Notre-Dame de Guadalupe
Image miraculeuse de Notre-Dame de Guadalupe.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (modifiée, côtés flous rajoutés) : Wikimedia Commons
Aujourd’hui, samedi 12 décembre, c’est la fête de Notre-Dame de Guadalupe, proclamée « patronne des Amériques » par Jean-Paul II en l’an 2000.
À l’époque où la Vierge apparut à saint Juan Diego, en 1531, les indigènes du Mexique restaient attachés à leur culte païen, à l’adoration des démons, avec tout ce que comprend une telle pratique : les sacrifices humains. Pourtant, depuis 1521, les Espagnols avaient conquis Mexico, libérant les indigènes du lourd tribut humain que demandait le culte officiel aux idoles, le contact avec les missionnaires de l’Ancien Monde n’avait apporté alors que peu de conversion.
Peu après les apparitions de la Sainte Vierge sur la colline de Tepeyac, près de 8 millions d’Indiens demandèrent le baptême. Ce fut donc Elle qui mit définitivement fin aux sacrifices sanglants qui souillaient cette terre.
Notre-Dame de Guadalupe, sur l’image miraculeuse qu’elle nous a laissée, porte une ceinture noire qui indiquait la grossesse chez les Aztèques. La seule image miraculeuse où la Vierge montre aussi évidemment sa maternité divine !
C’est pour ce signe de la maternité divine et la fin des sacrifices humains que le mouvement pro-vie a pris pour protectrice la Très Sainte Vierge, sous le vocable de Notre-Dame de Guadalupe.
Notre-Dame de Guadalupe, priez pour les enfants à naître et pour nous !
La Ville de Mexico interdit le traitement pour les attractions LGBT non désirées
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : yanalya/Freepik
La Ville de Mexico vote à son tour l’interdiction des thérapies réparatives, rapporte LifeSiteNews :
Les traitements destinés à aider à surmonter les tendances homosexuelles non désirées seront bientôt illégaux à Mexico en vertu d’une nouvelle loi promulguée vendredi par l’Assemblée législative de la ville.
Selon cette loi, qui a été introduite il y a deux ans, les professionnels de la santé pourraient être passibles de cinq ans en prison s’ils menaient des « pratiques consistant en des séances, méthodes ou traitements psychologiques et psychiatriques visant à annuler, entraver, modifier ou réduire l’expression de l’identité de genre, ainsi que l’orientation sexuelle des personnes », rapporte Mexico News. Ces traitements sont communément appelés thérapie réparatrice ou « de conversion ».
L’auteur du projet de loi est Temístocles Villanueva, député du parti Morena.
Claudia Sheinbaum, maire de Mexico, semble pour sa part croire qu’il a fait grandir la liberté de ses citoyens, « il me semble que ces mesures appartiennent à l’époque de l’Inquisition » lance-t-elle, « elles ne correspondent pas aux systèmes de santé du XXIe siècle, elles ne correspondent pas à la liberté de cette ville, car c’est une ville de droits ». C’est étrange mais il me semble que ce que l’Assemblée de cette ville a fait c’est interdire aux personnes, désirant se débarrasser d’attirances pour les personnes de même sexe, de recourir à de l’aide ; empêcher les gens confus au sujet de leur sexe de se sentir fortifiés dans leur identité corporelle. Fini la liberté, plus de droits.
« Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage », dit-on, aussi associe-t-on des méthodes d’aide psychologique inoffensive à de vieux traitements aux électrochocs, voulant par là faire passer aux yeux aveugles du monde toutes les thérapies réparatives comme des pratiques atroces devant être abolies.
Des scientifiques paient des femmes pauvres pour qu’elles deviennent enceintes et avortent, à des fins de recherches...
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : pressfoto/freepik
L’un des résultats de la désacralisation de l’enfant à naître, c’est la perte de signification et de l’importance du rôle de mère enceinte (autrefois honoré), qui ne devient qu’un quidam quelconque portant un amas de cellules ; d’où il vient que si l’on considère le « fœtus » comme matériel potentiel, la femme peut très bien être (volontairement) un incubateur potentiel (puisqu’être enceinte a été réduit à ça). Il s’ensuit toutes sortes d’horreurs engendrées par l’esprit fertile de « scientifiques », qui les appliquent dans des expériences abominables. Les féministes voulaient-elles élever la femme ? Elles l’ont abaissée… Extrait de LifeSiteNews :
Dans le cadre d’une étude scientifique controversée, des scientifiques ont payé des dizaines de femmes mexicaines pour se faire hyperstimuler avec des hormones, se faire inséminer artificiellement, puis se faire avorter quelques jours après la conception de leur bébé.
