Les médecins disaient que Delilah ne survivrait pas : elle est née bien vivante
Delilah.
Par Victoria Clarizio (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie :
Lorsque la fille de Tara et Brian, Delilah, est née le 20 novembre 2019, ils s’attendaient à n’avoir que peu de temps avec leur fille nouveau-née. Au lieu de cela, ils ont pu ramener leur bébé miracle à la maison pour l’Action de grâce.
Delilah se fit diagnostiquer, lors d’un examen prénatal, de dysplasie squelettique et de nanisme. Ses parents se firent dire qu’elle ne survivrait pas très longtemps après sa naissance, si elle survivait à la grossesse. De nombreux parents se trouvant dans cette situation sont incités à avorter ou se font donner l’impression que la situation est désespérée.
Tara et Brian firent appel au Sufficient Grace Ministries, dont la mission est d’offrir « un soutien en soins palliatifs périnataux aux familles recevant un diagnostic d’espérance de vie limitée pendant la grossesse et du soutien pour ceux qui vivent la perte d’un bébé au cours d’une grossesse ». Ce ministère réconforte les parents endeuillés et les aide à passer le mieux le temps qu’ils peuvent avoir avec leur enfant. Les parents sont accompagnés avant, pendant et après la naissance. L’un des services gratuits offerts par SGM est la photographie, de sorte que Tara et Brian ont pu faire une séance photo avant la naissance de Delilah. Les accompagnants en périnatalité de SGM ont également soutenu les parents fatigués le jour de la naissance de Delilah.
Tout était là pour aider le couple dans les imprévus, y compris une césarienne.
À la surprise générale, Delilah est née sonore et active. Tara avait fait une couverture et des habits pour sa fille, qu’elle habilla et enveloppa soigneusement. Delilah a rencontré ses frères et sœurs et une photographe de SGM était là pour capturer chaque instant. Ils voulaient savourer ce qu’ils pensaient être leurs seules heures avec elle.
Sufficient Grace Ministries a partagé une partie de l’histoire de la naissance de Delilah sur Facebook, avec la permission de ses parents :
Delilah a passé son premier jour et les suivants, défiant les probabilités. Elle a été allaitée [...] a pleuré à grands cris, poussés par des poumons vigoureux. Ses parents sont maintenant à la maison avec elle et traversent la vie avec ce miracle écrasant et inattendu de l’Action de grâce.
Nous nous réjouissons avec eux de la vie miraculeuse et précieuse de la belle Delilah ! Nous sommes témoins de toutes sortes de miracles de ce côté-ci du ciel... et nous célébrons chaque vie, aussi brève soit-elle. Mais, parfois, c’est un vrai don inattendu de temps avec nos tout-petits que nous recevons. Parfois, les bébés défient les probabilités, malgré un mauvais diagnostic. Joignez-vous à nous pour prier pour la santé de Delilah et pour que ses parents aient paix et sagesse, alors qu’ils font face à de nombreux rendez-vous chez le médecin pendant que tout le monde découvre la meilleure façon de prendre soin de leur petite fille miracle. Si vous dites une prière, s’il vous plaît laissez savoir que vous priez et du pays duquel vous le faite afin que la famille de Delilah puisse être encouragée de ce que Bébé Delilah soit couverte de prières du monde entier !
Delilah a survécu contre toutes attentes. On a découvert qu’elle souffrait d’ostéogenèse imparfaite de type 3, ce qui entraîne une disposition aux fractures. Malgré cela, elle est plus forte que prévu depuis sa naissance. Elle a pu être allaitée et est rentrée chez elle dans les deux semaines qui ont suivi sa naissance. La survie miraculeuse de Delilah a donné à ses parents force et espoir alors qu’ils vont de l’avant pour disposer des soins dont elle aura besoin.
Une famille s’oppose à l'hôpital qui tente de débrancher leur bébé
Tinslee Lewis.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
La famille d'une petite fille sous soutien vital a obtenu une injonction temporaire contre l'hôpital qui prévoyait de retirer son soutien vital.
