Discours du président de la Fondation Lejeune lors de la Marche pour la Vie à Paris
Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le problème de la procréation médicalement assistée (PMA) ne réside pas essentiellement dans la PMA sans père, elle réside en elle-même. L’horreur de l’avortement ne repose pas uniquement sur l’avortement tardif, elle tient à tout avortement. Ce qu’il faut, ce n’est pas tant empêcher l’élargissement de la PMA et l’avortement que de les interdire. C’est ainsi que se résume le discours de Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, lors de la Marche pour la Vie à Paris de dimanche, selon Le Salon Beige :
« S’agissant de l’allongement des délais de l’avortement, on entend de plus en plus, de la part de ceux qui s’en indignent, qu’il faudrait revenir à l’esprit de la loi Veil, comme s’il y avait eu un âge d’or de l’avortement. Pour un peu, Mme Veil aurait été opposée à l’avortement ! Non, la loi Veil n’est pas la solution, elle est le problème. Et valoriser la loi Veil, c’est rendre inéluctables les évolutions qu’elle engendre. »
France : l'avortement pour raisons « psychosociales » jusqu'à la naissance, facilité
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info) — Photo (modifiée) : PxHere
La loi de bioéthique : communiqué de l’Association catholique des Infirmières et Médecins
Voici les principales lignes des nouvelles lois d’éthique proposée à l’origine :
1) Abolition de la clause de conscience des médecins et soignants ; laquelle leur permet de refuser de pratiquer un avortement ou l’euthanasie.
C’est certainement pour les services médicaux la clause la plus sensible. Il s’agit d’obliger notamment les médecins, les sages-femmes et infirmières à faire des actes contre leur conscience. C’est ce que Hitler avait exigé notamment dans les camps de concentration où il y avait des femmes prisonnières enceintes, sans parler des éliminations physiques notamment des malades. Le tout se situant dans le cadre de l’eugénisme afin de purifier la race.
Veil art. 8, le code de la Santé publique, le code de déontologie. Le Conseil de l’Europe a finalement adopté une résolution n° 1763 intitulée « Le droit à l’objection de conscience dans le cadre des soins médicaux légaux ». De plus, par la loi du 9 décembre 1905 et l’article 1er de sa Constitution (1958 et 2008), la France reconnaît de la même manière la liberté de conscience et de culte et la neutralité de l’État et des personnes publiques en matière religieuse*.
Le droit à la liberté de conscience a été rejeté par pragmatisme à l’Assemblée nationale. En effet, il manque en France de gynécologues, de sages-femmes et ces professions sont désertées. Obliger à faire des avortements aboutirait à vider ces spécialités médicales de ses praticiens et praticiennes.
2) Allongement du délai pour avorter de 12 à 14 semaines. Après la loi Veil limitée à 8 puis 12 semaines, il fallait aller plus loin. En Amérique les États de New York et de Virginie autorisent l’avortement jusqu’à la fin de la grossesse : c’est alors l’infanticide. L’Assemblée nationale a reconnu cette boucherie infâme qui s’exerce sur les humains dans des conditions horribles. Ainsi, 2 000 ans de christianisme sont abolis avec le retour barbare du droit de vie et de mort sur les enfants que l’on retrouve aussi chez le marquis de Sade. La République a besoin de sacrifices humains… ce seront alors les plus petits sans défense qui seront exécutés à la fin de la grossesse dans d’atroces circonstances.
3) Autorisation de la pratique des « IVG » chirurgicales dans les centres de planification familiale. C’est fort difficile de monter une structure en matériel et en hommes qu’il n’est pas facile de trouver. Dans un avortement il est tout à fait possible de perforer l’utérus. Ceci demande une immédiate réparation par voie abdominale ; il faut donc avoir un bloc opératoire à disposition. Une complication de ce type peut bien arriver aux sages-femmes qui elles-mêmes ne sont plus assez nombreuses et ne sont pas chaudes pour pratiquer des actes de cette nature. Elles sont là pour donner la vie et non pour la tuer.
Lire la suiteFrance : remarquable intervention du député Emmanuelle Ménard contre le projet de loi « bioéthique »
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : tirachardz/Freepik
On oublie souvent de mentionner que la procréation médicalement assistée (PMA) ou, dirais-je plutôt, la procréation artificiellement provoquée est un problème en soi. — A. H.
Le député Emmanuelle Ménard, a déposé une motion de rejet du texte de loi bioéthique qui passe en 2e lecture à l’Assemblée nationale ces jours-ci, en catimini, « sans que les Français puissent manifester ».
Remarquable intervention qui dénonce ce texte qui « va donner vie à des enfants volontairement programmés sans père… sans père ! »
« En réalité, ce qui se joue ici, insiste madame Ménard, c’est une rupture. Profonde. Anthropologique. »
Et de conclure :
« La motion de rejet que je défends pose cette question simple : est-ce juste ? Est-ce juste de priver, en l’espace d’un vote, des milliers d’enfants de leur père pour les générations à venir ?