À l’hôpital Punta Mita, près de Puerto Vallarta, une ville balnéaire sur la côte pacifique du Mexique, jusqu’à 80 femmes ont été l’objet d’injections d’hormonales élevées et dangereuses, afin de provoquer l’ovulation chez celles-ci. Les femmes ont ensuite été inséminées artificiellement, selon un rapport du NPR, tandis que les bébés embryonnaires qui en ont résulté ont été « expulsés » du corps des femmes et utilisés pour la recherche scientifique.
Selon le rapport, les chercheurs ont constaté que les bébés embryonnaires ainsi conçus étaient aussi sains, voire « plus sains », « génétiquement » que ceux conçus par la technique standard de la fécondation in vitro (FIV), qui consiste à prélever des ovules sur des femmes à l’aide d’aiguilles, puis à les féconder avec du sperme dans des conditions de laboratoire.
Quand les tests montraient que tous les bébés n’avaient pas été « éliminés » avec succès chez certaines femmes, on les donc fait passer par des avortements chirurgicaux ou chimiques. Cependant, certains des bébés survivants ont été transplantés dans l’utérus d’autres femmes, et d’autres ont été congelés.
N’oublions pas les joyeux effets secondaires :
Le Dr David Prentice, de l’Institut Charlotte Lozier, a également dénoncé l’éthique douteuse de l’étude. Dans une entrevue accordée à LifeSiteNews, le Dr Prentice a déclaré que la surstimulation hormonale peut avoir de graves effets secondaires, notamment la perte de membres et même la mort pour les femmes qui y sont soumises.
Le prêtre qui a brûlé les Pachamama parle : elles « parodient » Notre Dame de Guadalupe
Par Bree A. Dail (LifeSiteNews) — Traduit par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Notre-Dame de Guadalupe est la patronne des pro-vie, aussi ne saurions-nous rester indifférents aux actes d’idolâtrie rendus aux statuettes de Pachamama, parodies de N.-D. de Guadalupe selon un exorciste mexicain, actes qui, outre leur sens idolâtre, blasphèment contre la Sainte Vierge par le culte qu’ils rendent à une caricature diabolique de l’Auguste Mère de Dieu.
Si nous parlons de cette affaire, c’est également parce que l’un des buts de notre organisme est de promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun. Et un autre, de promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes.
Pour promouvoir la foi chrétienne il faut donc la défendre de toutes atteintes qui lui sont portées. — A. H.
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Les « Pachamama » vénérées de manière idolâtre au Vatican et dans la ville de Rome au moment du synode sur l’Amazonie étaient une « parodie » de la Vierge de Guadalupe, selon un exorciste mexicain cité par le prêtre qui a brûlé des effigies de la statuette il y a quelques jours au cours d’un rite de réparation que l’on peut voir ici sur le blog d’Yves Daoudal.
Ce prêtre catholique de l’archidiocèse de Mexico, le P. Hugo Valdemar Romero, a expliqué dans un entretien avec LifeSiteNews pourquoi il a décidé de brûler des statues païennes de la « Pachamama ». Son geste, visant à expier le péché public d’idolâtrie au synode sur l’Amazonie, se justifiait par la « loi de Dieu », a-t-il déclaré.
La vidéo de la cérémonie qui a eu lieu en fin de semaine dernière est vite devenue virale sur les réseaux sociaux.
Le P. Hugo Valdemar Romero, ancien porte-parole de l’Archidiocèse de Mexico, actuellement grand pénitencier, a déclaré à LifeSiteNews qu’il avait invité les fidèles à participer à cette cérémonie en raison du « scandale et de la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, réalisés au Vatican avec les idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie ».
Voici ma traduction intégrale de l’interview du P. Hugo Valdemar Romero avec Bree A. Dail de LifeSiteNews.
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Qu’est-ce qui a inspiré votre geste, c’est-à-dire la décision de prendre la tête des fidèles pour prononcer des prières de réparation, puis brûler les effigies de la Pachamama ?
Ce sont le scandale et la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, perpétrés au Vatican avec des idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie. De nombreux fidèles, très blessés et en colère, se sont tournés vers moi ; ils nous demandaient (au clergé) de faire quelque chose pour montrer que nous rejetions l’idolâtrie et pour demander pardon à Dieu pour tant de sacrilèges et de profanations. J’ai donc décidé de faire ces actes de réparation.
Avez-vous parlé à des exorcistes d’Amérique latine et croyez-vous que ces rituels relevaient d’une influence démoniaque ?