La famille de Tinslee Lewis, âgée de neuf mois, se bat pour maintenir son support vital alors que les médecins du Cook Children's Medical Center de Fort Worth ont engagé la Procédure des 10 jours (10-Day Rule), leur permettant de mettre fin au soutien vital de la petite fille contre la volonté de la famille qui veut continuer ses soins. La Procédure des 10 jours du Texas donne aux familles seulement 10 jours pour trouver un nouvel hôpital afin de soigner le patient avant que l'hôpital n'enlève le soutien vital. Tinslee devait se faire enlever le support vital à 15 heures dimanche, mais le même jour, la famille a appris que le juge de district du comté de Tarrant, Alex Kim, leur avait accordé une injonction temporaire contre l'hôpital, d'après The Blaze.
« C'est une combattante », disait de sa fille Trinity Lews, la mère de Tinslee. « Elle a traversé tant de choses. »
Tinslee est née prématurément et a été diagnostiquée d'une anomalie cardiaque rare appelée anomalie d'Ebstein. Elle a besoin d'une aide respiratoire.
« Nous demandons simplement l'occasion de donner à Tinslee une chance de se battre », déclara Tye Brown, cousin de Trinity Lewis.
Les responsables de Cook Children's sont d'avis que Tinslee souffre et que rien ne peut être fait pour l'aider. Le porte-parole de l'hôpital, Winifred King, a déclaré : « Bien que nous croyons que la vie de chaque enfant soit sacrée, nous croyons aussi qu'aucun enfant ne devrait être condamné à une vie de douleur ». Cela indique qu'il y a peut-être de l'espoir pour Tinslee, mais parce qu'elle a des problèmes de santé et qu'elle pourrait ressentir un certain niveau de douleur, les médecins du Cook Children's semblent avoir déterminé qu'elle serait mieux morte.
Le directeur du conseil d'administration du Texas Right to Life, Rich DeOttee, a qualifié la Procédure des 10 jours du Texas d'« une des pires lois du pays ». « Avec cette Procédure des 10 jours, les criminels condamnés à mort ont plus de droits que les patients des hôpitaux du Texas. » Texas Right to Life travaille en étroite collaboration avec la famille de Tinslee, notamment en leur fournissant un avocat.
Cook's Children est empêché de retirer le soutien vital de Tinslee jusqu'au 23 novembre. La famille a maintenant jusqu'au 22 novembre pour déménager Tinslee dans un autre établissement qui est prêt à la soigner ou Cook's Children la laissera mourir.
Les médecins sauvent un bébé à trois jambes après que sa mère eût refusé de l’avorter
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
Moscou, le 14 octobre 2019 (LifeSiteNews) — Une mère russe a vu sa foi récompensée après la naissance en 2018 d’un enfant qu’elle a refusé d’avorter malgré ses graves malformations, dont une jambe de plus [...] qui, croit-on, viendrait d’un jumeau mort beaucoup plus tôt dans sa grossesse.
Ce cas n’a pas été rendu public jusqu’à présent. Le Daily Mail a rapporté qu’un examen de routine a révélé que le petit garçon de cette femme, dont l’identité n’est pas divulguée, avait une troisième jambe (qui elle-même avait deux talons), et deux [...] systèmes urinaires. Elle a refusé de s’en faire avorter et a accouché en juillet 2018.
Le garçon a ensuite subi une série d’interventions chirurgicales pour résoudre tous ses problèmes, dont une opération d’urgence pour permettre la dernière étape de la fonction digestive, l’ablation de sa jambe mitoyenne un mois plus tard, et l’ablation [...] de son organe urinaire en trop en février 2019.
En date du 12 octobre 2019, le bébé a encore besoin d’une autre opération [...] mais son pronostic de vie normale est positif.
« Le garçon est âgé de 14 mois maintenant », a déclaré au Daily Mail une source anonyme au sein du département de la santé de Moscou. « Il marche et regarde autour de lui le monde. Il est curieux. »
Les interventions chirurgicales ont été réalisées par le chirurgien pédiatrique Yury Sokolov, âgé de 55 ans, et le Dr Evgenia Kartseva à l’hôpital pour enfants Saint Vladimir de Moscou.
Tafida, âgée de cinq ans, est autorisée à vivre
Tafida Raqueeb.
Par la Society for the Protection of Unborn Children — traduit par Campagne Québec-Vie
Tafida Raqeeb, âgée de cinq ans, peut être emmenée en Italie pour y être soignée par ses parents, a déclaré un tribunal aujourd’hui.
