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Les exemptions au cours d’éducation à la sexualité seront très rares

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Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de la photo : Pixabay/Auteur : stevebp

Le ministre de l'Éducation, Sébastien Proulx a annoncé que le nouveau cours d'éducation à la sexualité (malsaine), sera enseigné à tous les enfants, de la maternelle jusqu'au secondaire 5, pour un ratio de 5h 15 par année. Le contenu ne sera pas obligatoire à la maternelle. Cependant, «il ne saurait être question qu'un élève en soit privé», car ce malfaisant enseignement repose sur un «large consensus social» au Québec (quand nous a-t-on consultés?). Le Journal de Montréal nous apprend quelle est la teneur du document, envoyé par le ministère de l'Éducation aux commissions scolaires, précisant les conditions pour l'exemption :

«Un parent qui juge que son enfant est trop jeune pour entendre parler de certaines notions en classe n’aurait donc pas droit à une exemption.

[…]

Plusieurs étapes doivent toutefois être franchies avant qu’une demande ne soit acceptée.

Chaque école devra d’abord transmettre aux parents de l’information sur les contenus qui seront enseignés et répondre à leurs questions.

Les parents qui souhaitent toujours par la suite retirer leurs enfants de cet enseignement devront rencontrer la direction, avant de faire une demande écrite.

Ceux qui invoquent des motifs psychologiques devront fournir un avis produit par un professionnel. Ceux qui craignent plutôt que ce contenu ne porte atteinte aux droits et libertés de leurs enfants devront produire une déclaration sous serment - faite en présence d’un avocat ou d’un notaire par exemple - en précisant de quelle manière ce droit ou cette liberté serait entravé.

Si le motif est jugé "sérieux", la direction d’école pourra alors accorder l’exemption.

Il s’agira toutefois de "cas d’exception" puisque la procédure est "stricte", explique-t-on au cabinet du ministre.

"L’objectif, c’est qu’il n’y ait pas d’exemption", précise son attachée de presse, Marie Deschamps.»

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