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La ministre Yolande James veut interdire la religion dans les garderies familiales

Le parti libéral québécois et la ministre Yolande James continuent leur travail de sape de l'autorité parentale, se substituant à cette autorité dans l'éducation des enfants. La liberté religieuse dans ses justes limites, droit fondamental de tout citoyen, est mise à mal de nouveau par un gouvernement se mêlant de ce qui ne le regarde pas.

Le parti libéral, après avoir interdit toute forme de religion dans les centres de la petite enfance et les garderies privées, veut étendre cette mesure au milieu familial.

La présentation du journal La presse laisse sous-entendre qu’il s’agit d’une problématique du milieu juif, prétexte à l’abrogation de tous droits religieux, comme on l’a fait également à partir de la religion musulmane. Il est clair qu’il y a une volonté de restreindre de plus en plus la liberté de pratique religieuse dans la vie publique par le gouvernement. Un sondage est en marche sur le site du journal La Presse (à la droite, il faut descendre un peu).

Voir l'article du journal La Presse du 18 novembre 2011

Il faut agir. Appelez le bureau de la Ministre James dès maintenant: Un coup de téléphone peut faire une différence!

Coordonnées de Yolande James, ministre de la famille, Parti libéral du Québec

Ministère de la Famille et des Aînés
425, rue Saint-Amable
4e étage Québec (Québec)
G1R 4Z1
Téléphone : 418 643-2181
Télécopieur : 418 643-2640

Circonscription
15000, boulevard de Pierrefonds
Bureau 302
Pierrefonds (Québec)
H9H 4G2
Téléphone : 514 626-1749
Télécopieur : 514 626-3782

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La fertilité décroît avec l'âge

Sylvia Galipeau du journal La Presse lance ce débat sur le site du journal La Presse du 18 novembre. Bien qu'il soit toujours possible pour une femme dans la quarantaine de donner naissance à un enfant, plusieurs doivent utiliser des techniques déraisonnables comme la fécondation in vitro.

Vous pouvez laisser votre commentaire sur le site.

 

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Un article de Richard Martineau très pertinent sur l'euthanasie

Richard Martineau sur son blogue Franc-Parler du 17 novembre traite de la question de l'euthanasie et pose ce problème très réaliste:

"C’est ce qui m’inquiète, dans tout ce débat.



La possibilité bien réelle et pas du tout farfelue qu’on commence à soutenir le suicide assisté pour des motifs humanitaires, mais qu’on finisse par le faire pour des motifs économiques."

Vous pouvez laisser votre commentaire après l'article.

Lire l'article

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La CECC commente le rapport du comité parlementaire sur les soins palliatifs et les soins de compassions

Mgr Richard Smith, président de la Conférence des évêques catholiques du Canada a commenté ce rapport ce 17 novembre :

"Notre Conférence a toujours affirmé, clairement et à maintes reprises, que la culture de la vie implique que chaque personne se sente responsable du bien-être d’autrui jusqu’à sa mort naturelle.  « En réponse aux souffrances physiques, affectives et morales des personnes de tous âges, particulièrement les grands handicapés et les grands malades, dont ceux en phase terminale, nous appelons tous les Canadiens et toutes les Canadiennes, y compris nos députés, à promouvoir… les soins palliatifs et les soins de fin de vie (Déclaration de la CECC, 22 septembre 2005). »

Lire la déclaration

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Des médecins belges veulent "assouplir" les règles permettant l'euthanasie

Treize personnalités publiques belges veulent permettre une plus grande accesibilité à l'euthanasie. En fait, la dernière limite sera celle de donner le droit à toute personne d'exiger le suicide assisté.

Jeanne Smits commente cette nouvelle sur son blog

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Sur les garderies et leur influence sur les enfants...

On entend beaucoup parler d’une possible grève des centres de la petite enfance. Doit-on augmenter les salaires? Doit-on créer de nouvelles places en garderie? Ne serait-il pas mieux de plutôt redistribuer aux parents l’argent investi dans les garderies? N’est-ce pas à eux de choisir ce qui sera le mieux pour l’enfant?
 
Aussi, pour certains fonctionnaires, l’apport des garderies serait le nec plus ultra de l’éducation des enfants. Peu importe que des pédiatres chevronnés aient fait retentir la sonnette d’alarme, ils continuent de proposer la garderie comme le mode préférentiel d’éducation des enfants.
 
