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Cent millions de préservatifs défectueux : distribution sans controle au Ghana

Sur le blog de Jeanne Smits du 24 avril 2013:

(Be Safe! Et l'on ne mentionnera surtout pas aux populations africaines qui n'ont pas accès aux vaccins contre le virus du papillome humain que le condom ne protège pas contre cette infection causant le cancer du col de l'utérus. Dire à un Africain qu'il sera sain et sauf, pour un occidental, c'est lui cacher que l'on se préoccupe qu'il y ait le moins possible d'Africains, par une utilisation massive de la contraception, en leur faisant croire qu'ils seront protégés par l'utilisation d'un condom. Comme cela, les populations occidentales ne feront pas de cauchemar sur le mythe de la surpopulation, surpopulation africaine, bien évidemment... -voir l'article « L'apocalypse démographique n'aura pas lieu »)

 En Afrique noire, le Ghana fait partie des pays où l'infection par le virus du sida est importante. Et comme partout ou presque, les autorités ont décidé de lutter contre la propagation de la maladie en recommandant le port du préservatif. Trop cher pour la population locale ? Qu'à cela ne tienne : des associations et des centres de santé les distribuent gratuitement. A la fin de 2012, pas moins de 100 millions de préservatifs ont été commandés en Chine, sans doute à moindre coût, pour être ainsi offerts.

 
Mais la marque Be safe (soyez en sécurité) n'est pas à la hauteur de ses promesses. Plusieurs semaines après le début de la distribution, les autorités sanitaires du pays ont brusquement battu le rappel des objets. La Food and Drug Authority locale venait de procéder à des tests. Trop petits, trop fins, de mauvaise qualité, sujets aux déchirures, ils ont tous les défauts. Et même des trous. « Qui exposent les utilisateurs à des grossesses non désirées et à des maladies sexuellement transmissibles. »
 
Autrement dit, ils ne servent à rien et, pire, ils créent l'illusion de la « protection », ce qui naturellement incite à plus d'imprudences.
 
Comme le dit la presse africaine :
« Alors qu’un représentant de l’ONUSIDA a confirmé, interrogé par RFI, cette situation, une réunion doit avoir lieu aujourd’hui au ministère de la Santé Ghanéen destinée à mieux identifier les dysfonctionnements qui ont conduit à ce scandale. Il s’agira notamment de déterminer comment ces préservatifs ont pu commencer à être distribués alors que les résultats des contrôles n’étaient pas encore connus. (...) »
(...)
L'abstinence et la fidélité sont pourtant de loin le meilleur plan !

 

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