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La joie qu’apporte un enfant, même atteint d’anencéphalie


Michael et son frère atteint d'anencéphalie.

Par Newsroom (LiveActionNews) ― traduit par Campagne Québec-Vie

Students for Life Ireland a récemment diffusé l’histoire de Michael et de son frère John Paul Jr. Michael avait sept ans quand il a appris que sa mère attendait son sixième enfant. Il avait quatre sœurs et était tout excité d’apprendre que sa mère aurait un garçon : « Au court de la grossesse, on a appris que ça allait être un garçon et j’étais tout énervé! A-t-il révélé à Students for Life Ireland. Par contre, ils ont tout de suite vu qu’il avait une maladie, appelée anencéphalie et que ça voulait dire qu’il ne vivrait pas longtemps une fois né. J’étais découragé. Je voulais tellement, tellement avoir un frère. Au moment où j’en recevais un, on allait me l’enlever tout de suite après. »

L’anencéphalie est une maladie qui affecte le bon développement du crâne et du cerveau. Les bébés qui en sont atteints ne vivent généralement que de quelques heures à quelques semaines. La famille avait le cœur brisé, mais ils ont tout fait pour profiter du temps qu’il avait avec bébé John Paul Jr pendant qu’il était encore en sécurité dans le ventre de sa mère. Ils lui parlaient et l’incluaient dans les activités familiales autant qu’ils le pouvaient pour bâtir des souvenirs.

John Paul Jr a vécu pendant 17 minutes après sa naissance et, pour ce temps, il n’aura été qu’entouré d’amour.

« J’ai pu prendre mon petit frère, » dit Michael. « Je n’arrive pas à décrire comment je me sentais, mais tout en moi disait “Oui! Merci!” Même si je suis encore triste à cause de la perte, le moment pendant lequel j’ai tenu mon frère valait tout l’or du monde pour moi. Le fait que sa vie ait été si courte me l’a fait apprécier encore plus. Même s’il n’a vécu que 17 minutes, on a réussi à lui donner une vie remplie d’amour et j’aurais aimé qu’elle ait été plus longue. »

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Michael a toujours été fier que sa mère ait communiqué l’histoire de John Paul Jr à la ProLife Campaign. Cependant, il ne se sentait pas autant attiré par le mouvement pro-vie qu’elle, du moins, pas au début.

« Mais quand j’ai appris qu’au Royaume-Uni 90 % des bébés diagnostiqués de la trisomie 21 étaient avortés, j’étais vraiment fâché. Je me rappelle m’être dit : si seulement ils savaient ce que ça fait de les prendre dans ses bras ; de savoir qu’ils sont de notre sang,notre famille et qu’il y a de la beauté dans la vie de ces personne[s], comme ce l’était pour moi quand John Paul Jr est né, ils ne feraient pas ça. »

C’est devenu le fer de lance de la position pro-vie de Michael. Il dit : « On ne peut pas juger une vie et décider si cette personne ne doit pas vivre. Peu importe à quel point une vie peut être courte, peu importe la douleur qu’elle peut apporter, il y aura de l’amour et de la joie aussi. Même en petite quantité, ils l’emportent sur la douleur et la perte. »



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