En réponse à l’arc-en-ciel des fiertés LGBTQIA+, l’Irlande catholique arbore le Sacré-Cœur de Jésus
Par reinformation.tv
Les Irlandais en ont vraiment assez de la véritable infestation d’arc-en-ciel LGBT qu’arborent leurs bâtiments publics, de l’aéroport à la grande poste de Dublin en passant par les ministères ; à tel point que plus d’un millier de fidèles ont décidé d’arborer le Sacré-Cœur sur les drapeaux irlandais dans de multiples lieux, accompagné parfois par une affiche représentant le Christ et disant : « Juin est dédié au Cœur Sacré de Jésus ». Cela pour rappeler à tous les Irlandais cette consécration et les détourner de la célébration d’un des péchés les plus graves. Michael, fidèle de Dublin, que la « pandémie de fiertés » horripile et que la soumission du monde occidental aux ennemis de Dieu désole participe à cette glorification du Sacré-Cœur : « Pour soigner la société de ce virus des fiertés, nous n’avons pas besoin de violer des droits de l’homme en forçant les masses à se vacciner ; nous avons simplement besoin de rappeler aux gens qu’ils se repentent et se retournent vers le Cœur miséricordieux de Jésus. Une façon simple de le faire est de faire flotter la bannière du Sacré-Cœur de Jésus. »
Le premier ministre homosexuel irlandais Leo Varadkar annonce sa démission
Leo Varadkar.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
20 mars 2024, Dublin (LifeSiteNews) — Le premier ministre irlandais ouvertement homosexuel, Leo Varadkar, a annoncé aujourd’hui sa démission de son poste de chef du Fine Gael.
Les médias irlandais en prédisaient l’annonce tôt mercredi matin. Lors d’une conférence de presse non planifiée, à midi, Varadkar a fait connaître qu’il démissionnait immédiatement de son poste de chef du parti Fine Gael. Sa démission de Taoiseach (premier ministre) prendra effet en avril, après Pâques, lorsque les membres du parti éliront un nouveau chef.
Varadkar, ouvertement homosexuel, a déclaré que ses raisons « sont personnelles et politiques, mais principalement politiques ». Il a minimisé les « spéculations » sur les autres causes de l’annonce, ajoutant que « les politiciens sont des êtres humains. Nous avons nos limites. Nous donnons tout jusqu’à ce que nous ne puissions plus le faire, puis nous devons passer à autre chose. »
L’annonce intervient moins de deux semaines après que les électeurs irlandais aient rejeté massivement l’amendement à la constitution de la nation, proposé par le gouvernement, qui aurait ôté le mariage et la maternité de la définition de la famille.
Le 8 mars, les électeurs ont rejeté par 67,7 % le référendum sur la famille qui proposait d’élargir la définition d’une famille pour y inclure les relations extraconjugales « durables » et par 73,9 % le référendum sur les soins, qui proposait de réécrire une partie de la Constitution de la nation en langage neutre en matière de genre.
Cela a été perçu comme un coup dur et inattendu pour le gouvernement, et on a ensuite demandé au gouvernement de « cesser de jouer à des jeux idéologiques ». Le sénateur indépendant Rónán Mullen a reproché au gouvernement d’avoir « détourné l’appareil et les ressources de l’État pour faire avancer son propre programme idéologique ».
Lire la suiteLes électeurs irlandais ont refusé d’effacer la famille
Maria Steen.
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Gript Media/YouTube
Ce n’est pas une fin de semaine particulièrement faste pour l’établissement politique irlandais. Deux changements constitutionnels ont été rejetés par l’électorat, bien qu’ils aient été soutenus par tous les partis traditionnels — Fianna Fail, Fine Gael, les travaillistes, les Verts, les nationalistes du Sinn Féin — sans oublier les habituels experts et ce qu’on appelle le Conseil national des femmes (un organisme censé représenter les femmes). Le radiodiffuseur public, RTE, qui se trouve dans une position similaire à celle de la BBC après le vote sur le Brexit, est curieusement discret sur le résultat. Radio-Canada a adopté la même stratégie, un court reportage qui ne cite pas les chiffres du rejet massif irlandais et qui caricature le contenu de la Constitution irlandaise.
