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Des scientifiques paient des femmes pauvres pour qu’elles deviennent enceintes et avortent, à des fins de recherches...

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : pressfoto/freepik

L’un des résultats de la désacralisation de l’enfant à naître, c’est la perte de signification et de l’importance du rôle de mère enceinte (autrefois honoré), qui ne devient qu’un quidam quelconque portant un amas de cellules ; d’où il vient que si l’on considère le « fœtus » comme matériel potentiel, la femme peut très bien être (volontairement) un incubateur potentiel (puisqu’être enceinte a été réduit à ça). Il s’ensuit toutes sortes d’horreurs engendrées par l’esprit fertile de « scientifiques », qui les appliquent dans des expériences abominables. Les féministes voulaient-elles élever la femme ? Elles l’ont abaissée… Extrait de LifeSiteNews :

Dans le cadre d’une étude scientifique controversée, des scientifiques ont payé des dizaines de femmes mexicaines pour se faire hyperstimuler avec des hormones, se faire inséminer artificiellement, puis se faire avorter quelques jours après la conception de leur bébé.

À l’hôpital Punta Mita, près de Puerto Vallarta, une ville balnéaire sur la côte pacifique du Mexique, jusqu’à 80 femmes ont été l’objet d’injections d’hormonales élevées et dangereuses, afin de provoquer l’ovulation chez celles-ci. Les femmes ont ensuite été inséminées artificiellement, selon un rapport du NPR, tandis que les bébés embryonnaires qui en ont résulté ont été « expulsés » du corps des femmes et utilisés pour la recherche scientifique.

Selon le rapport, les chercheurs ont constaté que les bébés embryonnaires ainsi conçus étaient aussi sains, voire « plus sains », « génétiquement » que ceux conçus par la technique standard de la fécondation in vitro (FIV), qui consiste à prélever des ovules sur des femmes à l’aide d’aiguilles, puis à les féconder avec du sperme dans des conditions de laboratoire.

Quand les tests montraient que tous les bébés n’avaient pas été « éliminés » avec succès chez certaines femmes, on les donc fait passer par des avortements chirurgicaux ou chimiques. Cependant, certains des bébés survivants ont été transplantés dans l’utérus d’autres femmes, et d’autres ont été congelés.

N’oublions pas les joyeux effets secondaires :

Le Dr David Prentice, de l’Institut Charlotte Lozier, a également dénoncé l’éthique douteuse de l’étude. Dans une entrevue accordée à LifeSiteNews, le Dr Prentice a déclaré que la surstimulation hormonale peut avoir de graves effets secondaires, notamment la perte de membres et même la mort pour les femmes qui y sont soumises.

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