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Mark Carney, catholique pratiquant, trahit sa foi en défendant l’avortement


Mark Carney.

Par Pete Baklinski (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture décran vidéo/Juno News

Dimanche dernier [le 23 mars, 2025], après avoir assisté à la messe catholique, le premier ministre Mark Carney s’est vu demander par un journaliste s’il soutenait « explicitement le droit de choisir d’une femme ». Avant de poser cette question, le journaliste avait mentionné que M. Carney était un « catholique pratiquant ayant assisté à l’église » plus tôt dans la matinée.

Carney, trébuchant presque sur ses mots tant il avait hâte de répondre, a déclaré : « Je soutiens absolument le droit d’une femme de choisir, sans aucune réserve, et je le défendrai comme le Parti libéral l’a toujours défendu — fièrement et constamment ».

Oui, de manière horrible, Carney, catholique pratiquant, soutient le massacre barbare des plus faibles et des plus vulnérables parmi nous — les enfants à naître. Il soutient cela malgré l’enseignement clair de l’Église catholique, selon lequel tuer les enfants à naître constitue un grave mal moral.

« Depuis le premier siècle, l’Église affirme le mal moral de tout avortement provoqué », affirme le Catéchisme de l’Église catholique. « Cet enseignement n’a pas changé et reste immuable. L’avortement direct, c’est-à-dire voulu comme une fin ou un moyen, est gravement contraire à la loi morale ».

La réponse de Carney constitue une trahison de sa foi catholique. Jésus est clair : ce que l’on fait au plus petit d’entre nous, c’est à Lui qu’on le fait. Ceux qui prétendent suivre Jésus tout en soutenant la mise à mort des bébés à naître, certainement les « plus petits » d’entre nous, le font également à Jésus.

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Carney révèle également le genre d’homme qu’il est. Seuls les faibles, les lâches, refusent de défendre la vie des innocents visés par la mort. Seuls les cruels défendent leur mort. L’homme véritable est appelé à protéger les faibles, à donner sa vie s’il le faut. En défendant l’avortement, Carney renonce à sa propre dignité d’homme.

Sa réponse révèle aussi sa complète ignorance sur la question de l’avortement au Canada. En réalité, il n’existe aucun « droit à l’avortement » au Canada, pas plus qu’en droit international.

L’avortement a d’abord été permis au Canada par une loi adoptée en 1969, sous certaines conditions restreintes. Avant cela, pratiquer un avortement était considéré comme un crime en vertu du Code criminel. En 1988, dans l’arrêt Morgentaler, la Cour suprême a invalidé la loi de 1969 parce qu’elle était jugée « inconstitutionnelle », estimant que les critères détaillés pour obtenir un avortement violaient le droit à la « sécurité de la personne » garanti par la Charte canadienne.

Ni la Charte canadienne des droits et libertés, ni la Cour suprême du Canada n’ont établi un droit à l’avortement. La Cour suprême a plutôt demandé au Parlement, en 1988, d’élaborer une nouvelle loi, ce qui ne s’est jamais concrétisé, bien qu’une tentative ait été faite en 1989 avec le défectueux projet de loi C-43 (Loi concernant l’avortement), finalement rejeté.

Ainsi, contrairement aux affirmations de Carney, il n’existe aucun « droit de choisir » de tuer un enfant à naître au Canada. Ce qui existe est un vide juridique complet, laissant l’enfant à naître sans aucune protection légale. L’avortement est accessible sur demande, pour n’importe quelle raison, ou sans raison particulière. Les enfants à naître peuvent être éliminés dès leur conception jusqu’au moment où ils s’apprêtent à quitter le sein maternel. Même tuer un enfant pendant l’accouchement est légalement permis au Canada.

Prions pour cet homme égaré qui défend la mise à mort de nos frères et sœurs créés à l’image de Dieu.

Prions aussi pour que les évêques catholiques interviennent avec fermeté. Ils doivent publiquement appeler Carney à la repentance, et s’il refuse, envisager des sanctions appropriées pouvant aller jusqu’au refus de la Sainte Communion et, en dernier recours, l’excommunication.

Les enfants à naître dépendent de nous : ayons le courage de défendre la vie avec audace !

Pete Baklinski
Directeur des communications
Coalition nationale pour la vie

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