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Les « drag-queens », le symptôme de la transgression

Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie

Un nouveau phénomène se répand à une vitesse fulgurante dans nos sociétés, c’est le transgenrisme, dont la manifestation la plus colorée est celle des « drag queens » (ou reines de la drague), ces hommes travestis au maquillage clownesque qui se pavanent désormais sur les plateaux de télé, dans les festivals d’été et dans les écoles (un conseil scolaire a payé une « reine » du nom de Barbada 1 400 $ pour une seule prestation dans une école).

Ces drags queens se prolifèrent à un tel point qu’on les invite jusqu’aux plus profonds recoins du Québec, comme à la paroisse Sacré-Cœur, de la municipalité du même nom sur la Côte-Nord, dans le cadre d’un festival d’été. Heureusement que cette fois-ci, la possibilité qu’un tel spectacle puisse profaner un temple de Dieu avait soulevé un tel tollé (une campagne de pétition de Campagne Québec-Vie comptant près de 1500 signatures en deux jours aidant), que les marguilliers de la paroisse ont décidé de ne plus rendre disponible leur église pour la prestation des drag queens.

Pourquoi cet empressement de la part des écoles, des médias et des festivals d’inviter de telles personnes ? La réponse c’est que les drag queens, représentants colorés de la mouvance transgenre, mouvance qui nie que le corps humain détermine l’identité sexuelle d’une personne (affirmant donc qu’une personne puisse être « biologiquement » mâle mais « psychiquement » femelle), ne sont que la dernière manifestation d’une mouvance séculaire de révolte contre l’ordre naturel voulu par Dieu. Cette révolte, dont la continuation et l’approfondissement est nécessaires pour la préservation des acquis de la nouvelle caste au pouvoir (pouvoir financier, élites politique et culturelle), doit donc être revigorée et explicitée continuellement, par une propagande médiatique tapageuse et envahissante. Les drag queens sont donc aujourd’hui à la fine pointe d’une Révolution contre Dieu et sa Loi qui finira par les écarter au profit de nouveaux représentants, encore plus subversifs.

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Depuis les 50 à 60 dernières années au Québec et au Canada, cette Révolution, tel un torrent d’eau boueuse, ne cesse de déferler sur les fondements de notre civilisation — le Décalogue et la vie de grâce nous permettant d’y adhérer — érodant tous les Commandements de Dieu, en commençant en 1968 par la permission du divorce, et en 1969 par la dépénalisation de l’avortement, de la contraception et de l’homosexualité, sous Pierre-Elliott Trudeau. En 2010, le « mariage gay » a été reconnu, rendant du coup caducs, au niveau légal, les Commandements contre l’impureté sexuelle. En 2015 au Québec, et en 2016 pour le reste du Canada, l’euthanasie fut permise, faisant qu’au Québec aujourd’hui jusqu’à 7 % de tous les décès annuels sont des suicides par euthanasie (un record mondial). Les drag queens, pour leur part, ont le rôle d’initier le peuple au transgenrisme, à la « fluidité sexuelle » et à la sexualité précoce, ouvrant ainsi la voie à la pédophilie, déjà pratiquée (comme le décrit le récent film documentaire « The Sound of Freedom ») par une part non négligeable de la population mondiale, qui exploite affreusement des enfants meurtris que l’on fait parvenir d’Amérique latine ou de lieux chaotiques comme l’Ukraine. Si cette mouvance n’est pas contrée, attendez-vous à voir les drag queens remplacés par des promoteurs décomplexés de la pédophilie, dans nos écoles, sur les plateaux de télé et dans nos festivals d’été.

Certains se demanderont : « comment faire pour renverser ces tendances lourdes vers la décadence répugnante du néopaganisme ? » Une citation d’un apologète chrétien, Joshua Charles, ancien rédacteur de discours pour la Maison-Blanche (sous Trump) et récemment converti au catholicisme, résume en quelques phrases le programme de restauration de Campagne Québec-Vie : « Par le pouvoir des sacrements, l’Église s’est répandue, le paganisme a été vaincu, la civilisation chrétienne s’est construite et la connaissance du Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob s’est répandue jusqu’aux extrémités de la terre par l’intermédiaire de l’Église catholique. L’ancien ordre mondial — bien qu’il ne soit pas entièrement mort, attaquant l’Église de l’extérieur par des non-croyants et la minant de l’intérieur par l’hérésie et le schisme — a néanmoins été contenu, tenu à distance, tandis que les élus de Dieu de tous les coins de la terre ont été (et sont) amenés dans l’Église. C’était la civilisation sacramentelle de la chrétienté qui réunissait la nature et la grâce. … » (Traduit de l’anglais avec DeepL)

Les horreurs d’un néo-paganisme contemporain issu du rejet de Dieu et de sa loi dans nos sociétés ne peuvent être éliminées que par une restauration de la « civilisation sacramentelle de la chrétienté », c’est-à-dire la société chrétienne, ce qui requiert d’abord une conversion à la vraie foi d’une pluralité de nos contemporains. C’est pourquoi l’organisme pro-vie que nous sommes avons choisi, pour véritablement être en mesure de mener à bien le combat pour la vie humaine et la famille, l’objectif de restaurer notre société à son état de société chrétienne. Merci de nous aider à continuer à mener ce combat salutaire !

Vôtre pour la Vie,

Georges Buscemi, Président de Campagne Québec-Vie



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