Le SPUC a qualifié cette décision de « victoire pour la vie humaine et la justice ». Cette poignante affaire a été une bataille acharnée entre les parents de Tafida qui veulent emmener leur enfant très malade dans un hôpital en Italie, où les médecins continueront à assurer le support vital de l’enfant, et le Barts Health NHS Trust, qui prétend que le retrait du système de support vital est dans l’intérêt supérieur de l’enfant.
Déconsidérer la vie
Réagissant à cette nouvelle, le Dr Anthony McCarthy, directeur de la recherche du SPUC, a déclaré : « Nous sommes de tout cœur avec Tafida et ses parents, dont la fille a été autorisée à vivre. La décision de la cour envoie un message important aux médecins du Royal London Hospital, à savoir que leur vision de la vie de Tafida était erronée. Il a toujours été clair que la ventilation et le transfert de Tafida en Italie n’auraient pas été préjudiciables et que les coûts n’auraient pas été aux frais du NHS. »
Tafida, originaire de Newham, dans l’est de Londres, est tombée soudainement très malade en février de cette année, souffrant d’une forme rare de lésions cérébrales. Elle n’est pas mourante, elle est dans un état stable, et sa mère a constamment rapporté que sa fille fait de petits signes de progrès.
Droits parentaux
Les parents de Tafida, Shelina Begum et Mohammed Raqeeb, ont introduit un recours en révision judiciaire contre la décision du Barts Trust de ne pas l’autoriser à se rendre à l’hôpital pour enfants Gaslini de Gênes.
Le Dr McCarthy a déclaré : « Les parents de Tafida exerçaient leur droit de prendre des décisions concernant leur enfant. Si leur fille avait pu être gravement blessée ou mise en danger par le voyage en Italie ou par une ventilation continue [en fait, il serait juste de retirer la ventilation si celle-ci ne remplissait plus la fonction qu’elle est censée remplir], l’État aurait pu intervenir à juste titre. »
« Heureusement aujourd’hui, nous avons vu une résolution juste être prise. La demande raisonnable de M. et Mme Raqeeb de faire de leur mieux pour leur enfant a été acceptée, mais dans la perspective d’une nouvelle angoisse et d’une lutte pour protéger la vie de Tafida. Nous souhaitons à ces parents aimants et courageux tout le succès possible dans leurs soins pour leur enfant. »
Les avocats représentant Barts Health NHS Trust ont déclaré que les patrons d’hôpitaux envisageraient de faire appel de cette décision. Le Dr McCarthy a déclaré : « La décision de faire appel montre que des éléments de la profession médicale s’en tiennent à la voie sinistre sur laquelle les droits les plus fondamentaux des citoyens ont été à maintes reprises bafoués par des gens haut placés. »
[Si l'hôpital se pourvoie en appel, il y de forts risques que le tribunal devant lequel il plaidera sa cause mortifère l'écoute d'une oreille réceptive, comme cela est arrivé avec d'autres hôpitaux dans les cas de Charlie Gard et d'Alfie Evans.]
Un bébé à naître sauvé grâce à une transfusion sanguine «extraordinaire» in utero
Photo in utero d'un enfant à naître de 26 semaines.
Par La Society for the Protection of Unborn Children — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lennart Nilsson
Une intervention médicale remarquable a donné de la joie à une famille et de la vie à leur petit garçon qui était menacé par une maladie rare dès le ventre de sa mère.
Bébé Edward, aussi connu sous le nom de Teddy, souffrait d’anémie. En réponse, le docteur Amarnath Bhide a utilisé une sonde à ultrasons pour insérer une aiguille à travers l’utérus et dans le cordon ombilical, dans lequel celui-ci a administré à Teddy du sang donné.
Teddy a bénéficié de cinq transfusions sanguines avant sa naissance, ce sont quelques-unes des plus précoces interventions in utero à avoir été effectuées.
Michael Robinson, directeur des communications de SPUC Scotland, a qualifié ces interventions d’« extraordinaires ».
Sauver des vies grâce à la chirurgie in utero
Bien que l’intervention qui a sauvé la vie du bébé à naître Teddy soit effectivement « extraordinaire », l’option de l’opération in utero, qui peut sauver et améliorer l’espérance de vie des enfants à naître, devient une perspective beaucoup plus positive.
Actuellement, les opérations in utero permettent de traiter un certain nombre de pathologies fœtales, notamment le spina bifida, les tumeurs fœtales, la paralysie cérébrale, les problèmes cardiaques fœtaux et l’hyperthyroïdie.
