Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Alexander Efimov/Wikimedia Commons
La Nouvelle-Zélande n’a pourtant pas intérêt à laisser sa natalité descendre encore plus bas, déjà qu’elle n’a que 1,87 enfant par femme, ce qui est déjà en dessous du seul seuil de renouvellement situé à 2,1. Extraits de la FSSPX.News :
Le Parlement de Nouvelle-Zélande a approuvé le 8 août 2019, en première lecture, un projet de loi présenté par le gouvernement visant à dépénaliser l’avortement. Si le texte franchit toutes les étapes du processus législatif, une femme pourra se faire avorter jusqu’au cinquième mois de grossesse, et même au-delà, sur simple avis médical.
[…] Jusqu’à présent, l’avortement est considéré comme un délit sur l’archipel, bien qu’un dispositif juridique permette à une femme d’avorter. Elle a besoin pour cela de la prescription de deux médecins attestant de l’existence d’un danger physique ou mental pour la mère de mener la grossesse à son terme.
Interdire les pro-vie d’autour des avortoirs :
De plus, le projet prévoit la création de zones d’exclusion de 150 mètres autour des avortoirs, dont l’accès serait interdit aux militants pro-vie […]
13 000 avortements en 2018 :
Selon des chiffres officiels, environ 13 000 avortements auraient été pratiqués en 2018 dans le pays, dont 57 après la vingtième semaine de grossesse […]
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