J’en appelle à votre conscience. J’en appelle à votre courage. Oubliez les stratégies partisanes. Pensez à la profondeur des bouleversements d’une telle loi et résistez ! Résistez aux idéologies d’une poignée et osez répondre à cette question en votre âme et conscience : qui suis-je pour infliger cela à un enfant ?
Finalement, cette loi bioéthique sera votre seul bilan. Et elle sera votre honte… »
Lire la suitePMA : le gouvernement français veut passer en force
Par Léo Kersauzie (Medias-Presse.info)
Le gouvernement a décidé de passer en force et a inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la deuxième lecture du projet de loi sur la bioéthique qui se déroulera en séance publique à partir du 27 juillet.
Cette décision est d’autant plus absurde que le Sénat, qui ne siège pas en septembre, ne pourra examiner le texte avant l’automne. Elle traduit la volonté idéologique du gouvernement de profiter de l’été pour faire adopter coûte que coûte le projet de loi par un hémicycle clairsemé et de museler l’opinion publique puisque pour des raisons sanitaires, les rassemblements publics de plus de 5000 personnes demeurent interdits à l’heure actuelle.
Sur le fond, le texte qui va être discuté en deuxième lecture aggrave les transgressions déjà votées à l’automne dernier. Outre la PMA sans père et la création d’embryons chimères mi-homme mi-animal ainsi que d’embryons transgéniques, le projet de loi élargit le recours au diagnostic préimplantoire permettant d’éliminer les embryons porteurs d’une anomalie chromosomique (DPI-A) et légalise la technique de la fécondation in vitro à deux mères dite ROPA (réception de l’ovocyte du partenaire) qui éclate la maternité entre deux femmes : la donneuse d’ovocytes d’un côté et la gestatrice de l’autre, pour que les deux femmes puissent également se revendiquer mères du même enfant, tout en évinçant la paternité.
Politiques familiales : hausse des naissances de 9 % en Hongrie, nombre des mariages double
Par Pour une école libre au Québec — Photo : prostooleh/Freepik
Le déclin de la population de la Hongrie a ralenti de 47 % en janvier 2020, après 9,4 % de naissances supplémentaires et 17 % de décès en moins par rapport à la même période l’an dernier, a déclaré vendredi le Bureau central des statistiques (KSH).
L’indice de fécondité hongrois de 1,6 enfant/femme est désormais le même que celui du Québec, sans aucune politique migratoire.
Le nombre de mariages a presque doublé, avec 2863 couples mariés, par rapport à la même période l’an dernier, et le nombre le plus élevé de janvier depuis 1982.
Au premier mois de l’année, 8 067 enfants sont nés, soit 694 de plus qu’à la même période l’an dernier, tandis que 11 553 personnes sont décédées, 2 356 de moins qu’en janvier 2019. Le communiqué expliquait qu’en janvier, 8 067 enfants étaient nés, ce qui représente de manière significative, 694 nouveau-nés de plus qu’au premier mois de 2019, la valeur la plus élevée de janvier depuis 2009. À titre de comparaison, il est né 6 850 enfants au Québec en janvier 2020. La population du Québec était estimée à 8, 485 millions en juillet 2019 alors que celle de la Hongrie était de 9, 773 millions au 1er janvier 2019.
La valeur mensuelle estimée de l’indice synthétique de fécondité par femme était de 1,60 contre 1,44 pour la même période de l’année précédente.
Le taux de déclin naturel de la population est tombé à 0,42 % contre 0,79 % en janvier 2019, a indiqué le KSH.
Pour relancer la natalité, le premier ministre hongrois avait décidé d’attribuer en 2019 une aide de 30 500 euros (44 500 $ canadiens) à chaque couple qui se mariait avant le 41e anniversaire de la femme.
Lire la suiteMacron considère qu’une femme peut être un père…
Pascale Morinière (à gauche), présidente des Associations familiales catholiques et Emmanuel Macron, président de la république française.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) — Photo : AFC
Qu’Emmanuel Macron soit déconnecté du réel, voilà qui n’étonnera pas grand monde. Mais voici un exemple qui permet de mesurer l’ampleur de cette négation du réel.
Dimanche dernier [2 février], l’Elysée organisait une petite sauterie pour célébrer les trente ans de la ratification de la Convention des droits de l’enfant. Brigitte et Emmanuel accueillaient pour l’occasion de nombreux enfants mais aussi des représentants du monde professionnel et associatif lié à l’enfance.