Lire la suiteLa Haute Cour du Royaume-Uni entendra la demande des parents de Tafida Raqeeb
Tafida Raqeeb.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Famille de Tafida Raqeeb
La Haute Cour du Royaume-Uni a décidé d’entendre la plainte des parents de Tafida Raqeeb, petite fille de cinq ans en état comateux depuis une rupture d'un vaisseau sanguin dans le cerveau survenue le 9 février, que le King’s College Hospital de Londres veut débrancher, car la considérant comme incapable de sortir de son état actuel, alors que l’hôpital spécialisé pour enfants Gaslini de Gênes se propose de la soigner. L’affaire, comme elle débute, est semblable à celles de Charlie Gard et d’Alfie Evans. Extrait de CNA :
La Haute Cour a accepté d’entendre en septembre la demande des parents de Tafida Raqeeb requérant de l’emmener en Italie pour la faire soigner. La fillette de cinq ans est dans le coma depuis février, et les médecins britanniques veulent lui retirer son aide respiratoire.
Les médecins britanniques ont interdit aux parents de Raqeeb de l’emmener à l’étranger pour un traitement.
Deux médecins de l’hôpital pour enfants Gaslini de Gênes ont examiné Raqeeb par le biais d’une vidéo au début du mois, et ont accepté de la soigner en Italie. Ils ont dit qu’ils ne la croyaient pas en état de mort cérébrale [ce principe absurde qui ne signifie nullement que la personne soit morte].
[...]
Les parents de Raqeeb, Mohammed Raqeeb et Shelina Begum, ont demandé à la Haute Cour de Londres, le 16 juillet, de lui permettre de quitter le pays ; sa décision d’entendre l’affaire a été prise le 22 juillet.
Le tribunal tiendra une audience d’une semaine sur l’affaire Raqeeb. Ils examineront également le refus du Royal London Hospital de l’autoriser à être renvoyée puis emmenée en Italie.
La vie d’une fillette de 5 ans dans la balance de la justice, l’hôpital où elle est retenue veut la débrancher
Tafida Raqeeb, à l'âge de 4 ans.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici un cas similaire à ceux d’Alfie Evans et de Charlie Gard, deux petits Anglais en état de conscience diminuée, morts débranchés de leur aide respiratoire avec l’approbation de l’État, ou même semblable au cas du Français Vincent Lambert, mort de faim et de soif avec l’aval de la république. D’après LifeSiteNews :
Les parents d’une petite fille victime d’un accident vasculaire cérébral soudain se battent maintenant pour sa vie, contre les médecins qui veulent la débrancher de son aide respiratoire et la laisser mourir.
Tafida Raqeeb, âgée de 5 ans, se trouve actuellement au King’s College Hospital de Londres, après avoir subi une rupture soudaine et rare au cerveau en février. Un test du tronc cérébral a montré qu’elle n’est pas morte [cérébralement — la « mort cérébrale » n'est pas un critère pour définir la mort]. Cependant, ses médecins, convaincus qu’elle ne se remettrait jamais de son état de conscience minimale, souhaitent lui retirer l'aide respiratoire, provoquant ainsi sa mort.
Aujourd’hui [16 juillet], les représentants légaux des médecins se sont rendus au tribunal pour le faire.
La mère de Tafida, Shelina Begum, 39 ans, a déclaré à LifeSiteNews que ni elle ni son mari, Mohammad Raqueeb, 45 ans, ne veulent que cela arrive. Croyant que la petite fille se rétablissait, ils ont trouvé un hôpital qui est prêt à soigner leur petite fille, l’hôpital pédiatrique Gaslini de Gênes, et veulent l’y emmener.
Cependant, la situation rappelant les cas Alfie Evans et Charlie Gard, les médecins londoniens de Tafida croient qu’il est dans son intérêt de mourir.
[...]
Une pétition sur Change.org demandant que Tafida soit autorisée à se rendre à l’hôpital du choix de ses parents a été signée par plus de 7 000 personnes.
La joie qu’apporte un enfant, même atteint d’anencéphalie
Michael et son frère atteint d'anencéphalie.