Pourtant, une bombe parue il y a 5 ans avait ébranlé les colonnes du temple gouvernemental. L’éditorialiste Nathalie Collard et le médecin-pédiatre Jean-François Chicoine remettaient en cause les dogmes gouvernementaux. Les garderies ne seraient pas appropriées en général pour les enfants de moins de 2 ans. Elles ne seraient pas adaptées à tous les enfants également. Certains seraient mieux de demeurer avec leurs parents.
 
Voici quelques citations de « Le bébé avec l’eau du bain, comment la garderie change la vie de vos enfants », que nos empêcheurs de tourner en rond avaient écrit en 2006 :
 
Dr Chicoine :
— « J’ai eu le malheur de dire à la télé que la garde non parentale d’un enfant pourrait avoir des conséquences sur son développement, sur sa vie de famille, sur sa vie scolaire, sur son adolescence, sur sa vie amoureuse, sur sa personne, sur l’ordre social, sur l’avenir du monde. Le malheur de dire que pendant les deux premières années de sa vie, un bébé était généralement mieux avec ses parents qu’avec n’importe qui d’autre sur sa planète. Le malheur d’insister sur la dynamique parents-enfants en soulevant les extraordinaires découvertes des années 1990 en matière de connaissance sur les cerveaux en croissance. Le malheur de dire qu’il y avait des recherches renversantes sur cette pierre angulaire de la vie qu’est le lien interactif avec la planète Parent. Le malheur de parler pour les enfants et d’inviter leur famille à mieux leur parler. » (p.16)
 
— « L’idée trop élémentaire, mais fort commode, d’une garderie universelle pour tous a l’avantage de ne pas être compliquée. Qu’elle soit fausse ou inadaptée au devenir de plusieurs enfants semble moins déranger que n’importe quel scandale politique dont on a pourtant l’accoutumance. » (p.17)
 
— « Sous des allures progressistes, les acquis sociaux envisagés par les tenants de la ligne dure des défenseurs de la garde non parentale sont en retard sur les connaissances nouvelles sur le cerveau de l’enfant. En retard sur la pédiatrie, la biologie, l’éthologie, la neuropsychologie, l’anthropologie sociale… en retard quoi! Encore faudrait-il qu’ils l’admettent! » (p.19)
 
Nathalie Collard :
— « mais j’ai aussi vu des mères au cœur brisé qui auraient aimé prolonger leur congé parental, mais qui n’en avaient pas les moyens; des mères qui auraient préféré faire garder leur enfant à temps partiel, mais qui ne le pouvaient pas parce que “le système” ne le permettait pas. Bref, j’ai vu beaucoup de parents frustrés face à un programme, celui des garderies, qui ne semble pas pouvoir s’adapter aux besoins des familles qu’il est supposé aider. » (p.23)
 
— « Nous manquons de temps pour voir nos amis, pour faire de longues promenades, pour dormir l’après-midi, pour regarder le temps qui passe. Nous manquons de temps et nous communiquons ce manque de temps à nos enfants.
 
“— Maman, raconte-moi une histoire, viens jouer avec moi, prends-moi dans tes bras…
— J’ai pas le temps, mon amour, maman va être en retard.
Maintenant, imaginez un instant la situation contraire :
-Chérie, viens voir maman. Viens me donner un beau bisou…
— Désolé, maman, j’ai pas le temps…” (p.29)
 
— “Il y a une expression qui revient sans cesse lorsqu’on aborde la question de l’offre des services de garde et des politiques familiales et c’est ‘les besoins des parents’. Combien de fois avez-vous entendu cette phrase : ‘Les garderies doivent répondre aux besoins des parents’?
 
Or de quel besoin parle-t-on? Du besoin de passer du temps avec son enfant? Du besoin d’être présent dans ses activités, de l’accompagner dans son développement, de ne pas être trop stressé afin de pouvoir lui offrir une présence positive?
 
Pas du tout. Lorsqu’on parle des besoins des parents, on fait surtout référence aux besoins de faire garder les enfants pour pouvoir aller travailler.
 