Oui, j’ai parlé à un exorciste de Mexico qui m’a affirmé que la figure de la Pachamama était une parodie de la Vierge de Guadalupe. La Sainte Vierge, Notre Dame de Guadalupe apparaît dans sa sainte image comme une femme enceinte. Elle est venue pour donner naissance à Jésus, Lumière du Monde et seul Vrai Dieu, le seul but de notre vie. Elle est venue comme la Femme de l’Apocalypse, revêtue de soleil, et la lune à ses pieds. Cette Pachamama, en revanche, est sur le point de donner naissance à une créature rouge, de couleur démoniaque, et cette créature n’est rien de moins qu’une « nouvelle église ». Cette « église » est née du synode qui vient de s’achever — cette soi-disant « église à visage amazonien » qui prétend célébrer des rites orthodoxes, mais qui promeut (la notion de) diacres féminins et de prêtres mariés, l’exact contraire de la doctrine catholique et de la tradition de l’Église (romaine).
Dans votre vidéo, nous vous voyons parler de Notre-Dame de Guadalupe. A S. Maria in Traspontina, l’image de Notre-Dame de Guadalupe pouvait se voir, poussée sur le côté d’un des autels latéraux — où les Pachamamas ont été placées. Estimez-vous que c’est important ?
Bien sûr, c’est la grande imposture de la déesse satanique Pachamama. Elle cherche à usurper la place de Notre Dame de Guadalupe, à ôter de la foi catholique Celle qui est la Mère du Vrai Dieu, et à mettre à la place de Notre Dame la Terre-Mère, qui en réalité est idolâtrie, panthéisme et superstition.
Lire la suiteDes féministes pro-avortement ont tenté d’incendier la cathédrale de Mexico
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Mexique — Samedi, à Mexico, les mouvements féministes pro-avortement ont organisé une manifestation très anti-catholique et très violente.
La capitale mexicaine s’attendait à une « marée verte » (la couleur choisie par ces mouvements pro-avortement) dont la christianophobie ne faisait aucun doute. S’attendant à ce que les lieux de culte soient pris pour cibles, des fidèles avaient constitué des chaînes humaines pour faire rempart.
Mais les furies féministes pro-avortement, assistées par des groupuscules communistes et anarchistes, ont assiégé la cathédrale de Mexico avec la ferme intention de l’incendier !
Élargissement des conditions d’accès à l’avortement au Mexique
Billet de blogue D’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La Cour suprême du Mexique a rajouté aux possibles conditions d’accès à l’avortement le danger que représenterait la grossesse pour la santé de la mère, ouvrant beaucoup plus largement les portes à l’avortement dans ce pays. Extrait de Gènéthique :
Le Mexique vient de rendre légal l’avortement en cas de risque pour la santé de la mère. C’est la Cour suprême de justice du Mexique (SCJN) qui a statué mercredi : les femmes pourront désormais avorter en toute légalité à condition que la grossesse fasse courir un risque pour la santé de la mère. Jusqu’ici, les deux exceptions dépénalisant l’IVG, clairement définies dans les articles 333 et 334 du code pénal fédéral, étaient les cas de viol ou de risque de décès maternel.
Une défaite de la culture de mort au Mexique
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : DavidRockDesign/Pixabay
Une belle victoire remportée contre les propagateurs de l’anarchie mortifère. Extrait de FSSPX.News :
Au Mexique, les défenseurs de la vie ont remporté une victoire face aux efforts répétés du gouvernement visant à modifier la Constitution en vue de légaliser l’avortement, les unions entre personnes de même sexe, l’euthanasie et la vente de la drogue.
Ce projet de légalisation tous azimuts de la culture de mort avait été déposé au début du mois de février 2019 par Porfirio Muñoz Ledo…
Porfirio Muñoz Ledo est président de la Chambre des députés du Mexique et membre du parti majoritaire Morena. Une vive campagne lancée par Rodrigo Iván Cortés, chef de file du Front national de la famille, a pris une telle ampleur que Porfirio Muñoz Ledo a retiré son projet omnibus.
Notre-Dame de Guadalupe, celle qui mit fin aux sacrifice humains
Notre-Dame de Guadalupe, Reine du Mexique et Impératrice des Amériques.