Les électeurs avaient la possibilité, comme l’avait indiqué le quotidien de gauche britannique le Guardian, de « moderniser la constitution irlandaise » dans la lignée des référendums de 2015 et 2018 qui ont approuvé le mariage homosexuel et l’avortement et « souligné la transformation laïque et libérale de l’Irlande ». Les électeurs ont massivement dit non, mais merci quand même.
Les clauses en question, très caractéristiques de la constitution d’Eamon De Valera de 1937, et qualifiées de « dépassées » par le gouvernement, déclaraient que « l’État reconnaît la famille comme l’unité naturelle, primaire et fondamentale de la société et comme une institution morale possédant des droits inaliénables et imprescriptibles, antérieurs et supérieurs à tout droit positif » et que « l’État s’engage à veiller avec un soin particulier à l’institution du mariage, sur laquelle la famille est fondée, et à la protéger contre toute attaque ». Le gouvernement voulait modifier la partie concernant la famille en disant : « qu’elle soit fondée sur le mariage ou sur d’autres relations durables » et omettre la partie concernant le fait que la famille est fondée sur le mariage. On voit le sens de la démarche.
Lire la suiteL’Irlande vote en faveur de la protection de la maternité et de la famille lors d’un double référendum retentissant
Par Paul Bennett — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : v.ivash/Frepik
11 mars 2024, Dublin (LifeSiteNews) — La fin de semaine de la fête des mères en Irlande, le public a rejeté massivement les propositions d’amendement de la Constitution irlandaise visant à redéfinir la famille, le mariage et la maternité.
À l’issue de ce scrutin historique, les électeurs ont rejeté massivement, à 67,7 %, le référendum sur la famille qui proposait d’élargir la définition de la famille pour y inclure les relations extraconjugales « durables », et à 73,9 % le référendum sur les soins, qui proposait de réécrire une partie de la Constitution de la nation dans un langage neutre du point de vue du genre. Le résultat du référendum sur le rôle de la femme au foyer représente le pourcentage le plus élevé de « non » de tous les référendums organisés en Irlande. Le comté de Donegal a enregistré le plus grand nombre de votes négatifs dans tout le pays, plus de 80 % des électeurs rejetant les amendements du gouvernement. Le taux de participation au double référendum a été de 44 %.
Maria Steen, qui a joué un rôle central dans les débats sur le référendum, a réagi à l’énorme victoire en déclarant à Gript News que la victoire du référendum était le « meilleur cadeau de fête des mères qui soit ».
Le résultat sans appel du double référendum a mis en lumière l’énorme décalage entre le gouvernement irlandais et la population.
Sur X (Twitter), le sénateur Ronan Mullen a averti le gouvernement qu’il devait « cesser de jouer à des jeux idéologiques » et qu’il devait « appuyer sur le bouton pause de ses politiques de guerre culturelle ».
Le 8 mars, les électeurs irlandais ont été invités à modifier des articles clés de la Constitution irlandaise de 1937 sur les questions de la famille et des soins dans le cadre d’un double référendum.
Lire la suiteL’Ordre des médecins irlandais supprime l’interdiction de commettre le « meurtre délibéré » des patients
Par Leslie Wolfgang (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : velimir/Adobe Stock
Cinq ans seulement après la légalisation de l’avortement en Irlande, les protections contre l’euthanasie — le meurtre actif de patients par des médecins — ont été supprimées du dernier guide de conduite professionnelle et d’éthique du Conseil médical irlandais pour médecins agréés. Le nouveau guide est entré en vigueur le 1er janvier 2024.
Selon son site internet, le Conseil médical « réglemente les médecins de la République d’Irlande », soit « plus de 21 000 médecins » qui doivent s’inscrire pour pouvoir exercer légalement la médecine dans leur juridiction. « L’objectif du Conseil est de protéger le public en promouvant et en garantissant des normes élevées de conduite professionnelle et d’éducation, de formation et de compétence professionnelles parmi les médecins », selon le site internet du Conseil.