Dans ce cas, ne vaudrait-il pas mieux parler des besoins de l’entreprise?
 
La vérité, c’est qu’on a complètement tordu la notion de besoins des familles. Aujourd’hui, on demande – que dis-je, on exige- des familles et surtout des enfants qu’ils s’adaptent aux exigences de notre économie qui n’est plus capable de s’arrêter, qui fonctionne 24 heures sur 24 et qui nous demande de produire pratiquement 24 heures sur 24.” (p.33-34)
 
N’entend-on pas certaines gens réclamer des garderies sur les lieux de travail?
 
Les garderies peuvent apporter des éléments bénéfiques, à condition de compléter la présence parentale, pas de s’y substituer. Dans ce dernier cas, c’est l’enfant qui en paie le prix. Si vous avez l’occasion de jeter un coup d’œil sur le livre du Le Bébé et l’eau du Bain, vous trouverez maintes explications des dommages possibles causés par le système de garderie québécois. Si vous rencontrez un fonctionnaire du ministère de la Famille, rendez-lui service, donnez-lui un exemplaire du livre…
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Ginette Leblanc, trifluvienne, veut aller en cour pour exiger de l'aide pour se suicider

La peur de la mort fait partie de notre vie et de plus en plus de gens désirent que la mort se passe... inaperçue... Campagne Québec-Vie vous présente tout un dossier préparé par l'OCVF répondant à plusieurs des arguments utilisés pour tenter de faire légaliser l'euthanasie et le suicide assisté.

Voir l'article sur Ginette Leblanc

Laisser un commentaire sur le site du journal Le Nouvelliste de Trois-Rivières

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Un référendum au Misissippi pour reconnaître le statut de personne de l'enfant à naître

Les électeurs du Mississippi auront l'opportunité de réparer la plus grande des injustices: la non reconnaissance de l'enfant à naître comme étant une personne.

Richard Hétu du journal La Presse du 7 novembre rapporte et commente cette nouvelle.

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Une future médecin berce bénévolement les bébés à Ste-Justine

Une tradition de grand-maman berceuse se poursuit à l'hôpital Ste-Justine. Mais on peut être grand-maman a tout âge:

"Tous les jeudis soir, quand ses amis sortent prendre un verre, Léa Palardy se dirige vers le quatrième étage de l’Hôpital Sainte-Justine. La jeune femme de 19 ans revêt un sarrau, se lave les mains, s’installe dans sa chaise berçante… et attend qu’une infirmière lui dépose un bébé dans les bras."

Voir l'article du journal Métro du 7 novembre

Malheureusement, dans ce même hôpital, pas très loin de cette belle scène nous en assistons à une qui est des plus horribles à contempler: l'avortement tardif.

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"Il n'appartient à personne de juger si un individu est déjà ou encore une personne" dixit Benoit XVI

Benoit XVI, comme son prédecesseur Jean-Paul II, comme Mère Teresa également, comme les saints des dernières décennies, n'a pas peur de parler haut et fort pour dénoncer le crime abominable de l'avortement. Le Service d'Information du Vatican   cite ses propos sur le sujet, s'adressant au nouvel ambassadeur d'Allemagne.

"De nos jours, certains droits de la personne sont remis en cause. Or, pour parler d'un sujet de la plus haute importance, il n'appartient à personne de juger si un individu est déjà ou encore une personne, et encore moins de manipuler l'homme, de le façonner en quelque sorte. Seule une société défendant et respectant sans conditions la dignité de toute personne, de sa conception à sa mort naturelle, peut être considérée comme humaine... Si le Saint-Siège intervient au plan législatif lorsqu'il s'agit de la dignité humaine, notamment en défense de l'existence prénatale, ce n'est pas pour imposer à autrui la foi de l'Église mais pour défendre des valeurs d'évidence fondamentale pour l'humanité entière, des vérités touchant tout être humain".  

  Puis le Pape a évoqué la discrimination de la femme, aggravée dans le monde soi-disant occidental par des tendances matérialistes et hédonistes: "Un rapport qui ne tiendrait pas compte du fait que l'homme et la femme ont la même dignité, constitue un offense à l'humanité. Il est grand temps de combattre énergiquement la prostitution, ainsi que la diffusion de la pornographie, notamment via Internet"

Voir l'article

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