légalisé, les risques de l’avortement légalisé n’existent pour ainsi dire pas : la femme n’en sera jamais triste, n’en portera pas les conséquences à court et long terme.
Lire la suiteLes Canadiens s’opposent à l’extension de l’euthanasie
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Laurie Gagnon pour Campagne Québec-Vie — Photo : cookie studio/Freepik
Les Canadiens sont profondément divisés sur l’euthanasie
Un communiqué de presse concernant un récent sondage réalisé par Researchco.com au sujet de la loi canadienne sur l’euthanasie indique que « les Canadiens soutiennent le statu quo sur l’AMM ».
En analysant les données, j’en conclus que les Canadiens s’opposent à toute nouvelle extension de l’euthanasie et que leur soutien en faveur de la loi canadienne sur l’euthanasie a chuté.
Le communiqué de presse de Researchco indique que 73 % des Canadiens sont satisfaits de la loi actuelle sur l’AMM, ce qui représente une baisse de 3 % par rapport à 2021. Mais le sondage montre que seulement 48 % des Canadiens sont satisfaits de la loi actuelle, tandis que 25 % sont indécis et que 27 % sont insatisfaits, les indécis n’étant pas nécessairement satisfaits de la loi. Les Canadiens sont profondément divisés sur le sujet.
C’est au Québec que le soutien pour la loi actuelle est le plus élevé, 53 % des personnes interrogées se déclarant satisfaites, alors que c’est en Alberta qu’il est le plus faible, seulement 40 % des personnes interrogées se disant satisfaites.
Lire la suiteLes sondages ne devraient pas ignorer la douleur et le chagrin des femmes ayant avorté
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Kenstocker/Adobe Stock
5 décembre 2022 (Campaign Life Coalition) — Angelina Steenstra avait 15 ans en 1972 lorsqu’elle a été victime de viol. Elle s’est sentie abandonnée, sale, sans valeur, honteuse, imparfaite, impuissante et sans espoir. Elle a découvert quelques semaines plus tard que ce viol l’avait laissée enceinte.
Ses amies l’ont encouragée en lui disant que l’avortement était la solution. Elles lui ont dit que cela résoudrait son problème. Elle a cédé à ses peurs. Malgré tout ce qui en elle lui disait d’arrêter, elle a procédé à l’intervention. Alors que l’aspirateur aspirait la vie humaine hors de son utérus, elle a ressenti instantanément de la peine, de la culpabilité et des remords. En même temps, elle a ressenti une haine intense envers elle-même à cause de ce qu’elle venait de faire. Elle a réalisé qu’elle venait de franchir une ligne pour toujours. Elle s’est mise à pleurer. On lui a donné un sédatif. Mais rien ne pouvait la calmer ou la consoler.
La seule façon pour Angelina de supporter la nouvelle réalité après l’avortement a été d’abord de la nier, et ensuite de chercher à échapper à la douleur par la drogue, l’alcool, la promiscuité sexuelle, le travail effréné et la faim, s’accordant à peine du café et deux paquets de cigarettes par jour.
Son déni et son évasion étaient maintenus par le monde qui l’entourait et qui lui répétait sans cesse que l’avortement n’était « pas une grosse affaire » et que les femmes n’avaient tout simplement pas de « regrets ». En suivant aveuglément cette affirmation, elle s’est enfermée dans une prison de comportements d’autopunition, d’idées suicidaires et de colère déplacée. Elle essayait d’oublier l’avortement, mais certaines choses en déclenchaient le souvenir, en particulier la fraise du dentiste, les aspirateurs et les médecins.
Angelina n’a commencé à guérir que des années plus tard, lorsqu’elle a réalisé que son déni et sa fuite étaient en train de la tuer à petit feu. Elle a enfin commencé à affronter la vérité sur ce qui s’était passé dans cette usine d’avortement de Buffalo, dans l’État de New York. Elle s’est rendu compte qu’elle avait volontairement participé avec d’autres à l’élimination d’une personne — son propre enfant. Et elle a compris que c’était mal.
Le conflit intérieur d’Angelina a finalement pris fin lorsque, confrontée à la vérité, elle a demandé pardon à Dieu, à son enfant et aux personnes qui ont joué un rôle important dans sa vie à l’époque.
En réfléchissant à son expérience, Angelina voit maintenant que l’avortement n’a résolu aucun problème. Il a mis fin à la vie de sa fille, qu’elle a appelée Sarah Elizabeth, et a tué une partie de sa propre personne, la laissant avec un cœur profondément blessé qui a besoin de guérison.
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