Lire la suiteLa rébellion de l’Irlande contre Dieu
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
Dans son livre Black Earth : the Holocaust as History and Warning [Terre noire : L’Holocauste en tant qu’Histoire et Avertissement] (2015), Timothy Snyder décrit comment, le 12 mars 1938, les Juifs de Vienne ont été contraints de frotter les rues de la ville. [1] Pourtant, comme le souligne Snyder, cet épisode célèbre est bien plus qu’un acte cruel et arbitraire d’humiliation publique. En fait, il revêtait une signification presque rituelle. Avant la prise de pouvoir par les nazis, le chancelier autrichien Kurt Schuschnigg avait planifié un référendum qui, selon lui, rejetterait de manière décisive les plans de prise de pouvoir d’Hitler. Le principal slogan de propagande du gouvernement se résumait à un seul mot : Österreich — Autriche. Ce slogan apparaissait partout, dans les journaux, sur les affiches et, conformément à la tradition autrichienne, il était même peint dans les rues. Mais aucun référendum n’eut lieu. Le vendredi 11 mars, à 19 h 57, Schuschnigg prononce un discours radiodiffusé informant le peuple autrichien que son pays a cessé d’exister en tant que nation souveraine. Le lendemain, les troupes nazies triomphantes obligent les Juifs viennois à effacer le mot Österreich des routes et des trottoirs. Le message est clair : l’ancien régime est symboliquement effacé.
Snyder soutient, de manière tout à fait convaincante, que c’est la destruction des États d’Europe centrale et orientale qui a créé les circonstances dans lesquelles l’Holocauste a pu se produire. En Pologne, en Ukraine, en Biélorussie et dans les pays baltes, ceux qui cherchaient à prendre leurs distances avec les anciens régimes sont invariablement devenus les pires persécuteurs des ennemis perçus du nouvel ordre.
Lire la suiteLes directives des évêques irlandais mettent en danger l’innocence des enfants dans les écoles catholiques
Par Voice of the Family — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Schwier/Adobe Stock
Dans une édition spéciale « Irlande » de Catholic Schools Watch, Voice of the Family appelle les catholiques du monde entier à s’unir aux parents de la République d’Irlande et d’Irlande du Nord pour défendre leurs enfants. Les ressources relatives à l’éducation aux relations et à la sexualité (RSE) récemment publiées par le Conseil pour l’éducation de la Conférence épiscopale irlandaise constituent une menace sérieuse pour l’innocence et le développement sain des élèves des écoles catholiques.
Catholic Schools Watch a été lancé à l’été 2023 pour rendre compte des programmes RSE mis en œuvre dans les écoles catholiques du monde entier et pour aider les laïcs, qu’ils soient parents ou non, à prendre les mesures qui s’imposent. Le danger pour la foi catholique et l’innocence des enfants est d’autant plus grave que les attaques viennent de ceux dont la responsabilité première est d’aller dans le monde « et de prêcher l’Évangile à toute créature » (Mc 16, 15).
Les évêques irlandais encouragent désormais les élèves à s’engager dans des discussions (au mieux) inappropriées et (au pire) salaces sur des propositions telles que :
« Tout le monde a droit au plaisir sexuel ... Je peux faire ce que je veux de mon corps, y compris me masturber pour atteindre le plaisir sexuel ... La façon dont vous atteignez le plaisir sexuel n’a pas d’importance tant que c’est entre adultes consentants ... Personne n’a le droit de me dire ce que je dois faire de mon corps ... La seule règle concernant le sexe que je dois écouter est celle du consentement ... Je ne peux pas être vraiment épanoui dans la vie sans plaisir sexuel ». (Catholic Education Partnership, « Living Love » [Vivre l’amour] (ressources RSE), leçon sur « l’attirance sexuelle », diapositive 20)
La doctrine catholique sur le mal moral des vices tels que l’abus de soi, la fornication et les actes homosexuels n’est présentée nulle part dans les ressources RSE. Les parents peuvent se permettre de douter que les enseignants des écoles catholiques d’Irlande soient censés connaître et croire la doctrine catholique sur ces questions ou sur d’autres sujets.
Lire la suiteEn Irlande, le délai d’attente de 3 jours pourrait avoir sauvé plus de 2 600 bébés de l’avortement
Par Right to Life UK (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : AB Photography/Adobe Stock
Plus de 2 600 femmes en Irlande n’ont pas procédé à un avortement après un premier rendez-vous et une période d’attente obligatoire de trois jours en 2022.
En réponse à une question parlementaire de Carol Nolan TD concernant le nombre total de femmes ayant bénéficié d’une première consultation pour un avortement en 2022, le Health Service Executive (HSE) en Irlande a révélé qu’un total de 10 779 femmes avaient bénéficié d’une première consultation pour un avortement.
Les chiffres publiés par le ministère irlandais de la Santé au début de l’année montrent qu’il y a eu 8 156 avortements en Irlande en 2022. Cela signifie que 2 623 femmes n’ont pas eu recours à l’avortement.