Parmi les invités au cocktail qui clôturait cette journée figurait Pascale Morinière, présidente des Associations familiales catholiques (AFC). Cette dernière, croisant le président de la république, lui adressa quelques mots pour tenter de lui faire comprendre la nocivité de la PMA.
La réponse de Macron : « Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père est forcément un mâle ».
Que celui qui gouverne la France puisse penser qu’un père peut être une femme, voilà qui laisse pantois.
Mais c’est l’aboutissement de l’idéologie du genre qui repose entièrement sur la négation du réel.
[…]
Paris : Plus de 40 000 personnes ont participé à la manifestation contre la PMA sans père
Marche contre le projet de loi Bioéthique, 19 janvier 2020 à Paris.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : KTOTV/YouTube
La « procréation médicalement assistée » (je ne vois pas en quoi cette technique serait « médicale » puisque cette manipulation contourne les processus physiologiques normaux aux détriments de l'être conçu), ou PMA, plus précisément sans père dans le cas présent, c'est-à-dire que l'homme est absent est absent de la « famille » où l'enfant naîtra, est en train d'être légalisée en France sous la forme d’un projet de loi appelé Bioéthique, n’ayant plus besoin que de l’aval du Sénat pour devenir loi. Ce projet de loi contient d'autre éléments néfastes.
Des dizaines de milliers de Français sont descendus dans les rues de Paris afin de montrer leur opposition à l’adoption de ce projet de loi. Comme l’explique KTOTV sur sa chaîne de vidéos YouTube :
« Ils étaient plus de 40 000 manifestants en ce dimanche 19 janvier 2020 à manifester dans #Paris contre le projet de Loi #Bioéthique. Jeunes ou plus âgés, de partout en France et même d’ailleurs, ils nous expliquent pourquoi ils se sont mobilisés. »
Des scientifiques paient des femmes pauvres pour qu’elles deviennent enceintes et avortent, à des fins de recherches...
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : pressfoto/freepik
L’un des résultats de la désacralisation de l’enfant à naître, c’est la perte de signification et de l’importance du rôle de mère enceinte (autrefois honoré), qui ne devient qu’un quidam quelconque portant un amas de cellules ; d’où il vient que si l’on considère le « fœtus » comme matériel potentiel, la femme peut très bien être (volontairement) un incubateur potentiel (puisqu’être enceinte a été réduit à ça). Il s’ensuit toutes sortes d’horreurs engendrées par l’esprit fertile de « scientifiques », qui les appliquent dans des expériences abominables. Les féministes voulaient-elles élever la femme ? Elles l’ont abaissée… Extrait de LifeSiteNews :
Dans le cadre d’une étude scientifique controversée, des scientifiques ont payé des dizaines de femmes mexicaines pour se faire hyperstimuler avec des hormones, se faire inséminer artificiellement, puis se faire avorter quelques jours après la conception de leur bébé.
À l’hôpital Punta Mita, près de Puerto Vallarta, une ville balnéaire sur la côte pacifique du Mexique, jusqu’à 80 femmes ont été l’objet d’injections d’hormonales élevées et dangereuses, afin de provoquer l’ovulation chez celles-ci. Les femmes ont ensuite été inséminées artificiellement, selon un rapport du NPR, tandis que les bébés embryonnaires qui en ont résulté ont été « expulsés » du corps des femmes et utilisés pour la recherche scientifique.
Selon le rapport, les chercheurs ont constaté que les bébés embryonnaires ainsi conçus étaient aussi sains, voire « plus sains », « génétiquement » que ceux conçus par la technique standard de la fécondation in vitro (FIV), qui consiste à prélever des ovules sur des femmes à l’aide d’aiguilles, puis à les féconder avec du sperme dans des conditions de laboratoire.
Quand les tests montraient que tous les bébés n’avaient pas été « éliminés » avec succès chez certaines femmes, on les donc fait passer par des avortements chirurgicaux ou chimiques. Cependant, certains des bébés survivants ont été transplantés dans l’utérus d’autres femmes, et d’autres ont été congelés.
N’oublions pas les joyeux effets secondaires :
Le Dr David Prentice, de l’Institut Charlotte Lozier, a également dénoncé l’éthique douteuse de l’étude. Dans une entrevue accordée à LifeSiteNews, le Dr Prentice a déclaré que la surstimulation hormonale peut avoir de graves effets secondaires, notamment la perte de membres et même la mort pour les femmes qui y sont soumises.
