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L’avortement a tué 44,6 millions de personnes dans le monde en 2023, plus que toute autre cause de décès

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock

9 janvier 2024 (LifeSiteNews) — L’avortement est resté la principale cause de décès dans le monde pour la cinquième année consécutive en 2023, bien que l’annulation de Roe v. Wade en 2022 ait mis un frein à la contribution des États-Unis à ces totaux.

Plus de 44,6 millions d’avortements ont été pratiqués dans le monde l’année dernière, selon le Worldometer, une ressource non partisane qui suit et estime en temps réel des statistiques sur un large éventail de sujets, sur la base de données provenant de sources telles que les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Fonds monétaire international (FMI) et d’autres encore.

Ce total est supérieur au nombre de décès attribués aux sept autres causes de décès — maladies transmissibles, cancer, tabagisme, consommation d’alcool, VIH/sida, accidents de la route et suicide — réunies.

« Le Worldometer a évalué le nombre total de décès en 2023 à plus de 60,6 millions », note le Christian Post.

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« Toutefois, ce chiffre n’inclut pas l’avortement en tant que forme de décès. Si les avortements étaient comptés comme des décès dans les statistiques, les décès de l’année dernière auraient dépassé les 100 millions, et les avortements auraient représenté plus de 40 % d’entre eux ».

Aux États-Unis, 14 États interdisent actuellement tous les avortements ou la plupart d’entre eux, et les données disponibles à ce jour indiquent que des lois pro-vie désormais applicables pourraient effectivement éliminer environ 200 000 avortements par an.

En réponse, les alliés de l’avortement adoptent diverses tactiques pour préserver l’« accès » à l’avortement, telles que l’inscription du « droit » à l’avortement dans les constitutions des États, l’accès facile aux pilules abortives, la protection juridique et le soutien financier des voyages entre États pour avorter, la construction de nouveaux centres d’avortement près des frontières communes aux États pro-vie et pro-avortement, et la transformation des États libéraux en sanctuaires pour ceux qui veulent échapper ou violer les lois de leurs voisins plus favorables à la vie.

Le président Joe Biden a appelé le Congrès à codifier un « droit » à l’avortement dans la législation fédérale, ce qui non seulement rétablirait, mais étendrait le statu quo de l’arrêt Roe en rendant illégale l’adoption par les États de pratiquement n’importe quelle loi pro-vie. Les élections de 2024 détermineront si les démocrates conservent la Maison-Blanche et s’ils gardent ou gagnent suffisamment de sièges au Congrès pour que cela se produise.

Aux États-Unis, l’absence de normes uniformes d’un État à l’autre a longtemps empêché de connaître avec précision l’ampleur et les détails du recours à l’avortement. Le Centre de contrôle des maladies (CDC) reconnaît qu’il ne recueille que des données sur l’avortement soumises volontairement par les États, dont les exigences en matière de rapports (s’ils en ont) varient considérablement. La Californie, le Maryland et le New Hampshire — trois États très peuplés et très favorables à l’avortement — n’ont historiquement soumis aucune donnée, ce qui limite encore la compréhension par le public de la fréquence de phénomènes tels que les avortements tardifs et les complications liées à l’avortement.

En date du 9 janvier, le monde a déjà connu plus d’un million d’avortements en 2024, selon Worldometer.



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