Lorsque l’avortement a été légalisé en Irlande en 2019, une période d’attente de trois jours entre la consultation initiale avec un médecin et la réalisation de l’avortement a été prévue.
Lire la suiteEn Irlande, tout collège devra enseigner la théorie du genre
Par Pauline Mille (reinformation.tv) — Photo (modifiée) : Freepik
L’Irlande vient de changer son guide de l’Education sexuelle destiné aux 13-15 ans qui datait de vingt ans : désormais aucun collège ne pourra ne pas enseigner en priorité la théorie du genre. Le ministère vient de publier le SPHE (Social, Personal and Health (santé) Education) pour les prochaines années. Le collège devra enseigner aux élèves comment « l’orientation sexuelle et l’identité de genre sont ressenties et exprimées de plusieurs manières ».
Pour le ministre, le collège doit parler des questions LGBTQ
La chose a été amenée en douceur. On a noté que certains accusaient cette nouvelle politique de promouvoir une « nouvelle théorie où chacun décide de son propre genre », alors que de « nombreux groupes » demandaient au contraire que les questions LGBTQ soient portées à la connaissance des élèves. Le ministre de l’Education, Mme Norma Foley, a tranché : les élèves au collège « méritent d’avoir accès à l’information ». Puis elle s’est livrée à un remarquable exercice de rhétorique.
L’Irlande va enseigner la théorie du genre
Elle a d’abord reconnu aux parents qui le souhaitent le droit de retirer leur enfant de tout enseignement contraire à leur conscience. Puis elle a noyé le poisson dans un flot de bons sentiments : « Nous sommes dans un monde qui change tous les jours, où nous voulons nous assurer que tous nos élèves sentent qu’ils ont voix au chapitre, et qu’ils sont acceptés et inclus dans l’école, et nous voulons aussi nous assurer que nos jeunes ont l’outillage nécessaire pour survivre dans le monde dans lequel nous vivons. » Avant de conclure, tranquille comme Baptiste, que malgré quelques discussions encore en cours « le consensus le plus large entre les écoles est que le programme sera enseigné ». Bien sûr, quelques parents militants pourront faire jouer l’objection de conscience, mais, dans l’Irlande naguère catholique, le collège devra enseigner la théorie du genre à la quasi-totalité d’une classe.
Pauline Mille
« Ce n’est pas une course » : Mon frère trisomique incarne d’une manière particulière le précieux don de la vie
Jacinta et Gabriel Hamilton.
Par Jacinta Hamilton — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Famille Hamilton
21 mars 2023 (LifeSiteNews) — Le 21 mars marque la célébration de la Journée mondiale de la trisomie 21 — une célébration des innombrables individus qui bénissent notre monde avec cette condition.
Cependant, la lutte pour la reconnaissance de la valeur de toute vie se poursuit, et les statistiques sont stupéfiantes.
En Irlande, 95 % des bébés atteints du syndrome de Down seraient avortés. L’Islande prétend avoir « éliminé » le syndrome de Down en tuant 100 % des bébés trisomiques par avortement. Aux États-Unis, environ 74 % des futurs parents avortent leur enfant atteint du syndrome de Down.
Ce paysage brutal est en opposition totale avec les belles expériences des familles qui choisissent de donner la vie à des bébés atteints du syndrome de Down. En réalité, la trisomie 21 n’est pas une condamnation à mort. C’est une bénédiction.
Je crois que nous vivons un moment de grâce dans ce pays, où nous pouvons accorder une attention plus profonde à la vie humaine ayant des besoins particuliers. En fin de compte, je pense que ce sont les histoires personnelles et les visages associés au diagnostic qui changeront les cœurs.
Il y a quatorze ans, lorsque j’ai appris que mon petit frère était né avec le syndrome de Down et qu’il ferait certaines choses plus lentement que ses frères et sœurs, ma petite personne de huit ans s’est écriée spontanément : « Ce n’est pas une course ! »
Les mots ne peuvent exprimer la bénédiction que représente Gabriel pour ses parents, ses six frères et sœurs, ainsi que pour les nombreux autres membres de sa famille et ses amis. Ce jeune homme a eu une influence extrêmement puissante sur ceux qui le connaissent et l’aiment. Il rend la vie plus pleine et plus riche à tous points de vue !
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