Par Newsroom (LiveActionNews) ― traduit par Campagne Québec-Vie
Students for Life Ireland a récemment diffusé l’histoire de Michael et de son frère John Paul Jr. Michael avait sept ans quand il a appris que sa mère attendait son sixième enfant. Il avait quatre sœurs et était tout excité d’apprendre que sa mère aurait un garçon : « Au court de la grossesse, on a appris que ça allait être un garçon et j’étais tout énervé! A-t-il révélé à Students for Life Ireland. Par contre, ils ont tout de suite vu qu’il avait une maladie, appelée anencéphalie et que ça voulait dire qu’il ne vivrait pas longtemps une fois né. J’étais découragé. Je voulais tellement, tellement avoir un frère. Au moment où j’en recevais un, on allait me l’enlever tout de suite après. »
L’anencéphalie est une maladie qui affecte le bon développement du crâne et du cerveau. Les bébés qui en sont atteints ne vivent généralement que de quelques heures à quelques semaines. La famille avait le cœur brisé, mais ils ont tout fait pour profiter du temps qu’il avait avec bébé John Paul Jr pendant qu’il était encore en sécurité dans le ventre de sa mère. Ils lui parlaient et l’incluaient dans les activités familiales autant qu’ils le pouvaient pour bâtir des souvenirs.
John Paul Jr a vécu pendant 17 minutes après sa naissance et, pour ce temps, il n’aura été qu’entouré d’amour.
« J’ai pu prendre mon petit frère, » dit Michael. « Je n’arrive pas à décrire comment je me sentais, mais tout en moi disait “Oui! Merci!” Même si je suis encore triste à cause de la perte, le moment pendant lequel j’ai tenu mon frère valait tout l’or du monde pour moi. Le fait que sa vie ait été si courte me l’a fait apprécier encore plus. Même s’il n’a vécu que 17 minutes, on a réussi à lui donner une vie remplie d’amour et j’aurais aimé qu’elle ait été plus longue. »
Lire la suiteNé à 23 semaines, un bébé minuscule bat les pronostics
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
George est né en juillet 2018, son arrivée étant plutôt prévue pour le mois d’octobre. Sa mère était à seulement 23 semaines de grossesse lorsqu’elle a accouché, et le bébé ne pesait qu’une livre et cinq onces. Il n’était pas plus grand qu’une seringue. Malgré les prédictions des médecins disant qu’il allait mourir, il est récemment sorti de l’hôpital.
Selon le site internet Mirror, Hannah Rose et Daniel Bownes, les parents de George, qui est né une semaine avant la limite de l’avortement au Royaume-Uni, se sont fait dire par les médecins qu’il avait une chance sur un million qu’il survive.
« J’étais convaincue qu’il allait mourir alors c’est vraiment un miracle qu’il soit avec nous aujourd’hui », a mentionné Hanna au Mirror. « Chaque jour que nous passons avec lui représente une vraie bénédiction. »
Le monde d’Hanna « s’est effondré » lorsqu’elle eut des contractions à un peu plus de cinq mois de grossesse. Quatre jours passèrent avant de donner naissance à George, à 23 semaines et 6 jours de grossesse. Puisque le bébé n’avait pas encore 24 semaines, les médecins n’allaient pas intervenir pour lui sauver la vie. Hanna avait peur de donner naissance à un bébé mort-né.
Lire la suiteUn couple rejette l’avortement pour leur jumeau anencéphale : «C’est notre bébé»
Gary, Lauren et Albi
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le couple britannique Lauren et Gary étaient excités d’apprendre qu’ils attendaient des jumeaux, qu’ils ont nommés Bobby et Albi. Lauren savait que la vie allait être occupée, mais elle avait hâte. Puis le couple apprit que l’un des garçons souffrait d’anencéphalie, une malformation qui fait en sorte que le sommet du crâne ne se forme pas correctement, et n’allait pas survivre. Le couple, qui a une fille de 18 mois, a raconté leur histoire dans une émission de la BBC intitulée Hospital.
« Quand il naîtra, il vivra peut-être une heure, quelques jours. Ils ne peuvent pas me le dire », a déclaré Lauren, âgé de 27 ans, dans l’émission.
Les médecins dirent au couple au cœur brisé qu’ils pouvaient faire avorter Albi. Lauren avait 15 semaines et trois jours. Les médecins précisèrent qu’ils pouvaient injecter de la digoxine dans le cœur d’Albi pour le tuer, puis elle l’aurait accouché avec Bobby, mais mort. Ou elle pouvait les garder jusqu’à la naissance avec un risque d’accouchement prématuré, ainsi que la possibilité qu’Albi meure in utero.
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