La suspicion des censeurs pro-avortement
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image (montage) : Alliance Vita
L’organisme Alliance Vita avait fait poser quelque 300 affiches dans les réseaux de transports de Paris, comme il est légalement loisible à tout citoyen contre rémunération des services de la compagnie opérant les réseaux. Les affiches étaient banales et visaient plutôt la PMA, la GPA et défendaient la paternité et la maternité. Anne Hidalgo, maire de Paris, elle, y a entre autres vu une attaque contre l’avortement chose que les censeurs de la république répriment. Mme Hidalgo obtint donc de la compagnie de faire retirer les offensantes images. D’après Liberté politique :
Au commencement était une campagne d’affichage somme toute assez banale. Du noir et blanc, une photo et une mise en page sobre et dépouillée, une célébration du progrès et de la différence. Pas de quoi fouetter un chat. Une campagne qu’on pourrait presque trouver consensuelle… si elle n’avait pas utilisé les mots désormais idéologiquement piégés de « paternité » et de « maternité », et si le commanditaire de la campagne n’avait pas été Alliance Vita. Une association qui promeut la dignité de la personne humaine et la défense des personnes fragiles, ce qui est interprété par le système comme « pro-vie », donc dangereux. Qu’une telle association s’exprime, dans la France, dans le Paris de 2020, ce n’est tout simplement pas envisageable.
Nous vivons dans un monde parallèle, où les mots ne signifient plus ce qu’ils devraient signifier, ou signifient ce qu’ils ne signifient pas, où les présupposés attachés à tel ou tel vocable sont si lourds que des termes autrefois anodins sont désormais passibles de déportation symbolique ou médiatique.
Afficher sur le mur d’une station de métro parisien que « la société progressera à condition de respecter la maternité », c’est se rendre coupable de « délit d’entrave à l’IVG », comme autrefois, emballer le poisson du marché dans un journal à l’effigie de Staline vous faisait soupçonner de manquer de respect au marxisme-léninisme. L’écart qu’il y a entre les termes inoffensifs de « respecter la maternité » et le concept de « délit d’entrave à l’IVG » est plus que patent. La campagne ne parle pas de l’IVG. C’est un fait. Respecter la maternité, cela peut signifier 1001 choses…
Rajoutons enfin qu’Alliance Vita s’étant fait donner raison devant le tribunal des référés, Mme Hidalgo a dit vouloir faire appel de la décision de la Cour, dénotant par là son fanatisme, si ce n’est pro-avortement, sinon LGBT.
« L’eugénisme à l’œuvre sur les Français à naître »
Joachim Son-Forget.
Par François Py (Avenir de la Culture) — Photo : Photo : G.Garitan, CC BY-SA 4.0
Suite aux débats houleux lors de l’adoption de la PMA à l’Assemblée nationale, Joachim Son-Forget, député des Français établis hors de France, s’interroge sur les conséquences de la naissance par PMA pour les enfants. Voici quelques extraits de sa tribune publiée dans Valeurs Actuelles, mais cela vaut la peine de lire l’intégralité.
« Je me suis demandé qui serait finalement la victime : l’enfant né de PMA et ses questions existentielles ou celui issu de la méthode habituelle et son incompréhension de ne pas bénéficier des dernières avancées biotechnologiques et de ne pas faire partie de l’humanité augmentée qui se sera un peu “libérée” du joug du hasard » ?
En effet, « Comme l’a avoué l’air de rien la ministre de la Santé pendant le débat, l’enfant né d’un don a une chance supplémentaire de ne pas être malade. Dans une surenchère mondiale où la PMA deviendrait la norme, cela deviendra d’abord le privilège des plus riches et des plus puissants, puis des classes moyennes supérieures voulant les imiter, puis les Gilets Jaunes du moment demanderont aussi à pouvoir avoir des enfants parfaits » !
« La petite loi française ne pourra rien faire pour s’opposer à de telles évolutions de la pratique, d’autant moins qu’elle aura mis le doigt dans l’engrenage, prise au piège des bons sentiments égalitaristes. Pendant que l’eugénisme sera à l’œuvre sur les Français à naître, on nous vantera toujours les bienfaits de la diversité », dénonce-t-il.
« La beauté de l’aléa existait encore avec la fécondation in vitro. Avec la PMA, fini. Le diagnostic préimplantatoire actuel n’est que l’avatar d’un eugénisme plus grave encore, qui au début du 20ème siècle, dans certains pays, faisait stériliser des handicapés mentaux...
Ainsi, demain la victime pourrait être l’enfant “naturel” regardé comme un être inférieur par les autres, et reprochant à ses parents de l’avoir fait naître avec un handicap dans la vie : celui de l’aléa, celui des tares qui n’auront pas été prévenues par ses parents », prévient le député.
« Voulons-nous réellement faire venir au monde des enfants qui naissent sans savoir d’où ils viennent ? Ceux qui veulent un enfant, parce que “j’y ai droit comme tout le monde”, ne savent pas ce qu’est la souffrance d’un enfant qui cherche à qui il ressemble », sentence-t-il si justement.
Il conclut par cette réflexion : « L’histoire de l’homme est de se demander d’où il vient, où et qui il est, et où il va. » […]