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Le Premier Ministre Viktor Orbán réforme les manuels scolaires d'histoire

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Parliament of Hungary/Wikimedia Commons

Ou du moins c'est ce que fait son gouvernement. Mais tout est là, qui tient l'école, tient l'avenir de son pays (c'est pourquoi le gouvernement du Québec ne lâchera pas l'école) et s'ils peuvent mettre un peu de vérité dans l'enseignement public, ce sera une excellente chose, tant qu'à avoir un système scolaire public.

Toujours est-il que d'après la gauche offusquée (qui pourrait être drôle si elle n'avançait des idées dangereuses), ces manuels d'histoire produits par le gouvernement Orbán seraient mauvais... pour une raison quelconque. Car, semblerait-il, Viktor Orbán chercherait à transformer le système éducatif et le pays en quelques choses chrétiennes et nationalistes, ce qui représente un crime gravissime à leurs yeux. Remarquez que la Hongrie est déjà chrétienne en bonne partie, et Viktor Orbán ne fera, en termes de réforme, que rendre son pays plus chrétien.

Autre chose reprochée au gouvernement Orbán, il a chassé une université américaine (financée par ailleurs par George Soros, grand agitateur milliardaire) qui donnait entre autres des cours d'« études du genre ». Extrait de CNN :

Feuilletez un livre d'histoire hongrois destiné aux élèves du secondaire, et vous n'aurez aucun doute quant à l'opinion du gouvernement sur les migrants.

La section "Multiculturalisme" s'ouvre sur une photo de réfugiés campés sous une gare de Budapest. Accompagnant l'image, s'étant un discours de l'homme fort, le Premier ministre Viktor Orbán, sur les dangers de la migration : "Nous considérons comme une valeur le fait que la Hongrie soit un pays homogène, dit-il.

Ces manuels scolaires approuvés par l'État s'inscrivent dans le cadre d'un remaniement gouvernemental du système éducatif hongrois, ce qui provoque un profond malaise chez certains enseignants et éditeurs.

Les critiques disent que les manuels scolaires ne sont que l'un des fronts de la croisade gouvernementale pour reformer le système éducatif — et le pays — à son image chrétienne et nationaliste. M. Orbán a également mis au rebut des programmes universitaires qui ne correspondaient pas à ses valeurs conservatrices, forçant ainsi l'une des principales [vraiment ?] universités hongroises [américaine] à transférer ses cours à l'étranger.

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