Par Patrice-Hans Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Facebook, URBANIA et Journal de Montréal n°1 et n°2 / Voici la source de la photo : Khayman, Wikimedia, CC BY-SA 3.0
Trois annonceuses queer lancent des inversions accusatoires sur les ondes qui en disent long sur la gauche institutionnelle.
Télé-Québec remet ça avec l'argent DU contribuable. La télévision d'État mettait en scène dans son émission de la série Les Brutes, édition du 24 octobre, un panel de trois militantes queer venues déverser un flot d'inversions accusatoires régurgitées à la volée.
Le trio coloré de la rectitude queer
Cette émission a pour but de faire le procès permanent de la gent masculine, de préférence blanche, francophone et cisgenre, cela sur le mode de la dérision. On y a invité, cette fois-ci, un trio aux couleurs de l'arc-en-ciel d'une rectitude politique qui se décline selon les canons bien établis par la gauche institutionnelle.
L'animatrice blanche, sorte de pom-pom girl à la fière queue de cheval, était accompagnée de deux personnes « racisées », soit une Caribéenne arborant un [...] anneau dans le nez et l'inénarrable Dalila Awada affublée d'un voile islamique aussi large que son ego.
Une liberté d'expression à géométrie variable
Notre pom-pom girl a démarré la machine à insanités par la déclinaison suivante : « Dans les dernières années on a vu plusieurs personnes s'inquiéter pour la liberté d'expression ».
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