Billet de blogue d’Augustin (Campagne Québec-Vie) — Photos : angelofsweetbitter2009/Flicr, Missa Tridentina em Brasília/Wikimedia Commons et Nueva Basílica de Nuestra Señora de Guadalupe/Wikimedia Commons
L’image Notre-Dame de Guadalupe est, entre autres, un symbole de l’Apocalypse : la femme enveloppée de soleil, la lune sous les pieds, couronnée d’étoiles. La nature miraculeuse de l’image et tous les signes qui y sont présents ont fortement touché les Indiens. Extrait de Vers demain :
Lorsque les Indiens eurent appris la nouvelle des apparitions de Notre-Dame, un enthousiasme et une joie jamais connus se répandirent parmi eux. Renonçant à leurs idoles, à leurs superstitions, à leurs sacrifices humains et à la polygamie, beaucoup demandèrent le Baptême. Neuf ans après les apparitions, neuf millions d’entre eux se sont convertis à la foi chrétienne, soit presque 3000 par jour! Les détails de l’Image de Marie touchent profondément ces Indiens : cette femme est plus grande que le dieu-soleil puisqu’elle apparaît debout devant le soleil; elle surpasse le dieu-lune puisqu’elle tient la lune sous ses pieds; elle n’est plus de ce monde puisqu’elle est entourée de nuages et tenue au-dessus du monde par un ange; ses mains jointes la montrent en prière, ce qui signifie qu’il y a quelqu’un de plus grand qu’elle.
Au passage, pour ceux qui pourraient craindre que les Indiens ne se soient portés à quelques idolâtries envers Notre-Dame de Guadalupe, ils peuvent se rassurer, car l’Église ne les aurait sûrement pas baptisés sans leur avoir bien enseigné le catéchisme.
Juan Diego, dévoilant à toutes les personnes
présente et à lui-même l’image de Notre-Dame
de Guadalupe, le 12 décembre 1531.
L’image de Notre-Dame de Guadalupe
Un État du Mexique propose un amendement constitutionnel pro-vie
Par David Ramos (ACI Prensa), traduit de l'espagnol à l'anglais par CNA — traduit par Campagne Québec-Vie
Culiacan, Mexique — Le congrès de l'État mexicain de Sinaloa a adopté vendredi un amendement constitutionnel protégeant la vie humaine dès la conception.
L'amendement, adopté le 28 septembre par la le corps législatif monocaméral de l'État, doit être ratifié par la majorité des municipalités de l'État.
Le vote a passé par 32 voix pour, une voix contre et une abstention.
Depuis la légalisation de l'avortement à Mexico en 2007 sous l'égide du Parti de la révolution démocratique (PRD), 18 États ont adopté des réformes constitutionnelles protégeant la vie humaine dès sa conception.
L'article 4 proposé qui pourrait être rajouté à la Constitution de Sinaloa se lit comme suit : «Chacun a droit au respect de sa vie. L'État protège le droit à la vie à partir du moment où un individu est conçu, entre sous la protection de la loi et est considéré comme né à toutes fins et intentions légales, jusqu'à sa mort naturelle.»
Rodrigo Iván Cortés, président du Front national pour la famille, a déclaré à ACI Prensa que l'amendement avait été présenté par Juan Pablo Yumani du Parti d'action nationale (PAN).
Le parti majoritaire au congrès de Sinaloa est le Parti Révolutionnaire Institutionnel (PRI).
Pour Cortés, cet amendement à la constitution du Sinaloa «est un rayon de lumière dans cette époque très sombre», car plusieurs organisations ont récemment célébré la légalisation de l'avortement à Mexico et exigé qu'il soit étendu à tout le pays.
Parmi eux, le Mouvement national de régénération (MORENA) du président élu Andrés Manuel López Obrador, qui a annoncé lors d'une conférence de presse le 27 septembre qu'il chercherait à légaliser l'avortement dans tout le Mexique.
Cortés note que MORENA est rejoint dans son objectif par le PRD.
L'État de Veracruz, lui, subit des pressions visant à légaliser l'avortement.
M. Cortés a indiqué que le Front national pour la famille organisera des marches pro-vie dans tout le Mexique le 20 octobre.
Eduardo Verastegui, acteur pro-vie, envisage de se porter candidat à l’élection présidentielle au Mexique en 2018
Eduardo Verastegui
Par Reinformation.tv
La direction du parti Encuentro Social de l’État du Tamulipas a confirmé que des pourparlers sont en cours avec l’acteur et avec les responsables nationaux de la formation politique.
Si Encuentro Social n’entre pas dans un accord pré-électoral avec le Mouvement de la régénération nationale, a indiqué son président, il présenteraun candidat qui sera « probablement » Eduardo Verastegui, catholique affirmé après une période d’éloignement de l’Église et acteur principal du joli film pro-vie, Bella.
Dimanche dernier, l’acteur participait à une cérémonie nationale de « Redressement, Réparation et Consécration » dans un stade de Mexico, pour demander pardon pour les péchés du Mexique – l’avortement notamment. La cérémonie était célébrée par le cardinal Juan Sandoval Iñiguez, ancien archevêque de Guadalajara.