« Gabrielle » Bouchard, ex-président de la FFQ.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
« Gabrielle » Bouchard, homme se prétendant femme, président de la très féministe Fédération des femmes du Québec a remis sa démission mardi dernier, 23 juin, document qui serait en vigueur depuis le vendredi 19 juin. Selon Radio-Canada :
La présidente de la Fédération des femmes du Québec (FFQ), Gabrielle Bouchard, a remis sa démission. L’annonce en a été faite aux membres mardi dans l’infolettre de l’organisme, mais la démission est en vigueur depuis vendredi, selon l’organisme.
Sans surprise, il semble qu’une certaine agitation au sein de la FFQ serait peut-être à l’origine de la démission de M. Bouchard. D’après Radio-Canada :
Selon les informations obtenues par La Presse canadienne, ce départ ne serait cependant pas survenu dans des circonstances sereines. Mme Bouchard n’a pas pu être jointe pour faire plus de commentaires.
Il faut dire qu’une partie des adhérentes de cet organisme ne voyait sans doute pas d’un bon œil cet homme à la tête de leur mouvement féministe, ayant sans doute un reste de féminité (qu’abhorre le féminisme) qui ne pouvait accepter les conclusions fatales du féminisme, ou que les femmes soient les égales en tout des hommes, ce qui amène les hommes à être les égaux en tout aux femmes, et, pourquoi pas, rendu à ce point d’absurdité, que les hommes et les femmes puissent être semblables en tout, ce qui est dans les faits la doctrine du transgenrisme ; d’où les hommes-femmes et femmes-hommes.
En 2019, « Gabrielle » Bouchard, alors président de la FFQ, s’était distingué (si l’on peut dire) sur Twitter en déclarant qu’on devrait discuter de la stérilisation obligatoire des hommes à 18 ans… histoire de provoquer prétendit-il par la suite.
Une autre fois en 2020, toujours sur Twitter, il avait lancé : « Les relations de couple hétérosexuel sont vraiment violentes. En plus, la grande majorité sont [sic] des relations basées sur la religion. Il est peut-être temps d’avoir une conversation sur leur interdiction et abolition ». Il fit par la suite de plates excuses pour ses propos déplacés.
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